Les années 90 font leur cinéma en série

Les années 90 reviennent sur Le Bruit du Cinema, après le teen movie, la romance, la comédie, les dessins animés (séries et films), il était temps d’attaquer les séries qui ont marqué notre jeunesse et qui encore aujourd’hui trottent dans nos petites têtes. Comme pour les séries d’animations, faire un top 10 s’est révélé impossible, la catégorie sera donc divisé en trois tops 10 (peut-être plus…). Il est l’heure de replonger dans la nostalgie des années 90.


80

Genre: Drame, Romance   Année: 1990   Chaîne: FOX   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

Beverly Hills, Californie : un groupe de lycéens doit jongler entre amitié, amour, crises et drames, avant d’accéder à l’université puis d’entrer dans la vie adulte.

En bref…

Beverly Hills a permis à toute une génération de se divertir mais elle a aussi permis une prise de conscience sur les dangers qui entouraient les jeunes. La série a marqué les années 90 et encore aujourd’hui la petite équipe fonctionne à la perfection.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

74

Genre: Action, Fantastique, Romance   Année: 1997   Chaîne: The CW   Note: 9/10

De quoi ça parle ?

A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l’ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n’est pas facile. Et c’est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, mais qui la nuit part à la chasse aux vampires !

En bref…

Buffy The Vampire Slayer est une série intemporelle qui a réussi à créer quelque chose d’extraordinaire malgré son côté fantastique. La série a réussi à aborder beaucoup de sujets divers et variés (toujours d’actualité aujourd’hui) sans se priver d’aucune idée, une pépite pleine d’amour, de drame et d’action.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

73

Genre: Action, Aventure, Fantastique   Année: 1995   Chaîne: Syndication   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

A l’origine ennemie d’Hercule, Xena rejoint le côté du Bien, cherchant la rédemption de ses actes passés. A travers ses aventures mythologiques, elle affronte nombre d’ennemis pour soulager les peuples opprimés et leur offrir une vie de paix.

En bref…

Ah… Xena! Qu’est-ce que j’ai pu rêver d’avoir sa tenue (encore aujourd’hui, j’en rêve encore…) Xena, c’est la série des années 90 qui a mélangé histoire et mythologie, c’est l’une des premières séries où j’ai pu découvrir une femme forte qui n’avait pas besoin d’homme pour vivre ses aventures! Xena c’est des dimanches à jouer avec ma soeur, nous imaginant toutes les deux amazones. Xena, c’est ma jeunesse mais c’est aussi la magnifique Lucy Lawless. 

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

75

Genre: Drame   Année: 1993   Chaîne: CBS   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

À Colorado Springs, au 19ème siècle, l’arrivée d’une femme médecin va changer la vie des habitants de cette petite bourgade traditionnelle.

En bref…

Une autre femme forte des années 90 qui a bercé mon enfance, Jane Seymour interprète à merveille cette femme qui malgré les difficultés ira jusqu’au bout de ses idées et de son rêve épaulé au fil des saisons par sa famille d’adoption et bien sûr par le beau Byron Sully. Qu’est-ce que j’ai pu rêver de lui, plus j’avance dans ce top ,plus je me rend compte que je tombais facilement sous le charme des beaux hommes dans les séries.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

78

Genre: Drame, Thriller, Mystère   Année: 1996   Chaîne: NBC   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

« Il existe des êtres doués d’une intelligence supra normale, des génies qui possèdent entre autre la faculté d’assumer n’importe quelle identité. En 1963, les chercheurs d’une entreprise appelée « Le Centre » ont mis en isolement un de ces êtres, un jeune garçon nommé Jarod et exploitèrent son génie pour des recherches secrètes. Mais un jour, le « Caméléon » leur échappa… »

En bref…

Le Caméléon fait partie de ces séries dont je suis sûre de n’avoir jamais vu la fin, mais ce petit détail n’enlève rien à mon amour pour cette série, que dis-je pour ce duo la stricte Miss Parker et le caméléon Jarod. Fan de Code Quantum, j’ai adoré retrouver cet esprit de changement de personnalité à chaque épisode, les aventures de Jarod mon offert du suspense, de la découverte et beaucoup de bon moment. Un plaisir de la trilogie du samedi soir.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

82

Genre: Drame, Sci-fi, Mystère   Année: 1993   Chaîne: FOX   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Les agents spéciaux du FBI Fox Mulder et Dana Scully sont les enquêteurs de dossiers classés X (Les « X-Files »), des affaires non résolues impliquant des phénomènes paranormaux.

En bref…

Premier épisode vu, premier traumatisme… X-Files c’est le traumatisme de toute une génération, c’est les aventures d’un duo extraordinaire qui nous ont passionnés mais surtout terrifiés. X-Files, c’est l’une des pépites indémodables des années 90.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

81

Genre: Action, Sci-fi, Aventure   Année: 1997   Chaîne: Syfy   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Un anneau de trois mètres de diamètre fait d’un métal inconnu sur Terre constitue en fait une porte ouvrant un passage vers d’autres planètes. Des équipes de militaires et de scientifiques explorent ces différentes planètes, cherchant de nouvelles technologies pour combattre notamment les Goa’ulds, une espèce extraterrestre qui parasite des humains. Parmi ces équipes d’exploration, SG-1 devient la plus réputée, avec le colonel O’Neill, l’égyptologue Jackson, le major Carter et Teal’c, un Jaffa venant de Chulak, un autre monde.

En bref…

Encore aujourd’hui, revoir Stargate SG-1 est un plaisir certes avec des yeux d’adulte ont voit beaucoup plus de détails qui sont assez « cheap », la série n’a pas très bien vieilli mais l’univers lui est toujours aussi passionnant, suivre SG-1 a favorisé mon intérêt pour l’Egypte et mon envie d’aventure.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

77

Genre: Comédie, Romance   Année: 1993   Chaîne: CBS   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Le jour où Fran Fine débarque chez Maxwell Sheffield, c’est un véritable tourbillon qui emporte toute la monotonie de la maison. Ancienne représentante en cosmétiques, elle va désormais s’occuper des enfants de M. Sheffield et devenir une « Nounou d’enfer » !

En bref…

Qui n’a pas rêvé d’avoir une nounou d’enfer comme Miss Fine et ses tenues d’enfer ?! Arriver par hasard dans la maison de Mr Shefield, elle aura telle une tornade retournée la vie de cette petite famille. Une nounou d’enfer est une série drôle et attachante qui encore aujourd’hui fait son petit effet!

