Il y a des films d’animation qui vous marquent quand vous êtes gosse et il y en a d’autres qui vous marque bien plus tard. Qu’on soit petit ou grand, le dessin animé est toujours un plaisir et une belle découverte s’il est bien fait. Petit tour d’horizon du monde extraordinaire de l’animation.
Réalisé par: Mark Osborne Année: 2015 Durée: 1h48min Genre: Aventure, Fantaisie Note: 7/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une petite fille fait la rencontre d’un vieil aviateur excentrique et facétieux. Ils partent alors ensemble à la découverte de l’histoire du Petit Prince.
La pensée du Bruit du Cinema
Le petit prince est une relecture de l’oeuvre de Saint-Exupéry, c’est une adaptation poétique et touchante qui vous fera verser plus d’une larme.
Réalisé par: Phil Lord & Christopher Miller Année: 2009 Durée: 1h30min Genre: Aventure, Comédie, Science-Fiction Note: 6/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Flint Lockwood est inventeur. Jusqu’ici, toutes ses inventions bizarres, depuis les chaussures que l’on se pulvérise sur les pieds jusqu’au traducteur de pensées pour singe, ont été des échecs spectaculaires qui ont causé d’innombrables problèmes à sa petite ville, Swallow en Château.Cette fois, Flint est bien décidé à inventer quelque chose qui rendra les gens heureux. Pourtant, lorsque sa nouvelle création, la machine à transformer l’eau en nourriture, détruit la grand-place avant de disparaître dans les nuages, il pense que sa carrière d’inventeur est définitivement fichue.
La pensée du Bruit du Cinema
Tempête de boulettes géantes est un bon divertissement qui s’impose grâce à un rythme déchaîné et une réflexion intéressante sur la société de consommation.
Réalisé par: Hélène Giraud & Thomas Szabo Année: 2013 Durée: 1h29min Genre: Aventure, Famille Note: 6/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une jeune coccinelle se lie d’amitié avec une fourmi noire. Elle décide de l’aider pour sauver sa fourmilière de l’invasion des fourmis rouges.
La pensée du Bruit du Cinema
Minuscule est un bon film d’animation qui étonne et remet au goût du jour le cinéma muet. Une petite pépite aussi inattendue que délicieuse pleine de surprise.
Réalisé par: Tim Burton & Mike Johnson Année: 2005 Durée: 1h17min Genre: Drame, Fantaisie Note: 7/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Victor, un jeune homme timide, découvre le monde des morts après avoir épousé, sans le vouloir, le cadavre d’une mystérieuse mariée.
La pensée du Bruit du Cinema
Les noces funèbres est une série de tableaux qui nous entraine dans un monde romanesque et poétique. Un vrai délice qui rend hommage à l’imaginaire.
Réalisé par: Don Bluth & Gary Goldman Année: 1994 Durée: 1h26min Genre: Fantaisie, Romance Note: 8/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Comme toujours Poucelina doit épouser un séduisant prince charmant. Mais la mère crapaud en decide autrement et la kidnappe pour l’offrir au plus balourd et au plus disgracieux de ses fils.
La pensée du Bruit du Cinema
Poucelina est un jolie conte pour enfant qui ne révolutionne pas le monde du dessin animé mais qui marque les esprits par sa douceur et son rythme groovy.
C’est reparti pour un tour, les théories de fan ne s’arrêtent jamais d’être actualisé, c’est avec joie que je vous offre de nouveau un petit panel des théories de film dans le monde du cinéma et des séries et cette fois-ci on s’attaque à l’univers farfelue des séries dessins animés de notre enfance. Quand le cinéma et les séries font leur propre cinéma les théories s’affolent!
! Attention risque de spoiler !
Les théories vont parfois très loin, il y a donc un risque de spoiler, merci de votre compréhension.
