Mortal Kombat

Le combattant de MMA Cole Young, habitué à perdre pour de l’argent, ignore son héritage ou pourquoi l’empereur Shang Tsung a envoyé son meilleur guerrier, Sub-Zero, un Cryomancien d’un autre monde, pour le traquer. Craignant pour la sécurité de sa famille, Cole part à la recherche de Sonya Blade sous la direction de Jax, un major des forces spéciales qui porte le même étrange dragon que Cole. Bientôt, il se retrouve au temple de Lord Raiden, un Dieu aîné et le protecteur de Earthrealm, qui accorde le sanctuaire à ceux qui portent la marque. Ici, Cole s’entraîne avec les guerriers expérimentés Liu Kang, Kung Lao et le mercenaire Kano, alors qu’il se prépare à affronter les plus grands champions de la Terre contre ses ennemis dans une bataille aux enjeux élevés pour l’univers.

Mortal Kombat pourrait être ce que représente une entrée dans un repas. Une entrée qui nous annonce le début d’un bon repas qui ne viendra jamais.

L’histoire est à l’image des jeux, simple et sans chichis, répondant avec efficacité aux demandes principales du spectateur. L’action est bien présente et assez bien réparti tout au long de l’histoire, les fatality sont eux aussi de la partie mais malheureusement le dénouement se fait bien trop rapidement et ne nous laisse que des promesses futures. Quant au casting, il est en dents de scie, seul Scorpion et Sub-zero marqueront les esprits et offriront l’excitation d’un Mortal Kombat.

Mortal Kombat aurait pu être quelque chose malheureusement quand le film se termine, il ne reste en bouche qu’un mauvais goût d’inachever. Dommage…

Origins

Mortal Kombat aka MK est une série de jeux vidéo de combat qui fait concurrence à la franchise Street Fighter de Capcom. Le premier jeu fut vendu en 1992 sur borne d’arcade, il sera suivi par 11 jeux et 3 spin off.

La série est caractérisée par des graphismes réalistes et une violence brutale et sanglante et surtout par ses Fatality.

Sonya Blade

Le lieutenant Sonya Blade fait partie des forces spéciales, une organisation anti-crime basé sur l’Earthrealm. Elle est à la tête d’une équipe qui poursuit le meurtrier de son frère Kano.

Elle deviendra par la suite, la première combattante de Mortal Kombat.

Jackson Briggs aka Jax

Le major Jackson Briggs aka Jax est un allié du lieutenant Sonya Blade. Il fait lui aussi partie des forces spéciales à partir de Mortal Kombat 3 qui se verra par la suite attribuer des bras bioniques.

Liu Kang

Orphelin dès son plus jeune âge, Liu Kang fut recueilli par les Moines Shaolin et emmené dans leur Temple dissimulé dans les montagnes de la Province de Honan, en Chine. Là-bas, il rejoignit l’Ordre de la Lumière, et apprit les enseignements du Grand Kung Lao à la Wu Shi Academy, où il développa ses talents de combattant.

Son but est de rendre le contrôle du tournoi aux vrais propriétaires les moines shaolin.

Lord Raiden

Lord Raiden est l’un des sept personnages principaux de la saga originale. Il est décrit comme étant le Dieu du tonnerre et le protecteur de la Terre.

Il possède de nombreux pouvoirs (téléportation, vol, contrôle des éléments…) grâce auxquels il défend la planète contre une multitude de menaces.

Scorpion – Hanzo Hasashi

Scorpion alias Hanzo Hasashi est un combattant immortel qui maîtrise le feu et cherche à venger la mort de sa famille et de son clan.

Scorpion est l’un des personnages les plus emblématiques de la saga Mortal Kombat, il est opposé directement à Sub-Zero.

Sub-Zero – Bi-Han

Sub-Zero est un combattant possédant la capacité de contrôler la glace sous de nombreuses formes.

Sub-Zero sera le nom de code de deux personnages: le premier, Bi-Han qui apparait dans le premier Mortal Kombat qui deviendra par la suite Noob Saibot. Le second, Kuai Lang connu à l’origine sous le nom de code Tundra qui prendra la place de son frère pour venger sa mort.