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

79

Genre: Comédie, Aventure, Fantasy   Année: 1996   Chaîne: CBS   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Gary Hobson est un agent de change à Chicago. Un jour, sa femme le quitte et il est forcé de s’installer dans une chambre d’hôtel. Le matin suivant, à 6h30, un mystérieux chat jaune se trouve sur le palier de la porte de sa chambre avec l’édition du journal Chicago Sun-Times du jour suivant ! Sa vie ne sera alors plus jamais la même.

En bref…

Les aventures de Gary Hobson commençait tous les matins à 6h30 avec la livraison d’un journal par un mystérieux chat roux, pour moi les aventures de Gary Hobson commençait tous les samedis midi sur M6 (si mes souvenirs sont bons). Demain à la une est une série naïve mais qui n’en reste pas moins optimiste et humaine, un petit plaisir d’enfance so 90′.

Et pour finir, la mise en bouche en générique..

76

Genre: Drame   Année: 1994   Chaîne: ABC1   Note: 5/10

De quoi ça parle ?

Le lycée d’Hartley en Australie regroupe des étudiants de toutes origines raciales et ethniques, ce qui donne lieu à des problèmes et disputes en permanence.

En bref…

Mon amour pour Hartley commence avec l’arrivée du beau et rebelle Drazic et se termine avec Drazic.. ah.. qu’est-ce que j’ai pu rêver de ce petit homme avec son piercing à l’arcade! La série Hartley, coeur à vif est inspiré d’un film (The Heartbreak kid) qui lui-même est inspiré d’une pièce de théâtre qui mettait en scène une histoire d’amour entre un élève et son professeur. Les joies et les peines de ces petits jeunes nous ont accompagnés dans les années 90 mais n’ont jamais réussi à détrôner Beverly Hills…

Et pour finir, la mise en bouche en générique..


 

Le vendredi en série

le vendredi en serie


Le bruit de couloir inattendu (7)


Genre: Drame, Horreur, Fantastique   Année: 2014   Durée: 1h   Chaîne: Showtime   Note: 8/10


Au XIXème siècle, le penny dreadful est une histoire macabre vendue en petit format dans un papier médiocre qui suscite à l’époque un grand intérêt auprès de la classe ouvrière britannique. Voilà, de quoi s’inspire la série de John Logan qui reprendra bien sûr (pour notre plus grand plaisir) quelques passages du folklore criminel, le plus connu étant Jack l’Éventreur. 

Sombre et élégante, Penny Dreadful a réussi à transformer des histoires qui à l’époque valaient 3 francs 6 sous en une énorme oeuvre littéraire qui mélange folklore anglais et littérature anglaise. Car la magie de la série est d’avoir réussi à rassembler des figures incontournables du monde de la littérature et du cinéma sans les ridiculiser où les caricaturer, une idée de génie qui donne à la série une approche nouvelle et une réelle identité.

Eva Green offre une prestation impressionnante et complexe qui nous emporte et possède la série, Timothy Dalton surprend et charme en explorateur/vengeur, Josh Hartnett se révèle au fil des épisodes sentimental et protecteur, le Docteur Frankenstein (Harry Treadaway) et sa créature (Rory Kinnear) explore leur relation ensemble et séparément, Dorian Grey charme et attise le mystère créant un mélange de personnages romanesques qui au fil des saisons ressembleront petit à petit à La Ligue des Gentlemen Extraordinaire d’Alan Moore, un petit plaisir supplémentaire pour cette série qui nous en donne déjà beaucoup.

Aucun personnage n’est laissé de côté chacun à sa propre histoire dans cette grande aventure qu’est Penny Dreadful, la mise en scène est soignée, l’écriture est fluide, bien étudiée et garde le côté classique de la littérature populaire de la fin du XIXème. Malheureusement, la seule chose que l’on pourrait reprocher à Penny Dreadful, ce sont des épisodes parfois inégaux qui empêchent la série d’entrer dans le panthéon des séries parfaites.

Penny Dreadful est une série qui parle du bien et du mal, de la croyance, de la beauté et bien sûr de la nature humaine, après 3 saisons la série s’achève comme elle avait commencé de façon inattendu. Penny Dreadful est une petite pépite qu’on prend plaisir à découvrir pour son casting et son histoire.

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Le cinema en 2019

Septembre c’est le mois de la rentrée, l’heure du bilan de l’été et surtout l’heure de la reprise (pour la grande majorité) après avoir fait un petit bilan de ce que j’ai pu voir sur le cru 2019, il est l’heure de faire une dernière petite liste de ce que je veux voir en 2019.


65

Réalisé par: Andy Muschietti   Genre: Horreur, Fantastique   Sortie: Actuellement au cinéma

De quoi ça parle?

Tous les 27 ans, une créature maléfique revient hanter les rues de Derry, dans le Maine. Près de trente ans après les événements du premier opus, les membres du Club des Ratés, désormais adultes, se retrouvent.

62

Réalisé par: Mike Flanagan   Genre: Horreur   Sortie: 30 octobre

De quoi ça parle?

Danny Torrance est à présent adulte mais toujours marqué par les événements tragiques de l’hôtel Overlook. Alcoolique et dépressif, il voit ses pouvoirs revenir lorsqu’il doit sauver la vie d’une fillette.

64

Réalisé par: Rob Zombie   Genre: Horreur   Sortie: Sortie prochainement

De quoi ça parle ?

La suite de La Maison des mille morts et The Devil’s Rejects sortis respectivement en 2003 et 2005.

67

Réalisé par: Tim Miller   Genre: Science-Fiction, Action   Sortie: 23 octobre

De quoi ça parle ?

De nos jours à Mexico. Dani Ramos, 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté Gabriel, une machine Terminator des plus évoluées, indestructible et protéiforme, un « Rev-9 », venue du futur pour la tue…

66

Réalisé par: Noah Baumbach   Genre: Drame, Comédie   Sortie: Novembre 2019

De quoi ça parle ?

Un metteur en scène et sa femme, comédienne, se débattent dans un divorce exténuant qui les pousse à des extrêmes…

61

Réalisé par: Greg Tiernan & Conrad Vernon   Genre: Animation   Sortie: 4 décembre

De quoi ça parle?

Nouvelle version des aventures de la célèbre famille macabre qui vit dans un manoir hanté…

Le bruit de couloir inattendu (4)

Réalisé par: Jake Kasdan   Genre: Aventure, Comédie   Sortie: 11 décembre

De quoi ça parle ?

L’équipe est de retour, mais le jeu a changé. Alors qu’ils retournent dans Jumanji pour secourir l’un des leurs, ils découvrent un monde totalement inattendu.

Le bruit de couloir inattendu (5)

Réalisé par: Todd Phillips   Genre: Thriller   Sortie: 9 octobre

De quoi ça parle ?

Les origines du Joker dans les années 80 à Gotham City.

