Le Bruit du Cinema se lance une nouvelle fois dans les aventures de la famille Winchester en espérant cette fois enfin les terminer ! Au cours de ce revisionnage, je posterais au fil des mois un post sur les épisodes qui m’ont marqué saison par saison. Redécouvrons ensemble cet univers si commun et pourtant si unique qu’est: Supernatural à travers le classement saison par saison des épisodes qui ont marqué l’esprit du Bruit du Cinema.
Deux frères parcourent les Etats-Unis pour traquer les forces du Mal. Ils espèrent par la même occasion mettre la main sur le démon responsable de la mort de leur mère, vingt ans plus tôt.
Coup de cœur – Saison 1
Ce post sera mis à jour régulièrement à chaque fin de classement des épisodes par saison.
Rendez-vous le 2 décembre pour la découverte du premier épisode.
Sombre et élégante, Penny Dreadful transforme avec adresse le folklore de la littérature anglaise en un tableau somptueux, qu’on admire avec fascination. La magie entoure cet univers mystérieux aux protagonistes romanesques qui nous envoutent et nous entrainent dans un abysse à la découverte de l’innommable vérité de la nature humaine.
Qu’elle soit bonne ou mauvaise, la nature humaine est complexe et difficile à expliquer. Penny Dreadful tire les bonnes ficelles et s’approprie le sujet avec fluidité et souplesse, grâce à une écriture et une mise en scène soignée et un casting talentueusement charismatique.
Penny Dreadful est une histoire qui nous conte la beauté et les vices de la nature humaine, de la croyance et du culte. Cette histoire est une aventure inespérée qui frôle la passion.
Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…
Un penny pour un Penny Dreadful
Un penny dreadful est un vieux terme utilisé au cours du XIXe siècle au Royaume-Unis qui représentait un genre littéraire populaire et bon marché.
Il s’agissait d’histoire macabre inspirées plus ou moins de faits divers réels, publiée sur plusieurs semaines.
Elles étaient vendues sous forme de petits livres sur du papier de qualité médiocre et valaient un 1 penny.
Hécate
Hécate est une déesse de la Lune, fille du titan Persèset titanide Astéria.
Elle fait partie de la Triade Lunéraire où elle représente la nouvelle lune, symbole de la mort. À ses côtés se trouve: Séléné, la pleine lune, symbole du cycle et Artémis, le croissant de lune, symbole de la naissance.
Les Adieux
Eva Green ne voulait pas que la dernière scène qu’elle joue en tant que Vanessa Ives, soit sa mort.
L’actrice ne voulait pas quitter le personnage dans ces circonstances.
La dernière scène que l’actrice a filmée, était celle où Vanessa est seule dans sa chambre et regarde l’espace vide dans le mur ou était la croix.
Lawrence Talbot
Lawrence Stewart « Larry » Talbot également connu sous le nom de The Wolf Man est le personnage principal du film (The Wolf Man) sortie en 1941.
Talbot apparaît aussi dans la littérature au côté de Dracula mais aussi de Frankenstein mais aussi en tant que protagoniste principal dans l’histoire d’Harlan Ellison (A drift just off ilots de Langerhans).
Contrairement au coutume liée au film de loup-garou, dans The Wolf Man, on ne voit jamais la pleine lune.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema continue son voyage vers les pays d’Asie et fait son deuxième arrêt au Japon.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema s’envole vers les pays d’Asie et fait son premier arrêt en Corée.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema reste en Amérique et va faire un tour à New York.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema s’envole et part à la découverte du tout-Hollywood.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema retrouve ses racines et va redécouvrir le sud de la France.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.
Gerald’s Game c’est l’histoire d’un jeu malsain qui dure depuis trop longtemps. C’est l’histoire d’une maison de vacances trop isolée, c’est l’histoire d’un imprévu qui va tout bouleverser. C’est tout simplement l’histoire d’une femme seule menottée à un lit.
Jessie c’est une descente aux enfers à petit feu, c’est le début d’une folie qui s’installe quand on se retrouve seul et immobile face à un mur. C’est un cauchemar trop réel. Ce sont des pensées qui s’installent et des souvenirs (trop bien cachés) qui remontent petit à petit à la surface tel un vaisseau fantôme qui sort des abysses. C’est un suspense qui s’installe petit à petit et une folie qui grandit d’heure en heure, de minutes en minutes, de secondes en secondes.