Source: Wiki, mortal-kombat.fr, imdb

Buffy The Vampire Slayer

Et la légende dit…

Alyson Hannigan affirme que deux versions ont été filmées pour la scène où Cordelia et Willow découvrent la salle pleine de corps.

Une première version plus docile pour le public américain et une seconde version plus sanglante pour le public d’Europe.

Cet épisode fait partie des 10 favoris de Joss Whedon.

The Big Bad

The Big Bag est un terme qui désigne le grand méchant que le scoobygang affronte. L’expression sera inventée au cours de la saison 2 et perdurera jusqu’à la fin de la série.

Le Maître est le premier Big Bad de la série.

L’ASCENSION

L’ascension est un film rafraîchissant qui mélange humour et grande aventure, porté par l’humoriste Ahmed Sylla qui révèle un côté tendre et émouvant qu’on ne lui connaissait pas. L’ascension est un feel good movie dépaysant qui se lance à la conquête du plus haut sommet du monde, pour une aventure humaine, pleine d’humour. Un vrai moment de plaisir.

« Pour toi, je pourrais gravir l’Everest !» Samy aurait mieux fait de se taire ce jour-là… D’autant que Nadia ne croit pas beaucoup à ses belles paroles. Et pourtant… Par amour pour elle, Samy quitte sa cité HLM et part gravir les mythiques 8848 mètres qui font de l’Everest le Toit du monde. Un départ qui fait vibrer ses copains, puis tout le 9-3 et c’est bientôt la France entière qui suit avec émotion les exploits de ce jeune mec ordinaire mais amoureux. A la clé, un message d’espoir : à chacun d’inventer son avenir, puisque tout est possible.

Nadir Dendoune

Nadir Dendoune naît en Seine-Saint-Denis en 1972 de parent algérien.

Le 25 mai 2008, sans aucune expérience en alpinisme, il atteint contre toute attente, le sommet le plus haut du monde, l’Everest.

Devenant ainsi, le premier franco-algérien à atteindre le toit du monde.

L’EVEREST

L’Everest est une montagne située dans la chaîne de l’Himalaya à la frontière entre le Népal et la Chine.

Il est découvert pour la première fois en 1847 par des Européens qui après des années de calculs et d’observation, on put établir son altitude à 8848 mètres, il est alors identifié comme le plus haut sommet au monde.

PENNY DREADFUL

Sombre et élégante, Penny Dreadful transforme avec adresse le folklore de la littérature anglaise en un tableau somptueux, qu’on admire avec fascination. La magie entoure cet univers mystérieux aux protagonistes romanesques qui nous envoutent et nous entrainent dans un abysse à la découverte de l’innommable vérité de la nature humaine.

Qu’elle soit bonne ou mauvaise, la nature humaine est complexe et difficile à expliquer. Penny Dreadful tire les bonnes ficelles et s’approprie le sujet avec fluidité et souplesse, grâce à une écriture et une mise en scène soignée et un casting talentueusement charismatique.

Penny Dreadful est une histoire qui nous conte la beauté et les vices de la nature humaine, de la croyance et du culte. Cette histoire est une aventure inespérée qui frôle la passion.

Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…

Un penny pour un Penny Dreadful

Un penny dreadful est un vieux terme utilisé au cours du XIXe siècle au Royaume-Unis qui représentait un genre littéraire populaire et bon marché.

Il s’agissait d’histoire macabre inspirées plus ou moins de faits divers réels, publiée sur plusieurs semaines.

Elles étaient vendues sous forme de petits livres sur du papier de qualité médiocre et valaient un 1 penny.

Hécate

Hécate est une déesse de la Lune, fille du titan Persès et titanide Astéria.

Elle fait partie de la Triade Lunéraire où elle représente la nouvelle lune, symbole de la mort. À ses côtés se trouve: Séléné, la pleine lune, symbole du cycle et Artémis, le croissant de lune, symbole de la naissance.