Le bruit de couloir inattendu (6)

Réalisé par: Ruben Fleischer   Genre: Comédie, Horreur   Sortie: 30 octobre

De quoi ça parle ?

le chaos règne partout dans le pays, depuis la Maison Blanche jusqu’aux petites villes les plus reculées. Nos quatre tueurs doivent désormais affronter de nouvelles races de zombies qui ont évolué en dix ans et une poignée de rescapés humains.

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Maleficent: Mistress of Evil sortie le 17 octobre – Toy Story 4 – Charlie’s Angels sortie le 4 décembre – John Wick Parabellum – Yves – Bienvenue à Marwen – Les traducteurs sortie le 18 décembre – The New Mutants sortie le 1er avril 2020 (si dieu le veut) – All you need is love – Once upon a time… in Hollywood – Border – Dis moi Céline sortie prochainement – The Irishman – El Camino sortie prochainement.

 

The dead don’t die

Le bruit de couloir inattendu


Réalisé par: Jim Jarmusch   Année: 2019   Durée: 1h44min   Note: 5/10


Après les vampires, Jim Jarmusch s’attaque aux morts-vivants, il revisite les genres et les mythes populaires avec sa sobriété et son minimalisme habituel qui plairont à certains et en laisseront d’autres sur le bord de la route à l’entrée de Centerville.

The dead don’t lie, c’est l’histoire d’une petite bourgade tranquille qui va du jour au lendemain se retrouver envahie par des zombies, c’est l’histoire, d’une ville perdue dans le temps qui va se sentir dépassé par la modernité envahissante. The dead don’t lie c’est l’histoire de la fin de la petite ville de Centerville. 

Avec The dead don’t lie, le réalisateur mélange son cinéma d’auteur et le cinéma d’horreur pour créer un film long et assez énigmatique porté par un casting cinq étoiles. Jim Jarmusch reprend les codes mis en place par le grand, le talentueux George A. Romero dans son film, il utilise son histoire de zombie pour dénoncer: la crise climatique, la consommation à outrance, l’épuisement de notre planète, et bien sûr notre dépendance à la technologie. Il commence subtilement au début puis plus intensément par la suite, pour ne plus se cacher sur la fin.

Jim Jarmusch se repose malheureusement beaucoup trop sur son casting et certains plans (certes superbes) mais parfois beaucoup trop long qui perdront en route certains spectateurs. On peine à se laisser absorber complètement dans cette fable de zombies légèrement paresseuse et trop consciente de ce qu’elle est. Avec The dead don’t lie, Jarmusch a été un peu trop confiant dans sa nonchalance et son casting, qui d’habitude font son cinéma. Il met en scène la fin du monde avec ironie et minimalisme malheureusement beaucoup de longueur et une trop grosse leçon de morale feront perdre au film une partie de son public.

The dead don’t lie est un film mou qui manque de rythme et qui n’a pour lui que son casting, c’est bien dommage.

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Le cinema en 2019

Comme j’avais pu vous le dire en janvier, les listes sont toujours pratiques, faire des listes me permet de savoir où j’en suis, voir ce que j’ai loupé et ce que j’ai vu, l’été se termine, il est temps pour Le Bruit du Cinema de faire un petit bilan sur le cru de 2019.


glass

Réalisé par: M. Night Shyamalan   Genre: Thriller   Durée: 2h9min   Note: 9/10

De quoi ça parle ?

Se déroulant après Split, Glass suit David Dunn à la poursuite de La Bête, la personnalité surhumaine de Crumb, tandis qu’Elijah Price sort de l’ombre et semble détenir des informations capitales au sujet des deux hommes.

En bref…

Glass fait partie de ces rares films que je digère encore aujourd’hui, le film est une pure pépite, une merveille de réalisation, un plaisir nostalgique qui clôture à la perfection une trilogie inattendue.

umbrella

Genre: Action, Mystère, Drame   Chaîne: Netflix   Durée: 1h   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Une famille de super-héros déjantés se réunit pour tenter de résoudre le mystère entourant la mort de leur père, et bien plus encore.

En bref…

Umbrella Academy ouvre une nouvelle porte dans le monde des super-héros, la série reste assez classique mais arrive à sortir du lot grâce à une histoire sympa et un casting intéressant, une belle découverte qu’on doit au géant Netflix.

alita

Réalisé par: Robert Rodriguez   Genre: Action, Sci-fi   Durée: 2h2min    Note: 1/10

De quoi ça parle ?

Au XXVIe siècle, les aventures d’Alita, un cyborg ayant le corps d’une adolescente de 14 ans, dans un monde post-apocalyptique ravagé par une guerre dévastatrice.

En bref…

Grosse déception pour ce blockbuster réalisé par le talentueux Robert Rodriguez, beaucoup trop prévisible, beaucoup trop mielleux, rien ne m’a marqué dans ce film qui avait « promis » de changer le visage du blockbuster… Je n’ai vu qu’un film qui est là pour annoncer une suite…

sahazam

Réalisé par: David F. Sandberg    Genre: Aventure, Comédie    Durée: 2h12min

Note: 5/10

De quoi ça parle ?

On a tous un super-héros qui sommeille au fond de soi… il faut juste un peu de magie pour le réveiller. Pour Billy Batson, gamin débrouillard de 14 ans lacé dans une famille d’accueil, il suffit de crier « Shazam ! » pour se transformer en super-héros. Ado dans un corps d’adulte sculpté à la perfection, Shazam s’éclate avec ses tout nouveaux superpouvoirs.

En bref…

Bonne surprise! Avec l’univers DC, je ne m’attends plus à rien, j’ai eu beaucoup trop de déception par le passé, c’est donc avec surprise que j’ai apprécié Shazam! Le film remonte le niveau, il s’avère même qu’il est divertissant malgré quelques passages prévisibles. Avec Shazam! vous passerez un bon moment.

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Genre: Animation, Fantastique, Sci-fi   Chaîne: Netflix   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Une série animée d’anthologie présentée par Tim Miller et David Fincher.

En bref…

Je ne suis pas très fan des courts-métrages en général, j’ai souvent l’impression de ne pas en voir assez, qu’il me manque quelque chose. Heureusement, Netflix a réussi à me réconcilier avec le court métrage grâce à Love, Death & Robots qui nous propose des histoires originales pleines de réflexions qui restent en mémoire.

hellboy

Réalisé par: Neil Marshall   Genre: Action, Fantastique   Durée: 2h   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

Hellboy affronte Nimue, épouse de Merlin et Reine de Sang. Leur lutte amorcera la fin du monde.

