























Réalisé par: Emile Ardolino
Année: 1987
Note: 10/10
Nobody puts baby in a corner
L’idée même qu’une autre personne que Patrick Swayze interprète Johnny me donne la nausée alors quand j’ai appris le lancement du remake, la colère m’a envahie, j’ai pleuré, j’ai hurlé, le choc passé, le calme revenu, je n’y crois toujours pas. Je rebondis donc sur l’actualité et vous parle DU film romantique qui a marqué ma jeunesse Dirty Dancing.
Dans les années 60, Frédérique alias Baby va passer son été en famille à la pension Kellerman dans la région des montagnes Catskill. Alors que la monotonie va prendre place, elle va se retrouver mêlée à la vie des employées et découvrir le monde de la danse et le beau Johnny Castel.
Dirty Dancing est l’un des rares films qui rentrent dans mon panel des 10/10, le scénario n’est pourtant pas révolutionnaire, mais il fonctionne à la perfection mener par des chorégraphies aux tops mais surtout un couple d’acteurs devenu culte représentant la romance parfaite d’un amour d’été. Après avoir vu le film, quelle demoiselle n’a pas rêvé de trouver notre Johnny si ténébreux et pourtant si sensible et de terminer sur une scène à danser coller/serrer avec cet homme si parfait.
Tout est prévisible dans Dirty Dancing et pourtant, j’ai beau le connaître par coeur, à chaque fois que je le revois, je le redécouvre et redeviens cette petite fille amoureuse de Patrick Swayze qui malheureusement fait partie de ces acteurs partis trop tôt. Comment ce film à petit budget a-t-il réussi à devenir ce film culte ?
Quiproquo, haine, chance, amour voilà ce qui a fait le succès de Dirty Dancing, c’est un mélange rempli d’inattendu et un public devenu fidèle qui a fait de ce film un chef-d’oeuvre qui fait rêver plus d’une petite fille et qui malgré les années ne s’éteint pas. Un film pour tout âge.
Voir aussi: New York Melody, Frankie & Johnny, Celeste & Jesse Forever, Coup de foudre à Notting Hill