Les Adieux

Eva Green ne voulait pas que la dernière scène qu’elle joue en tant que Vanessa Ives, soit sa mort.

L’actrice ne voulait pas quitter le personnage dans ces circonstances.

La dernière scène que l’actrice a filmée, était celle où Vanessa est seule dans sa chambre et regarde l’espace vide dans le mur ou était la croix.

Lawrence Talbot

Lawrence Stewart « Larry » Talbot également connu sous le nom de The Wolf Man est le personnage principal du film (The Wolf Man) sortie en 1941.

Talbot apparaît aussi dans la littérature au côté de Dracula mais aussi de Frankenstein mais aussi en tant que protagoniste principal dans l’histoire d’Harlan Ellison (A drift just off ilots de Langerhans).

Contrairement au coutume liée au film de loup-garou, dans The Wolf Man, on ne voit jamais la pleine lune.

Agence de voyage Le Bruit du Cinema

Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema s’envole vers les pays d’Asie et fait son premier arrêt en Corée.

Agence de voyage Le Bruit du Cinema


The Road Within

The Road Within c’est l’histoire de trois jeunes qui ont du mal à s’intégrer au monde à cause de leurs maladies et leurs problèmes personnels, qui vont sur un coup de tête se lancer de façon assez chaotique dans un voyage improbable.

Remake du film allemand Vincent (2010), The Road Within s’ouvre sur une brillante introduction (Merci Robert Sheehan) qui nous emporte immédiatement et donne le ton de ce road trip improbable qui traitera de la maladie, de la nature humaine mais aussi de l’éveil amoureux et sexuel.

À travers ce film, Gren Wells ne cherche pas à réaliser un documentaire sur l’origine et le traitement des trois maladies. Elle nous fait simplement vivre le quotidien de trois patients qui essayent malgré tous leurs soucis de vivre leur vie.

The Road Within est une chronique sur la jeunesse qui prend vie à travers un road trip inattendu, plein de surprise et de tendresse, porté par trois comédiens de talents, plein de bons sentiments qui nous rappellent qu’avant le handicap, il y a l’humain.

The Road Within est une ode à la liberté qui se dévoile à travers un voyage initiatique touchant et assez réaliste mené par trois personnages en recherche de réponse. Un feel good movie qui malgré quelques petits défauts fait relativiser et donne une petite bouffée de fraicheur qui fait du bien.

Avengers

Avengers c’est une histoire d’invasion extraterrestre, de mission pour sauver l’humanité, de testostérones, de beaux petits culs et bien sûr de super-héros. Avengers c’est un scénario habile (signé Joss Whedon) qui arrive à mettre en lumière un groupe de super-héros, qu’on avait côtoyé en privé pendant de longues années. C’est un film qui garde ce côté bande dessiné qui définit l’univers Marvel.

Avengers est une petite pépite Marvel qui met (presque) tout le monde d’accord. C’est un film ambitieux et drôle qui rafraîchit enfin le monde des super-héros qui commençait à prendre la poussière.

Joss Whedon prouve avec Avengers qu’il est aussi talentueux sur grand écran que sur petit écran. Il offre un nouveau souffle à l’univers Marvel qui s’ancrait dans ses acquis, grâce à un film ambitieux qui allie avec ingéniosité humour et action.

Entre explosion, scène de combat, esprit de camaraderie et humour, Avengers est un film maîtrisé qui nous emporte avec facilité dans cette réunion de super-héros Marvel qu’on avait pris le temps de découvrir en tête à tête au fil des années.

Avengers aura le plaisir d’amuser autant les amoureux du genre que les curieux. Grâce à un bon scénario, une bonne réalisation et un très bon casting, le film aura réussi à transformer un blockbuster pop-corn en divertissement spectaculaire et libérateur qu’on prend plaisir à découvrir ou re-découvrir malgré ces quelques petites longueurs qui font qu’il n’est pas parfait.