En bref…

Grande fan de Ron Perlman, j’ai lancé le nouveau Hellboy avec beaucoup d’appréhension étant persuadé qu’il ne pourrait rien pondre de bien, c’est donc une nouvelle fois avec surprise que j’ai apprécié cette nouvelle version, pas si catastrophique que prévu. Malheureusement, j’aurais préféré retrouver le beau et talentueux Ron Perlman dans un troisième volet d’une saga qui laisse un gout d’inachevé.

Le bruit de couloir inattendu (2)

 

 

Réalisé par: Christopher Landon   Genre: Horror, Thriller   Durée: 1h40min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Tree va découvrir que revivre la journée de sa mort était bien plus facile que les dangers qui l’attendent..

En bref…

Surprenant, ce deuxième opus reprend intelligemment certaines bases du premier, on prend plaisir à redécouvrir l’univers de ce film qui est une petite surprise depuis le début.

always me

Réalisé par: Nahnatchka Khan   Genre: Romance   Durée: 1h41min   Note: 1/10

De quoi ça parle ?

Sasha, une chef célèbre, et Marcus, un musicien local, se retrouvent après 15 ans.

En bref…

Une comédie romantique sans grand intérêt, on retiendra seulement la performance de Keanu Reeves. 

Le bruit de couloir inattendu (3)

Réalisé par: F. Gary Gray   Genre: Comédie, Sci-fi   Durée: 1h54min   Note: 1/10

De quoi ça parle ?

Les Men In Black ont toujours protégé la Terre de la vermine de l’univers. Dans cette nouvelle aventure, ils s’attaquent à la menace la plus importante qu’ils aient rencontrée à ce jour : une taupe au sein de l’organisation Men In Black.

En bref…

Un film bâclé qui n’apporte rien de nouveau dans l’univers des Men in Black.

dragon

Réalisé par: Dean DeBlois   Genre: Animation   Durée: 1h44min   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

Ce qui avait commencé comme une amitié improbable entre un jeune Viking et un redoutable dragon Fury Nocturne est devenu une épique trilogie retraçant leurs vies. Dans ce nouveau chapitre, Harold et Krokmou vont enfin découvrir leurs véritables destinées.

En bref…

Une jolie fin pour un jolie pour un joli film d’animation, un film qui fait plaisir à nos petits coeurs d’enfant.

pokemon

Réalisé par: Rob Letterman   Genre: Comédie, Aventure   Durée: 1h44min   Note: 5/10

De quoi ça parle ?

Harry Goodman, un détective privé disparait mystérieusement. Une séparation qui pousse alors son fils Tim, 21 ans, à tenter de découvrir ce qui s’est passé. Le détective Pikachu, ancien partenaire de Harry, participe alors à l’enquête…

En bref…

Un film sympa malgré une fin décevante qui vous fera replonger dans votre jeunesse.

avengers

Réalisé par: Anthony & Joe Russo   Genre: Action, Aventure   Durée: 3h   Note: 3/10

De quoi ça parle ?

Après leur défaite face au Titan Thanos qui dans le film précédent s’est approprié toutes les pierres du Gant de l’infini , les Avengers et les Gardiens de la Galaxie ayant survécu à son claquement de doigts qui a pulvérisé « la moitié de toute forme de vie dans l’Univers », Captain America, Thor, Bruce Banner, Natasha Romanoff, War Machine, Tony Stark, Nébula et Rocket, vont essayer de trouver une solution pour ramener leurs coéquipiers disparus et vaincre Thanos.

En bref…

Entre perplexités, manque de quelque chose et trop pleins de beaucoup de choses, cet Avengers ne m’aura apporté que peu de plaisir, surement l’une des plus grosses déceptions de mon année 2019.

the boys

Genre: Action, Sci-fi   Chaîne: Amazon   Durée: 1h   Note: 8/10

De quoi ça parle?

Dans un monde fictif où les super-héros se sont laissés corrompre par la célébrité et la gloire ont, peu à peu, révélé la part sombre de leur personnalité, une équipe de justiciers qui se fait appeler « The Boys » décide de passer à l’action et d’abattre ces super-héros autrefois appréciés de tous.

En bref…

Enfin des super-héros comme je les imagine, enfin une série qui sort des clous et offre une nouvelle vision de cet univers devenu un peu trop redondant. Un plaisir que l’on doit à Amazon qui nous offre une série à la hauteur de nos attentes.

pet seme

Réalisé par: Kevin Kölsch & Dennis Widmyer   Genre: Horror   Durée: 1h41min

Note: 2/10

De quoi ça parle ?

Le docteur Louis Creed, sa femme Rachel et leurs deux jeunes enfants quittent Boston pour s’installer dans une région rurale du Maine. Près de sa maison, le docteur découvre un mystérieux cimetière caché au fond des bois. Peu après, une tragédie s’abat sur lui. Creed sollicite alors l’aide d’un étrange voisin, Jud Crandall. Sans le savoir, il vient de déclencher une série d’événements tragiques qui vont donner naissance à de redoutables forces maléfiques.

En bref…

Inutile…

holmes

Réalisé par: Etan Cohen   Genre: Comédie   Durée: 1h30min   Note: 1/10

De quoi ça parle ?
Adaptation des célèbres aventures de Sherlock Holmes et de son acolyte Watson.
En bref…

On rigole un peu sur des blagues pipi/caca pendant 1h30 puis on oublie le film.

Broken Flowers

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Réalisé par: Jim Jarmusch   Année: 2005   Durée: 1h46min   Note: 7/10   Achat: VOD


Sur le moment on sourit, on trouve certaines situations marrantes mais une fois qu’on finit le film et qu’on commence à le digérer, on se rend compte que tout est déchirant. Broken Flowers c’est l’histoire douce et amer d’un homme qui se penche sur son passé dans un road trip désenchanté à la recherche du temps perdu…

Jim Jarmusch signe une oeuvre drôle, poétique, profonde et sobre légèrement décalé que seul le réalisateur pouvait mettre en images et que seul le grand Bill Murray pouvait interpréter. Avec Broken Flowers deux lectures s’offrent à nous la première nous fait sourire et nous fait parfois rire, la seconde lecture, nous révèle une histoire plus inquiète, plus profonde qui nous parle de la fuite du temps et de la solitude.

Broken Flowers est un road movie sentimental qui doit son succès à un casting parfait et à son réalisateur qui nous prouve qu’il est passé maître dans le genre du sketchs movies. Jim Jarmusch arrive à capter l’élégance discrète d’un instant sublimant la silhouette d’un Bill Murray mélancolique étouffé par la solitude du monde moderne.

