Principe de ce Tag: Trouver une série qui correspond à chaque émotions : la joie, la tristesse, la surprise, l’hystérie, la nostalgie, la peur et la colère.
Me voilà, une nouvelle fois ravie de répondre à un tag cette fois-ci lancé par Le renard Bavard, une nouvelle fois c’est un Tag très intéressant qui ouvre beaucoup de possibilités, mais, nous oblige à limiter les réponses, j’aime quand il y a ce genre de difficulté.
La joie.

C’est la première série qui m’est passé par la tête en voyant le mot joie, c’est une série pleine de vie qui m’a fait beaucoup rire et m’a toujours un peu redonné de la joie quand je n’étais pas au mieux.
La tristesse.

Penny Dreadful représenterait plus la mélancolie, mais n’étant pas dans la liste des émotions, elle fera bien l’affaire dans la catégorie tristesse. Ayant la larme des plus faciles, j’ai beaucoup pleuré au cours des 3 saisons de la série, beaucoup de tristesse mais aussi beaucoup de beaux moments se ballades dans Penny Dreadful.
La surprise.

Une première saison surprise, qui n’aura malheureusement pas eu la chance de faire une deuxième saison, je ne perds malgré tout pas l’espoir qu’un jour dans de longues années par surprise la série ou du moins l’idée de base ressorte du placard.
L’hystérie.

Utopia représente pour moi à la perfection l’hystérie tout comme la folie, encore une fois c’est une série qui m’aura laissé dans une hystérie totale, en ne donnant malheureusement pas de fin à la série.
La Nostalgie.
Pour cette catégorie j’ai eu beaucoup de mal à me décider, beaucoup de séries me rendent nostalgiques, comme vous avez pu le voir depuis le début de ce Tag, je mets pas mal de séries qui m’ont laissé sur ma fin, des séries qui à cause d’audience trop faible n’ont pas pu se développer comme elle aurait du. C’est donc le seul ex aequo de ma liste que vous trouverez, Awake et Forever avaient beaucoup de potentiel mais à cause d’audience trop faible, l’arrêt fut brutal et à laisser une nostalgie planante.
La peur.

Le générique lui-même inspire la peur, il n’y avait pour moi que cette série pour représenter ce sentiment.
La colère.

Qui de mieux pour inspirer la colère que le grand Walter White, encore une fois pour moi, Breaking Bad était une évidence pour ce sentiment.