TOP 10: Année 1991


Réalisé par: Howard Zieff Durée: 1h42min Genre: Romance, Drame Note: 8/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Veda a 11 ans, est hypocondriaque, a perdu sa mère et vit depuis avec son père qui s’occupe de pompes funèbres installées au sous-sol de leur maison.

La pensée du Bruit du Cinema

My Girl est une belle histoire, qui parle avec justesse et délicatesse de la découverte de l’amitié, de l’amour et de la mort.

Réalisé par: Steven Spielberg Durée: 2h22min Genre: Comédie, Aventure, Fantaisie Note: 9/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Peter Banning alias Peter Pan est devenu un brillant avocat d’affaires qui a tout oublié de ses merveilleuses aventures. Mais le terrible Capitaine Crochet, lui, n’a pas oublié. Pour enfin, régler leur compte, il enlève une nuit Jack et Maggie, les enfants de Peter. C’est en compagnie de Tinkerbell que Peter s’envole à nouveau pour le pays de Nulle Part.

La pensée du Bruit du Cinema

Hook est une adaptation intéressante et intelligente de l’histoire de Peter Pan. À la fois, innovante et respectueuse, cette relecture nous entraine dans un pays imaginaire étonnant pour une réelle aventure féérique.

Réalisé par: Kevin Reynolds Durée: 2h23min Genre: Aventure, Romance Note: 8/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

XIIe siècle, en Angleterre. En l’absence du roi Richard, le shérif de Nottingham règne en tyran sur le pays, aidé par son cousin Guy de Gisbourne, la sorcière Mortianna et le corrompu évêque de Hereford. Lors de son retour en Angleterre aux côtés d’Azeem, Robin revient au château de son père. Mais ce dernier a été tué par les hommes du shérif après avoir refusé de se joindre à eux. Robin jure de venger son père.

La pensée du Bruit du Cinema

Robin des bois: Prince des voleurs est une belle aventure riche en action et en rebondissement qui captivera avec chaleur petits et grands.

Réalisé par: Gary Trousdale & Kirk Wise Durée: 1h24min Genre: Animation, Fantaisie Note: 10/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Un seul homme compte dans la vie de Belle : son père. Quand celui-ci est fait prisonnier par une affreuse bête, elle accepte de prendre sa place.

La pensée du Bruit du Cinema

La belle et la bête est un dessin animé léger, plein de romance et de guimauve saupoudré d’une touche d’humour qui marque les coeurs et les esprits.

Réalisé par: Barry Sonnenfeld Durée: 1h39min Genre: Comédie, Fantaisie Note: 7/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

La vie tranquille de la famille Addams est perturbée par Tully Alford et Abigail Craven. Les deux veulent dérober leur fortune grâce à un fameux imposteur.

La pensée du Bruit du Cinema

The Addams Family est une comédie familiale savoureuse et décalée qui mélange humour noir et fantastique, le temps d’un instant unique.

Réalisé par: Jonathan Demme Durée: 1h58min Genre: Crime, Drame, Suspense Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Un psychopathe connu sous le nom de Buffalo Bill sème la terreur dans le Middle West en kidnappant et en assassinant de jeunes femmes. Clarice Starling, une jeune agent du FBI, est chargée d’interroger l’ex-psychiatre Hannibal Lecter. Psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme, Lecter est capable de lui fournir des informations concernant Buffalo Bill ainsi que son portrait psychologique. Mais il n’accepte de l’aider qu’en échange d’informations sur la vie privée de la jeune femme. Entre eux s’établit un lien de fascination et de répulsion.

La pensée du Bruit du Cinema

Le silence des agneaux est un film construit sur la ruse et la manipulation qui fait comprendre que le pire est toujours possible.

Réalisé par: Garry Marshall Durée: 1h58min Genre: Romance, Drame Note: 8/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Johnny, un fringant quinquagénaire, sort de prison. Une tentative d’escroquerie lui a valu quelques mois de détention. Entre-temps, sa femme l’a quitté. Cuisinier de son état et optimiste de caractère, il se présente dans un restaurant grec de New York, l’Apollo. L’ambiance y est chaleureuse, et Johnny s’y fait embaucher sans trop de problèmes. Il y découvre une perle rare, ignorée de tous, la touchante Frankie, que de trop nombreuses déceptions sentimentales ont dégoûtée de l’amour.