Avec Broken Flowers, Jim Jarmusch s’ouvre à un public plus large sans perdre son âme, son humour pince-sans-rire et sa touche minimaliste qui fait son cinéma, il créait une fable accessible à tous à travers un road trip remplie de rencontre. Il livre un portrait d’un Amérique mélangé entre beauté et tristesse, désillusion et besoins, faux-semblants et réalité, une Amérique à l’évidence dans un désarroi profond. Le charme du film est difficile à nommer, on ne peut pas dire pourquoi on a aimé, on peut seulement le supposer…

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Le mardi c’est classique

le mardi c'est classique


dirty


Réalisé par: Emile Ardolino   Année: 1987   Durée: 1h40min   Achat: VOD


Je ne pouvais pas faire un mardi c’est classique, sans vous reparler d’un de mes films favoris, un film qui a marqué mon enfance et celle de ma soeur, d’un film qui m’a fait rêver d’un amour de vacance, d’un film qui m’a donné envie de danser, je vous parle bien sûr de l’incontournable Dirty Dancing!

Dirty Dancing c’est l’histoire de Frédérique alias Baby qui va passer un été en famille à la pension Kellerman dans la région des montagnes Catskill, c’est l’histoire d’un été monotone qui va devenir passionnant, c’est l’histoire d’une émancipation, c’est l’histoire d’une rencontre, c’est l’histoire d’un amour d’été…

Qui aurait cru qu’une comédie romantique à l’histoire basique, aux castings peu connus allait devenir un classique du cinéma ? Pas grand monde et surement pas les Français (seulement 365 000 entrées contre 8 millions en Allemagne) Et pourtant maintenant, diffusé Dirty Dancing à la télévision assure une bonne audience. Comment peut-on expliquer ce succès ?

Le scénario n’a rien de révolutionnaire mais sa simplicité fonctionne à la perfection portée par des chorégraphies sensuelles qui nous emmènent à petits pas vers le porté final qui laissera exploser la magie de cet amour « éphémère » qui nous fait rêver. Entre nous après avoir vu le film qui n’a pas rêvé de trouver lors d’un été un homme ténébreux et sensible comme le beau Johnny et de finir ses vacances sur une musique sensuelle en dansant coller/serrer avec cet homme si parfait ?

Quiproquo, haine, chance, amour et danse, voilà ce qui a fait le succès de Dirty Dancing mais c’est surtout grâce à un public devenu fidèle que le film a pu s’élever au rang de film culte. Dirty Dancing a fait rêver plus d’une petite fille (et n’a pas fini d’en faire rêver), Dirty Dancing c’est une étoile dans la galaxie qui n’a pas fini de briller, Dirty Dancing c’est un film pour tout âge, intemporel, plein d’amour et de danse qu’on aime voir et revoir!

Le saviez-vous ? 

  • L’un des plans les plus célèbres du film (Bébé explosant de rire en pleine répétition) est une prise raté que le monteur a décidé d’inclure au film. L’exaspération très visible de Patrick Swayze n’est pas feinte du tout. La scène ou Bébé et Johnny se tournent autour en entonnant un playback (Love is Strange) et à l’origine juste un échauffement avant de reprendre le tournage.
  • La quasi-totalité des répliques anthologiques que nous connaissons tous, sont en réalité des pures inventions des traducteurs français.
  • Dans le film, Penny (Cynthia Rhodes) avorte clandestinement, le sujet effrayait les financiers, mais Eleanor Bergstein avait fait en sorte que cette storyline soit essentielle à la compréhension de l’intrigue principale afin d’être sûre qu’elle ne disparaisse pas au montage.

dirty dancing

Transamerica

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Réalisé par: Duncan Tucker   Année: 2005   Durée: 1h43min   Note: 8/10   Achat: VOD


Transamerica c’est l’histoire d’un jeune homme à la recherche de son père, c’est l’histoire d’un père qui veut devenir femme, c’est un voyage initiatique qui annule nos préjugés inavouables sans nous faire de leçon de moral.

Transamerica est un film qui aborde de façon intelligente le sujet de la transexualité (rarement abordé au début des années 2000), le scénario est assez crédible et plein de justesse, le casting est bourré de talent qu’on aime découvrir (ou redécouvrir). Duncan Tucker réalise une première oeuvre pleine de maturité dont le seul défaut et sa sobriété parfois trop présente, malgré tout ce détail n’entachera en rien le film, qui surprend et marque les esprits, offrant une observation assez juste de la nature humaine.

Duncan Tucker réalise un film délicat, juste et sobre, marqué par des dialogues bien travaillés, il parle de l’acceptation de soi mais aussi de l’acceptation des autres, avec son film, il réussit à se démarquer et à marquer les esprits. Transamerica fait partie de ces films qui méritent d’être vus et surtout beaucoup plus connus. A voir sans hésitation.

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Aout 2019

*le bruit de couloir

Resident Evil va bientôt revenir sur grand écran, la franchise se relook et se rapproche enfin de l’histoire du jeu vidéo. Le récit fera donc un retour aux sources inattendu qui fait plaisir, j’espère juste qu’ils arriveront enfin à faire quelque chose de bien…

*news good

Ewan McGregor reprendra bien (j’ai envie de dire enfin!) le rôle d’Obi Wan Kenobi pour l’une des futures séries Star Wars de la plateforme Disney+, après des années de doute, l’acteur peut enfin retrouver son sabre laser.

*bad news

C’est officiel Matrix 4 est bien lancé, le tournage est prévu l’année prochaine et Keanu Reeves, Carrie Anne Moss et Lana Wachowski sont de retour (pour nous jouer un mauvais tour?) Le bruit de couloir dit que la production cherche à recaster Morpheus pour un acteur plus jeune, l’histoire se déroulera-t-elle dans le passé ? Seul le temps nous le dira. Personnellement, l’idée de retrouver l’univers de Matrix me plaît mais je pense qu’il y a tellement plus à faire que de se contenter de retrouver Neo & Trinity….

*dinseymania

Après Le livre de la jungle, Aladdin, Le Roi Lion, Mulan, La Petite Sirène, c’est Basil le Détective qui pourrait voir le jour en live action, je vous avoue que j’ai un peu l’impression que tous les mois, une annonce de réadaptation est faite, je pense qu’on va pouvoir se lancer dans une petite partie de Bingo.

Ce mois-ci, on apprend aussi que Disney a été trop gourmand et que Sony ne s’est pas laissé faire, c’est donc l’homme araignée qui en paye le prix et qui se voit disparaitre de la team du MCU. Ahhh… La gourmandise…

Et pour finir, Hilary Duff reprend son rôle de Lizzie McGuire pour la plateforme Disney+, la série sera une suite, on suivra les aventures de la jeune femme trentenaire qui cherche à construire sa vie à New YorkDisney met le paquet et joue sur la nostalgie 90 pour attirer plus de clients potentiels.

*video time

Et si Marvel était R-Rated ?

