Réalisé par : Woody Allen
Année : 1979
Note : 4/10
Chapter One. He was as tough and romantic as the city he loved. Behind his black-rimmed glasses was the coiled sexual power of a jungle cat. Oh, I love this. New York was is town, and it always would be.
Woody Allen déclare son amour à sa ville, Manhattan, malheureusement je suis un peu passer à côté de cette déclaration. Le quatuor amoureux ne fonctionne pas à la perfection et peut mettre parfois mal à l’aise.
Le film est filmé en cinémascope pour donner une perspective globale de New York, qu’il traite comme un personnage à part entière, Manhattan c’est aussi une déclaration d’amour à Diane Keaton, dont c’est la cinquième apparition dans un film de Woody Allen. Il gagnera un César pour ce film, mais malgré tout, le réalisateur ne sera jamais content de son film, qui fera un triomphe dans le monde entier.
On ne peut pas nier la beauté de la scène qui définira en grande partie le film par la suite, la fameuse scène du banc, Isaac concrétise sur ce banc son idylle, sous les yeux d’un Manhattan mélancolique. Je suis ressorti de ce film avec un sentiment neutre, sans savoir vraiment comment le définir, je suis passée par beaucoup d’émotion sans jamais aller jusqu’au bout. Manhattan reste un pur Woody Allen, qui séduira en grande majorité les fans du réalisateur.
I think people should mate for life, like pigeons or Catholics