La pensée du Bruit du Cinema

Frankie & Johnny est une romance contemporaine désenchantée qui évite tous les stéréotypes du genre pour créer une petite pépite remplie d’amour.

Réalisé par: James Cameron Durée: 2h17min Genre: Action, Science-Fiction Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

En 2029, après son échec pour éliminer Sarah Connor, Skynet programme un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils John Connor, futur leader de la résistance humaine.

La pensée du Bruit du Cinema

Terminator 2: Le jugement dernier est un film d’action habile qui encore aujourd’hui divertit bien.

Réalisé par: Kathryn Bigelow Durée: 2h2min Genre: Action, Crime Note: 5/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Johnny Utah, jeune recrue du FBI, se voit confier sa première enquête: démanteler un réseau de braqueurs responsables de vingt-six attaques de banques et surnommé « les anciens présidents ». Convaincu d’avoir à faire à d’intrépides surfeurs, Johny décide d’infiltrer le milieu de la planche…

La pensée du Bruit du Cinema

Point Break fascine et captive nos esprits, mené par un duo éblouissant qui jongle entre rivalité et fascination.

Réalisé par: Gérard Lauzier Durée: 1h45min Genre: Comédie, Romance Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Veronique, 15 ans, vit avec sa mère divorcée et part avec son père sur l’Ile Maurice pendant les vacances de Pâques. Pour attirer et impressionner un beau garçon, Benjamin, elle invente une histoire de toutes pièces et fait croire qu’il s’agit non pas de son père, mais de son petit ami agent secret…

La pensée du Bruit du Cinema

Mon père, ce héros est une comédie tendre et sympathique, au scénario assez original qui aura marqué le début des années 90.

La catastrophe et le cinéma

La catastrophe dans le monde du cinéma se réinvite sur Le Bruit du Cinema, qu’elle détruise la terre où les hommes, qu’elle relate un futur proche où lointain, qu’elle fasse peur où qu’elle fascine, la catastrophe au cinéma n’a pas fini de frapper, revoyons ensemble rapidement les grandes catégories du genre avant de faire un petit tour d’horizon de cinq films qui ont marqué le genre ou presque… Nous avons donc :

 La catastrophe naturelle

Elle arrive sans prévenir, la catastrophe naturelle est l’effet d’un évènement naturel plus ou moins violent (éruption volcanique, tsunami, astéroïde…) qui arrive sans prévenir.

La catastrophe sanitaire

Elle touche généralement un continent où le monde entier, la catastrophe sanitaire affecte la santé et augmente par la suite le facteur de mortalité, elle peut créer des créatures voraces (les infectés) ou bien entraîner des mutations physiques ou génétiques.

La catastrophe nucléaire

Guerre nucléaire, explosion nucléaire, apocalypse nucléaire, la catastrophe nucléaire peut prendre bien des noms, mais se résume généralement par une ou plusieurs explosions de bombe atomique.

La catastrophe sociale

Elle arrive généralement après une guerre, après la disparition d’une denrée importante ou encore après la montée au pouvoir d’une dictature.

La catastrophe humaine

Elle arrive généralement après une erreur humaine, une petite erreur peut provoquer une réaction en chaîne qui deviendra une énorme catastrophe.

La catastrophe extraterrestre

Elle est souvent due à l’arrivée de nos amis les petits hommes gris ou par la découverte de l’espace.

La catastrophe robotique

Elle est généralement liée à l’intelligence artificielle, la catastrophe robotique, c’est tout simplement la machine qui prend le dessus sur l’homme.

La catastrophe zombie

Les morts reviennent à la vie, l’humanité est foutue.