Petit rappel: R-Rated est un symbole de classification des films en vigueur aux Etats-Unis, la classification est établi par la Motion Picture Association of America. R-Rated signifie Restricted. Les mineurs (17 ans et moins) doivent être accompagné d’un adulte.

*En bref

En août, Disney a beaucoup fait parler de lui, heureusement pour nous il y a eu quelques petites news sans rapport avec Disney, on a appris que si Ben Affleck avait réalisé son Batman, le film se serait concentré sur la folie et aurait pris comme décor l’asile d’Arkham, qu’Amazon aurait prévu une vingtaine d’épisodes pour la saison 1 du Seigneur des anneaux et que le tournage de sa série The Boys a commencé son tournage. Apple entre dans la course du streaming en créant sa propre plateforme qui sera disponible courant novembre, Michelle Williams avoue vouloir plus de combats en She-Venom (pas sûre d’être d’accord avec elle…) et bien sûr le mois d’août étant un mois Disney, on a appris que Kit Harington entre dans le Marvel Cinematic Univers, il rejoint le casting des Eternels où il jouera le Chevalier Noir au côté de son compère de Game of ThronesRichard Madden. 

*a vos calendrier

Last Christmas sortie le 8 novembre 2019 – Cruella sortie le 28 mai 2021 – Clone Wars sortie courant février 2020 – Black Panther 2 sortie le 6 mai 2022

*bande annonce aout

  • Joaquin Phoenix va être parfait dans Joker sortie le 9 octobre 2019

  • Kristen Stewart et son équipe sont sous l’eau dans Underwater sortie le 8 janvier 2020.

  • Les filles du Docteur March sont de retour dans Little Women sortie le 25 décembre 2019.

  • Ils sont de retour dans Terminator: Dark Fate sortie le 23 octobre 2019.

  • Vous avez dit Jesse Pinkman ? – El Camino: A Breaking Bad Movie sortie le 11 octobre 2019.

  • L’univers Star Wars passe du côté sombre dans The Mandalorian sortie le 12 novembre.

  • Les français se mettent à l’horreur sur Netflix dans Marianne sortie le 13 septembre 2019.

  • Keri Russell + un petit garçon qui fait peur = Horreur dans Antlers sortie prochainement.

  • Un trio inattendu pour un film énigmatique dans Bombshell sortie le 29 janvier 2020.

  • Une bande-annonce nostalgique pour Star Wars: The Rise of Skywalker sortie le 18 décembre 2019.

  • La « magie » du live action Disney dans Lady and the Tramp sortie le 12 novembre 2019.

  •  Scarlett Johansson et Adam Driver forment un couple complexe dans Marriage Story sortie prochainement.

*films aout

The Boys (2019) 8/10 – Les décalés du cosmos – Ze film (2008) 5/10 – Alita (2019) 1/10 – Spiderman: New Generation (2018) 9/10 – Mutafukaz (2017) 4/10 – Hereditary (2018) 2/10- One Piece film: Gold (2016) 1/10 – Shazam! (2019) 5/10 – Mortal Engines (2018) 1/10 – Dark Tower (2017) 1/10 – Love, Death & Robots (2019) 8/10 – Le grand bain (2018) 6/10 – BH90210 (2019) 7/10 – The Haunting of Hill House (2018) 6/10 – MIB: International (2019) 1/10 – Pokemon: Détective Pikachu (2019) 5/10

Un jeudi, un méchant

un jeudi un mechant


saw


Film: SAW   Année: 2004   Catégorie: Tueur en série/Génie du mal    Genre: Horreur, Thriller


Origines

John Kramer est un ancien ingénieur qui a dû faire face à de nombreuses épreuves dans sa vie, son ex-femme a fait une fausse couche et l’a quitté, il apprendra par la suite, qu’il est atteint d’un cancer incurable, après une tentative de suicide raté, il finira par envisager son existence autrement, en s’adonnant au meurtre. Il prendra le nom de Jigsaw et deviendra le tueur en série que tout le monde connaît.

En bref…

John Kramer aka Jigsaw est un tueur en série vicieux d’un cinquantaine d’années, qui ne tue jamais lui-même. Partant du principe que les gens qui ne profitent pas de la vie, ne méritent pas de vivre, il propose à ses victimes des jeux avec des règles tordues et des mécanismes sanglants qui se déclenchent dans un temps imparti. Jigsaw tente à sa manière de libérer ses victimes de certaines de leurs peurs, de leurs souffrances qui gâchent leur existence selon son point de vue.

Le saviez-vous ?

  • SAW est l’un des longs-métrages les plus rentables de l’histoire du cinéma d’horreur, tout comme le film Le projet Blair Witch.
  • Toutes les scènes qui se passent dans la salle de bain ont été tournée dans l’ordre chronologique, James Wan voulait que les acteurs ressentent mieux la tension de leurs personnages.
  • Le film a été tourné en 18 jours.

Et pour finir la mise en bouche..

Un dimanche coup de coeur

un dimanche coup de coeur


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Réalisé par: Jonathan Dayton & Valerie Faris   Année: 2006   Durée: 1h41min   Achat: VOD


Little Miss Sunshine c’est l’histoire d’une famille bancale qui a du mal à trouver son équilibre, c’est l’histoire d’une famille qui se lance dans un road trip improvisé qui va les aider à trouver cet équilibre qui leur manqué, c’est une thérapie de groupe rempli d’émotions et d’humanité, c’est une comédie qui tient toutes ses promesses.

Little Miss Sunshine c’est une traversée chaotique d’une Amérique toujours en quête de réussite et de perfection. Le scénario d’une rare drôlerie est écrit de façon délicate, n’oubliant aucun personnage et offrant une belle partition de caractère, tous interprétés de façon juste, les scénaristes n’en oublient pas pour autant d’aborder des thèmes d’actualité comme l’addiction, la mort et même le sexe sans jamais perdre le ton humoristique qui fait le film.

Jonathan Dayton et Valerie Faris trouvent un bel équilibre entre rires et émotions, ils arrivent à créer un voyage initiatique pour la petite famille mais aussi pour le spectateur. Ils ont réussi à créer un road movie familial pétillant d’ingéniosité et de bonne humeur malgré des sujets sulfureux.

Little Miss Sunshine est une comédie drôle et intelligente où la tendresse des personnages apaise la cruauté des situations rendant le film unique. Ce film est une petite pépite, un feel good movie, une réelle bouffée d’oxygène qui une fois vue ne s’oublie pas.

Le saviez-vous ? 

