Réalisé par : Rob Marshall
Année : 2014
Note : 2/10
Be careful what you wish for
Grande fan des contes de fées en tous genres, je suis allée voir ce film confiante, j’en suis ressorti hanté par une chanson et un mal de tête. Avant de continuer plus loin je vous fais partager la chanson – Angony
I was raised to be charming, not sincere
Into the woods, c’est le film qui prend des tonnes de direction sans jamais prendre la bonne et qui finit perdu dans un fouillis gigantesque.
L’histoire fonctionnait peut-être sur les planches de Broadway mais au cinéma, c’est un vrai cauchemar. Cendrillon et sa chaussure, le boulanger et sa femme, le petit chaperon rouge et son loup, la sorcière et sa malédiction, le garçon et sa vache, Rapunzel er sa chevelure, les deux princes et leurs charmes légendaires à la recherche d’une fin heureuse. Tout ce petit monde va se rencontrer dans une grande forêt qui relie ce beau monde. Si l’on met de côté ce bazar, on n’est emporté dans un puits sans fond de chansons à en faire saigner les oreilles, qui n’apporteront qu’un mal de tête aigu à la fin du film.
Ils osent malgré tout l’innovation à travers certains contes en insérant l’adultère qu’ils puniront 15 minutes après par la mort, le prince charmant se transforme donc en goujat de ces dames, et c’est le boulanger qui représente la sincérité et l’amour véritable.
Into the woods est un supplice et une grande déception pour le conte de fées moderne, l’idée était bonne, elle n’a malheureusement pas pris le bon chemin.
Just remembering you had an ‘and,’ when you’re back to ‘or,’ makes the ‘or’ mean more than is did before.
Voir aussi: La belle et la bête
Je voulais le voir mais du coup j’hésite…. Peut être juste pour Johnny Depp quand même dont je suis une grande fan !
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