Pour plus de détails je vous invite à visiter le dossier : Les catastrophes dans le monde du cinéma et des séries ainsi que le dossier Zombies vs infectés


Réalisé par: Ron Underwood Année: 1990 Durée: 1h36min Genre: Comédie, Horreur Note: 3/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Perfection, un village perdu dans le désert du Nevada. Val et Earl, deux amis inséparables, rencontrent Rhonda LeBeck, une jeune sismologue, qui effectue un stage dans la région. Rhonda prétend que ses appareils ont enregistré des variations inexplicables. Quelque temps plus tard, Val et Earl retrouvent le corps sans vie de Fred, le ferrailleur du village. Les évènements tragiques se succèdent. Plusieurs habitants sont attaqués par de mystérieuses créatures. Tout semble indiquer que celles-ci se dirigent droit sur le village.

La pensée du Bruit du Cinema

Tremors est un film simple et efficace qui amuse le temps d’un instant.

Réalisé par: Brad Peyton Année: 2018 Durée: 1h47min Genre: Action, Aventure Note: 1/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Primatologue de profession, David Okoye a plus de mal à nouer des liens avec ses semblables qu’avec les singes. Pas étonnant qu’il se soit pris d’affection pour George, adorable gorille d’une intelligence hors du commun, dont il s’occupe depuis sa naissance. Mais suite à une expérience génétique catastrophique, George se métamorphose en monstre incontrôlable.

La pensée du Bruit du Cinema

Rampage est un film de « monstre » sans rythme qui brasse du vent en enchainant les mauvaises blagues et les scènes d’action sans importance.

Réalisé par: Roland Emmerich Année: 1998 Durée: 2h19min Genre: Science-Fiction, Action Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Une série de désastres mystérieux pointent vers l’existence d’une créature radioactive gigantesque se dirigeant vers Manhattan, il faut alors l’arrêter.

La pensée du Bruit du Cinema

Godzilla est un bon divertissement qui regorge de scènes mémorables pour toute une génération.

Réalisé par: Jon Turteltaub Année: 2018 Durée: 1h53min Genre: Action, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Missionné par un programme international d’observation de la vie sous-marine, un submersible a été attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue. Sérieusement endommagé, il gît désormais dans une fosse, au plus profond de l’océan Pacifique, où son équipage est pris au piège. Il n’y a plus de temps à perdre : Jonas Taylor, sauveteur-plongeur expert des fonds marins, est engagé par un océanographe chinois particulièrement visionnaire, contre l’avis de sa fille Suyin.

La pensée du Bruit du Cinema

The Meg est un film fade qui nous conte l’éternelle histoire du requin tueur.

Réalisé par: Anthony C. Ferrante Année: 2013 Durée: 1h26min Genre: Action, Comédie, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Une tornade, des requins, une catastrophe…

La pensée du Bruit du Cinema

Le nanar ultime du début des années 2010. Grotesque et kitsch, Sharknado assume et ça marche presque…

Dawn of the dead


Réalisé par: Zack Snyder Année: 2004 Durée: 1h41min Genre: Horreur Note: 7/10 Achat-Location: VOD


L’armée des morts c’est l’histoire d’une infection, c’est l’histoire d’un cauchemar irréel, c’est l’histoire d’une survie, c’est l’histoire d’un matin où le monde bascule dans le cauchemar.

Avec Dawn of the dead, Snyder réactualise l’histoire du grand George A. Romero, remettant au goût du jour les zombies en les transformant en infectés. Le réalisateur invent une nouvelle dimension à l’ambiance glaciale où les goules ne sont là que pour enfermer en huis clos, un groupe de survivants aux idées et aux caractères bien différents. Synder emporte grâce à ça, le chaos extérieur à l’intérieur du centre commercial généralisant grâce à ce lieu un chaos mondial. Il montre comme avait pu le montrer le grand Romero que l’ennemi en période de crise peut ressembler à monsieur tout le monde.

Les goules arrivent par groupe ou en solo marquant l’esprit du spectateur et le recentrant dans l’histoire, elles rappellent les dangers du monde extérieur aux spectateurs et aux groupes de survivants.