  • Le projet Little Miss Sunshine a mis cinq ans avant de voir le jour, le plus gros problème a été de trouver le financement.
  • La production s’est assurée qu’Abigail Breslin écoute vraiment de la musique dans son casque pour les scènes ou Alan Arkin devait dire un texte vulgaire.
  • Bill Murray était le premier choix pour jouer Frank, le second choix était Robin Williams. 

little

Agence de voyages Le Bruit du Cinema

En août sur Le Bruit du Cinema, on parle voyage, on parle vacance, on profite des derniers moments avant une rentrée obligatoire pour beaucoup. Après la découverte de ville à travers certains films, je vous propose un petit road trip en Amérique, il n’y aura que 5 films (mais pas d’inquiétude, ce n’est qu’un début). Les road movies pullulent dans le monde du cinéma du petit film indépendant au gros blockbuster, tout le monde a utilisé le sujet au moins une fois, petit tour d’horizon de ces films qui nous donnent envie de voyager.


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Réalisé par: Jim Jarmusch   Année: 2005   Durée: 1h46min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Célibataire endurci, Don Johnston vient d’être quitté par Sherry, sa dernière conquête. Alors qu’il se résigne une nouvelle fois à vivre seul, il reçoit une lettre anonyme dans laquelle une des anciennes petites amies lui apprend qu’il est le père d’un enfant de 19 ans, et que celui-ci est peut-être parti à sa recherche. Sous les conseils de son meilleur ami Winston, détective amateur, il décide de mener l’enquête afin d’éclaircir ce mystère.

Mes amis, je dois m’en aller, je n’ai plus qu’à jeter mes clés
Car elle m’attend depuis que je suis né, l’Amérique

Avec Broken FlowersJim Jarmusch offre un road movie sentimental réussi, à travers une Amérique mélangée entre beauté et tristesse, désillusion et besoins, faux-semblant et réalité, le réalisateur livre le portrait d’une Amérique à l’évidence dans un désarroi profond.

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Réalisé par: Jonathan Dayton & Valerie Faris   Année: 2006   Durée: 1h41min   Note: 9/10

De quoi ça parle ?

La famille Hoover part à bord d’un vieux van d’Albuquerque à Redondo Beach en Californie pour le concours de Little Miss Sunshine. C’est le rêve de leur petite fille de 7 ans, Olive, une fillette qui s’imagine reine de beauté. Sur le chemin, il va leur falloir gérer les rêves brisés, les crises cardiaques et les pannes du vieux van Volkswagen…

J’abandonne sur mon chemin tant de choses que j’aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin, l’Amérique

Little Miss Sunshine est un road movie familial, pétillant d’ingéniosité et de bonne humeur, porté par des personnages sincères, pleins de tendresse et d’humour, une véritable bouffé d’oxygène qui vous donnera la joie de vivre.

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Réalisé par: Duncan Tucker   Année: 2005   Durée: 1h43min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Bree, devenu transsexuel, travaille jour et nuit afin d’avoir assez d’argent pour payer une intervention chirurgicale qui fera définitivement de lui une femme. Un jour, elle reçoit un appel téléphonique d’un adolescent en fuite qui recherche son père.

L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai
L’Amérique, l’Amérique, si c’est un rêve, je le saurai

Transamerica est un voyage initiatique qui annule nos préjugés inavouables, sans leçon de morale, le film donnera matière à réflexion et illuminera n’importe quelle journée tristounette.

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Réalisé par: Gren Wells   Année: 2014   Durée: 1h40min   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

Vincent est atteint du syndrome de la Tourette. Il vient de perdre sa mère et se retrouve ainsi face à son père avec qui il est en froid depuis quelques temps. Ce dernier craignant que son fils vienne compromettre sa carrière politique, il envoie Vincent dans une clinique spécialisée. Sur place, le jeune homme fait la connaissance de Marie, une jeune anorexique dont il tombe amoureux. Ensemble, ils décident de s’enfuir, entraînant malgré eux Alex, le colocataire de Vincent, qui souffre de TOC.

Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M’ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado, de l’Amérique

The Road Within est une ode à la liberté qui se découvre à travers un road trip inattendu mené par trois personnages en recherche de réponse. Un film qui nous rappelle qu’avant le handicap, il y a l’humain.

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Réalisé par: Blair Hayes   Année: 2001   Durée: 1h24min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Jimmy Livingston est un jeune homme pas comme les autres. Né avec un système immunitaire défaillant, il est obligé de vivre confiné dans une bulle aseptisée qui le protège du monde extérieur. Grâce à sa mère qui lui témoigne une attention de tous les instants, Jimmy est heureux. Mais celui-ci décide de sortir de son univers cloisonné lorsqu’il apprend que Chloé, son amie d’enfance, dont il est amoureux, s’apprête à se marier aux chutes du Niagara.

Mes amis, je vous dis adieu, je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n’ai dans les yeux que l’Amérique

Bubble Boy est un road movie plein de bons sentiments, qui effleure avec humour une maladie très difficile à vivre, c’est aussi un teen movie qui parle assez justement de l’éveil amoureux mais aussi de l’éveil sexuel, le tout emporté par une bande-son rock qui donne du punch à cette aventure.

Je reviendrai je ne sais pas quand, cousu d’or et brodé d’argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu’avant de l’Amérique
L’Amérique,

Le vendredi en série

le vendredi en serie


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Genre: Action, Sci-fi, Thriller   Année: 2009   Durée: 45min   Chaine: FOX


Exceptionnellement pour ce mois d’août Le vendredi en série sort une semaine plus tard, en septembre tout rentre dans l’ordre pas d’inquiétude. Aujourd’hui dans Le vendredi en série,  je vais vous parler d’une série du talentueux Joss Whedon, une série au potentiel énorme qui encore une fois a été tué dans l’oeuf par la FOX.

Bienvenue dans Dollhouse, une histoire passionnante qui dérange.

L’histoire de Dollhouse prend vie lors d’un diner entre Eliza Dushku et Joss Whedon, l’actrice l’invite pour lui faire part d’une idée, avant même que l’addition arrive sur la table, le génie de Joss aura fait effet, il repartira avec le titre de la série et plein d’idées en tête.

Pour sa nouvelle série, Whedon arrivera à rassembler une grande partie de son équipe à la production on retrouvera Tim Minear, à la réalisation David Solomon et Steven DeKnight, à l’écriture Elizabeth Craft et Sarah Fain, aux costumes Shawna Trpcic et au casting Amy Acker, Alan Tudyck et bien sûr la belle Eliza Dusku qui obtiendra le premier rôle. Malgré une équipe de choc, le financement de la série s’avère très difficile, un premier pilot est tourné, il sera refusé par la FOX, le second déclenchera une commande de 13 épisodes, pour cette histoire où des clients payent pour avoir recours aux services de la Dollhouse.