Carla Gugino excelle dans ce rôle et nous offre une prestation intense remplie de détresse digne d’une lady hitchcockienne. Aidé par le rythme prenant d’un suspense qui s’installe et d’une réalisation qui laisse éclore l’horreur dans les recoins les plus sombres d’une chambre.
Certains trouveront le film beaucoup trop lent et partiront en cours de route, loupant un final mystérieux et intriguant qui offre matière à la réflexion.
Gerald’s Game est surement l’une des meilleures adaptations à ce jour du grand Stephen King. C’est un film prenant rempli d’intensité qui offre quelques moments de frayeurs.
Aujourd’hui pour la reprise de la rubrique « Le vendredi en série« , Le Bruit du Cinema se replonge dans ces tendres années de jeunesse et se remémore une série qui aura inspiré plus d’un adolescent. Je parle bien sûr de l’incontournable, de la cultissime série, Malcolm in the Middle.
Malcolm in the Middle c’est l’histoire d’un surdoué coincé dans une famille complètement atypique et en même temps si ordinaire. C’est l’histoire d’une famille mythique qui aura marqué des générations (et qui les marquent surement encore).
Malcolm c’est aussi l’histoire d’une série trop sous-estimée qui aujourd’hui rejoint avec fierté le panthéon des séries cultes. Malcolm in the Middle c’est tout simplement l’histoire d’une famille de classe moyenne qui aura révolutionné le monde de la sitcom.
La série contrairement à bien d’autres dans les années 2000 n’était pas une machine à rêve, c’était une sitcom qui mettait en images sans le moindre chichi des situations et des questions de la vie courante. Politique, religion, sexualité ou encore argent, tout y passait pour le plus grand plaisir du spectateur.
Malgré tout, Malcolm n’aura jamais eu la prétention d’expliquer ou de donner une quelconque réponse aux problèmes de la vie, les scénaristes se contentaient simplement avec une finesse d’écriture rare d’utiliser ces sujets comme outils principaux aux rebondissements de leurs gags pour nous offrir des épisodes complets et hilarants.
Malcolm in the Middle est une petite révolution télévisuelle qui doit son succès à un niveau d’écriture impressionnant rempli de sérieux, d’humour et de finesse mais aussi à un casting totalement en osmose et bien sûr à une intarissable créativité.
Malcolm est une sitcom familiale qui aura révolutionné le monde de la télévision. Ce sont des scènes complètement loufoques qui auront marqué les esprits de plus d’une génération. C’est une série qu’on peut voir ou revoir sans jamais se lasser même si on la connaît par cœur. C’est tout simplement du pur plaisir.
Pour moi, les jeux vidéos et le cinéma sont deux chemins parallèles qui parfois se croisent à l’improviste à cause d’une anomalie pour créer de grandes choses ou détruire beaucoup de choses. Le Bruit du Cinema se plonge aujourd’hui dans ces deux univers finalement pas si différents.
Quand le WTF rencontre le cinéma, on peut tomber très souvent sur des petites pépites improbables, des histoires loufoques, des chefs-d’œuvre et beaucoup de raté. Après « La scène WTF« , Le Bruit du Cinema ouvre un nouveau dossier « La séance WTF » découvrons ensemble 5 films à l’histoire WTF.
The Road Within c’est l’histoire de trois jeunes qui ont du mal à s’intégrer au monde à cause de leurs maladies et leurs problèmes personnels, qui vont sur un coup de tête se lancer de façon assez chaotique dans un voyage improbable.
Remake du film allemand Vincent (2010), The Road Within s’ouvre sur une brillante introduction (Merci Robert Sheehan) qui nous emporte immédiatement et donne le ton de ce road trip improbable qui traitera de la maladie, de la nature humaine mais aussi de l’éveil amoureux et sexuel.
À travers ce film, Gren Wells ne cherche pas à réaliser un documentaire sur l’origine et le traitement des trois maladies. Elle nous fait simplement vivre le quotidien de trois patients qui essayent malgré tous leurs soucis de vivre leur vie.
The Road Within est une chronique sur la jeunesse qui prend vie à travers un road trip inattendu, plein de surprise et de tendresse, porté par trois comédiens de talents, plein de bons sentiments qui nous rappellent qu’avant le handicap, il y a l’humain.
The Road Within est une ode à la liberté qui se dévoile à travers un voyage initiatique touchant et assez réaliste mené par trois personnages en recherche de réponse. Un feel good movie qui malgré quelques petits défauts fait relativiser et donne une petite bouffée de fraicheur qui fait du bien.