Ving Rhames emporte le spectateur dans la nostalgie en jouant le flic bad ass dans la zenitude qui enchaîne avec simplicité des répliques cultes que tous les amoureux du genre retiendront, donnant un peu de vie à un casting parfois un peu fade. Michael Kelly quant à lui prouve que derrière le plus gros des connards peut se cacher un homme au grand coeur, une idée sympa qui donne elle aussi un peu plus de volume au reste du casting.

Zack Snyder respecte les codes du genre et évite avec intelligence le piège de l’éternelle et lassant copier/coller. Entre action, humour cynique, panique psychologique et dézingage de zombie, Snyder nous offre un beau spectacle en prouvant que le remake est un art peu accessible.

Birds of Prey: and the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn

32


Réalisé par: Cathy Yan   Année: 2020   Durée: 1h49min   Genre: Action, Aventure   Note: 0,5/10   Achat-Location: VOD


Birds of Prey c’est l’histoire d’une rupture, c’est l’histoire d’une émancipation ratée, c’est l’histoire d’une troupe de filles qui soulève le drapeau girl power contre les méchants hommes, c’est tout simplement, Margot Robbie qui pétille dans une coquille vide, prévisible et ennuyeuse.

 

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Je pensais que DC ne pouvait pas faire pire que Suicide Squad, Batman v Superman ou encore l’abominable Justice League… Que nenni, DC adore relever haut la main les mauvais défis et on pourrait même croire qu’il se donne vraiment tous les moyens possibles pour réussir l’impensable. C’est donc sans grande surprise que Birds of Prey réussit à foirer de manière magistrale son scénario, ses personnages et sa mise en scène…

Au programme de ce petit film (ou de cette petite torture), DC vous propose du déjà-vu, suivi de près par l’incontournable prévisible ainsi que l’éternel et très ennuyeux flashback inutile, qui est là pour faire gagner de la longueur au film. DC aime faire plaisir à son public, c’est pourquoi la petite surprise du chef sera une petite pléiade de personnage sans le moindre charisme, totalement raté qui insultent volontairement les personnages originels des comics. DC ne fait pas dans la demi-mesure.

Dans Suicide Squad, la seule bonne chose était le personnage de Margot Robbie, dans Birds of Prey rien n’est bon, le peu de folie qu’il restait au personnage s’évapore avec l’explosion de l’usine chimique après 10 minutes de film, ne laissant qu’une pâle copie d’une Harley Quinn qui essaye de faire de son mieux pour sauver une histoire sans réel but. DC aura donc réussi l’exploit avec Birds of Prey de tuer dans l’oeuf, le talent et le personnage de la belle Margot Robbie… Nous offrant un film ridicule, au scénario indigeste et au casting sans âme..

Birds of Prey: and the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn est un film ennuyeux pour ado prépubère en quête d’identité.. Une nouvelle honte à rajouter au studio DC.

79

Bienvenue à Marly-Gomont

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Réalisé par: Julien Rambaldi   Année: 2016   Durée: 1h34   Genre: Biographie, Comédie   Note: 7/10   Achat-Location: VOD


Bienvenue à Marly-Gomont c’est l’histoire vraie du rappeur Kamini, c’est l’histoire de l’arrivée en France, en 1971, de la famille Zontoko, dont le père a choisi d’exercer le métier de médecin dans un petit village Picard.

Bienvenue à Marly-Gomont est un biopic attachant qui surprend par sa sincérité et son comique. Julien Rambaldi réalise un film inattendu, doux et tendre, à la mise en scène et au scénario simpliste qui évitent à l’histoire de tomber dans la caricature qu’on aurait pu attendre du film.

L’humour et l’émotion sont au rendez-vous dans ce petit film bien sympathique qui n’aura pour prétention que de nous raconter une petite histoire remplie de souvenir sincère, qu’on prendra plaisir à découvrir et à écouter. On suit pendant 1h34min les souvenirs simples d’un enfant qui a vu sa vie et le regard des autres changer, quand il a découvert la France profonde des années 70.