Les cinq premiers épisodes n’auront pas vraiment de fil conducteur, ils se concentreront sur les fantasmes des clients qui payent pour avoir l’impression l’espace d’une nuit ou d’un weekend d’être aimé sincèrement ou de la façon dont ils l’entendent. C’est le sixième épisode (qui se trouve être le premier pilot tourné par Joss Whedon) qui révèlera le potentiel et le fil conducteur de la série. La saison 1 n’est qu’une longue et passionnante introduction à la saison 2 qui révèlera un autre but, une autre aux Dollhouse, une autre possibilité d’utiliser ces poupées fantasmagoriques.

Joss Whedon est fasciné par le cerveau humain, cette série lui permettra de laisser libre cours à ses réflexions, il abordera des questions de morales et d’éthique tout en nous offrant un show divertissant, qu’on aimera jusqu’à la fin grâce à un casting au top où chacun (second rôle compris) aura sa place et son évolution pour à la fin ne former qu’un être à part entière.

Dollhouse est une série en deux temps qui parlera et intriguera beaucoup de monde, elle vous fera réfléchir si vous lui en donner l’occasion.

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Le mardi c’est classique

le mardi c'est classique


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Réalisé par: Steven Spielberg   Année: 1975   Durée: 2h4min   Achat: VOD


C’est l’été, on pense soleil, repos, vacance et plage, Le Bruit du Cinema reste dans le thème chaleur et bikini pour ce mardi classique, après Le Grand Bleu, on reste dans l’océan avec le culte Les Dents de la Mer! Petit zoom sur ce film qui nous à tous fait hésiter au moins une fois, à tremper notre petit doigt dans la mer.

On se rappelle tous de cette scène d’ouverture où la belle Susan Backlinie prend un bain de minuit sur une petite plage paradisiaque quand soudain elle se fait happer, disparaissant dans les fonds marins. La légende du requin tueur est née…

Tiré du récit d’un pécheur de Long Island qui avait un jour capturé un requin blanc de plus de deux tonnes, le scénario de ce futur chef-d’oeuvre est resté un petit moment sur une étagère dans les studios, jusqu’au jour où un dénommé Steven Spielberg s’en empare, aidé par Howard Sacker (non crédité) et Carl Gottlied, ils réécrivent le script, allègent le récit, suppriment les intrigues parallèles et humanisent les personnages principaux pour créer une histoire plus efficace et plus sobre. En choisissant de suggérer plutôt que de montrer, le réalisateur joue avec notre peur de l’inconnu, aidé d’une musique pleine de tension, Spielberg réussit un coup de maître digne d’Hitchcock. C’est grâce à ça et une parfaite maîtrise technique que Steven Spielberg arrive à créer le premier grand film évènement de l’été maintenant connu sous le nom de Blockbuster.

Les dents de la mer montre les angoisses et les faiblesses de l’homme, il met en lumière la société capitaliste et son aisance à s’autodétruire, il montre aussi la facilité qu’ont les gens à rentrer dans une hystérie collective. Spielberg a réussi à révéler beaucoup de choses avec une histoire en apparence simple mais qui s’est avérée très efficace et surement plus complexe que l’idée reçue. Jaws est un thriller éprouvant pour les nerfs qui encore aujourd’hui, fait partie des classiques du cinéma devenu incontournable.

Le saviez-vous ? 

  • Le requin n’avait pas été testé avant le tournage, la première fois qu’ils l’ont mis à l’eau, il a coulé.
  • Dans la scène où Richard Dreyfuss se retrouve dans la cage, celui-ci est doublé par un nain pour rendre le requin qui attaque les barreaux plus imposants.
  • Le chien de Martin Brody (Roy Scheider) à l’écran est en fait le véritable chien de Steven Spielberg. 

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Soyons quand même franc 5 minutes, il faut aussi rappeler que malheureusement les seuls vrais victimes, qu’aura fait ce film sont et seront toujours les requins, qui pâtiront pour toujours de cette image de méchant mangeur d’hommes.

Agence de voyage Le Bruit du Cinema

En août sur Le Bruit du Cinema, on part découvrir des villes à travers des films. Une ville peut offrir au film son décor, elle l’enrobe son histoire, le sublime ou le noirci, elle lui offre un souffle unique, elle emporte le film parfois à un niveau supérieur, elle peut aussi parfois a contrario le faire descendre en enfer. Un film qui offre à une ville un rôle, peut vous donner une envie de tourisme, une envie d’aventure, une envie de se perdre dans l’inconnu oubliant nos problèmes, une envie de repartir à zéro, une ville peut faire bien des choses quand elle est sublimée dans un film. Découvrons ensemble certains films qui utilisent la ville comme un personnage à part entière.


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Réalisé par: Sofia Coppola   Année: 2003   Durée: 1h42min   Note: 10/10

De quoi ça parle ?

Bob Harris, acteur à la carrière instable, est envoyé à Tokyo pour des raisons professionnelles. Il y rencontre Charlotte, une jeune occidentale.

Tokyo (et ses alentours)

Tokyo vous offrira un dépaysement certains et des surprises à chaque coin de rue et peut-être au croisement d’un carrefour dans cette ville un peu trop bruyante ou la barrière de la langue se transforme en mélodie incompréhensible vous aurez la possibilité de découvrir le secret que Charlotte chuchote à l’oreille de Bob Harris.

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Réalisé par: Christophe Honoré   Année: 2007   Durée: 1h31min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Toutes les chansons d’amour racontent la même histoire : « Il y a trop de gens qui t’aiment »… « Je ne pourrais jamais vivre sans toi »… « Sorry Angel ». Les chansons d’amour racontent aussi cette histoire-là.

Paris

Ah.. Paris ville de lumière, ville des amoureux, ville de toutes les possibilités mais aussi ville briseuse de rêve. Paris est une ville complexe que Christophe Honoré met merveilleusement bien en images, montrant en chanson son côté sombre peu connu du monde du cinéma, Paris  vous offrira joie et rire mais aussi tristesse et larmes, sans jamais vous enlever votre amour pour ces lumières.

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Réalisé par: John Carney   Année: 2013   Durée: 1h44min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Gretta et son petit ami viennent de débarquer à NYC. La ville est d’autant plus magique pour les deux anglais qu’on leur propose de venir y vivre pleinement leur passion : la musique. Le rêve va se briser et l’idylle voler en éclat quand, aveuglé par la gloire naissante, il va la plaquer pour une carrière solo et… une attachée de presse.
Ses valises prêtes et son billet de retour pour Londres en poche, elle décide de passer une dernière nuit à New York avec son meilleur pote.

New York

Avec New York Melody, on découvre les rues de New York en musique, qu’on soit amoureux, en pleine rupture ou tout simplement entre amis, chaque rue peut se prêter à une humeur, à un sentiment, à un moment unique. La ville se prête depuis des années au jeu avec brio nous offrant souvent du rêve.