Bienvenue à Marly-Gomont n’a pas la prétention de donner des leçons, bien au contraire le film se contente de nous raconter les souvenirs d’un enfant qui a vu son père se battre pour ses rêves. Bienvenue à Marly-Gomont est une comédie attachante remplie de bons sentiments, de bonnes intentions et d’amour, qu’on prend plaisir à découvrir.

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Life After Beth

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Réalisé par: Jeff Baena   Année: 2014   Durée: 1h29min   Genre: Romance, Comédie, Fantaisie   Note: 6/10   Achat-Location: VOD


Life After Beth c’est l’histoire d’un tragique accident, c’est l’histoire d’une perte difficile à accepter, c’est l’histoire d’une opportunité inattendue. Life After Beth c’est une histoire de zombie innovante qui parle avec simplicité et intelligence du deuil.

Life After Beth est un bon film indépendant qui enchaine avec légèreté les bonnes idées pleines de bonnes intentions, mélangeant les genres de façon innovante et réussie. Le drame rencontre la romance, la romance s’invite chez le zombie et le zombie s’essaye au drame, pour un petit moment de plaisir. En créant ce cocktail inattendu, Jeff Baena fait un pari risqué qui fonctionne bien et surprend en trouvant avec une facilité déconcertante un équilibre presque parfait.

« I’m dead, I’m alive, I’m dead, I’m alive, I’m dead, I’m alive… »

Grâce à des rôles brillamment interprétés, un scénario équilibré et une mise en scène simple et efficace, Life After Beth évoque sans prétention et avec justesse les découvertes merveilleuses et les désillusions d’une jeunesse encore innocente confrontée à la dureté d’un deuil.

Life After Beth est un joli divertissement qui rappelle avec justesse que malgré les épreuves difficiles et la douleur que la vie nous réserve, il faut continuer à regarder devant soi et surmonter au mieux les difficultés. Une belle leçon d’espoir et d’acceptation qu’on prend plaisir à découvrir surtout en temps de confinement.

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Resident Evil

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Réalisé par: Paul W.S. Anderson   Année: 2002   Durée: 1h40min   Genre: Action, Horreur   Note: 6/10   Achat-Location: VOD


Aujourd’hui replongeons-nous ensemble dans un film qui a marqué une génération lors de sa sortie dans les salles obscures mais qui malheureusement n’aura pas marqué l’histoire du cinéma. Je vous parle bien sûr de l’adaptation du jeu vidéo Resident Evil. 

Resident Evil, c’est l’histoire d’un virus hautement mortel qui va se répandre dans un laboratoire souterrain ultra-secret, c’est l’histoire d’une propagation inattendue qui va mettre fin à toute vie humaine, c’est l’histoire d’une décision prise par une intelligence artificielle. Resident Evil c’est surtout l’histoire d’un groupe d’intervention qui va regretter son intervention.

On pouvait craindre le pire de cette adaptation mais pour un premier essai, Paul W.S. Anderson a su profiter de l’efficacité du concept du jeu vidéo pour retransmettre certains moments dans son film, évitant grâce à ça des petits pièges qui auraient pu faire couler le film directement au fond de l’océan de l’oubli.

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Certes, moins effrayant que les jeux, ce premier volet (d’une future saga totalement inégale), offre de bons moments qui marqueront les esprits et resteront (encore aujourd’hui, 18 ans plus tard) dans les esprits de toute une génération.

Paul W.S. Anderson frappe l’oeil du spectateur en utilisant de belles interventions qui fonctionnent bien (et qu’on retrouvera presque dans tous les autres films de la saga). L’histoire est assez simple mais efficace, évitant les dialogues inutiles, le casting est assez correct dans l’ensemble, le tout est enrobé par une bande-son métalo-gothique qui envoie du pâté et donne le rythme au film.

Ce premier opus laissé penser beaucoup de bonne chose, pas aussi effrayant que les jeux vidéo, on y retrouvait malgré tout un certain esprit du jeu, grâce à certains codes utilisés par le réalisateur qui venait frapper le petit coeur du spectateur. Malheureusement, Resident Evil (premier du nom) n’a pour lui aujourd’hui, que la nostalgie d’une génération.

 

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