Et si c’était « Hey! Elga »
Et si le dessin animé était en réalité orientée sur le personnage d’Helga Pataki? Durant le générique, c’est Helga qui crie « Hey! Arnold! », c’est le seul personnage à avoir des monologues, l’intrigue se coupe pour lui laisser le champ libre et tout ce qui suit et présenter de son point de vue. Alors on pourrait se demander pourquoi ne pas la présenter directement comme le personnage principal ? Parce que sa vie est bien trop triste et réaliste pour un dessin animé. Son père la néglige, sa mère est alcoolique, sa grande soeur est adorée de tous et reçoit toutes les attentions, Helga est la fille oubliée de sa famille catastrophique. Elle est amoureuse d’Arnold mais ne sachant pas exprimer ses sentiments et par frustration, elle relâche sa colère sur le pauvre jeune garçon à la tête en forme de ballon de rugby. Et si, le véritable sujet du dessin animé était en fait, l’obsession d’Helga pour Arnold ?
Quand le génie se cache derrière l’imbécile
Et si, les rôles étaient inversés ?On n’a jamais remis en doute le fait que Cortex soit le génie et Minus le gentil idiot du duo et si depuis tout ce temps les rôles étaient inversés ? Selon cette théorie, Minus pourrait être le génie et Cortex le dément de la bande… Minus observe souvent l’évidence quand Cortex lui ne la voit pas ! Minus exprime souvent des discours assez profonds et parfois logiques alors que Cortex est juste obsédé par ses pensées fantasques et son désir puissant de conquérir le monde. Le génie se trouve souvent dans les pensées les plus basiques et idiotes alors pourquoi ne pas valider cette théorie pas si folle que ça ?!
Bob l’éponge et les 7 péchés capitaux
Et si, la série Bob l’éponge était une représentation des 7 péchés capitaux ? D’après cette théorie, la série animée pourrait être une allusion aux 7 péchés capitaux. Carlo Tentacule serait La colère, Patrick notre étoile de mer pas très fute-fute serait La paresse, Mr Krabs notre amoureux du petit billet vert serait L’avarice, Sheldon Plankton le petit vilain représenterait L’envie, Sandy l’écureuil des fonds des mers serait L’orgueil, Gary l’adorable escargot serait La gourmandise et le fou-fou Bob l’éponge serait La Luxure.
Le méchant n’est pas toujours celui que l’on croit
Et si, le docteur Gang et l’inspecteur Gadget n’étaient pas ennemis mais une seule et même personne ? Supputons ensemble, qu’un inspecteur renommé se blesse mortellement lors d’une opération secrète. Ses collègues ne pouvant se résoudre à le dire à sa tendre nièce, décident ensemble d’utiliser les dernières technologies pour créer un être bionique lui ressemblant, afin qu’il prenne sa place auprès de la jeune fille. Mais le véritable inspecteur Gadget n’étant pas mort et s’apercevant qu’il a été remplacé, décide de réclamer vengeance et tente par tous les moyens de détruire son remplaçant.
Bob l’éponge, une histoire de mutant
Et si, tous les habitants de la ville de Bikini Bottom étaient des mutants ? Cette théorie se base sur les tests nucléaires réalisés à Bikini Attoll à la fin des années 40. Notre éponge favorite et les habitants de la ville de Bikini Bottom seraient donc le fruit des radiations nucléaires qui ont parcouru les iles Marshall. Cette théorie pourrait se valider quand Bob L’éponge sort de la ville, l’environnement autour de lui devient de plus en plus sauvage et la faune sous-marine de moins en moins humaines.
Le coup sur la tête
Et si, tout se passer (encore une fois) dans la tête du héros ? Dans l’épisode 1 de la série Pokemon, Sacha fait une chute de vélo, qui l’aurait plongé dans le coma. Toutes les aventures qu’il vit après sa chute, se passeraient donc dans sa tête. Cette théorie pourrait expliquer, pourquoi Sacha et ses amis ne grandissent pas tout au long des saisons.
Durant les années 90, Disney a connu son âge d’or , les petites perles s’enchaînaient au fil des années dans un rythme effréné, nous offrant des moments de divertissements inoubliables. Revenons ensemble sur 7 Disney qui ont marqué mon enfance et les années 90.
Réalisé par: Gary Trousdale & Kirk Wise Année: 1991 Durée: 1h24min Note: 10/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Un seul homme compte dans la vie de Belle : son père. Quand celui-ci est fait prisonnier par une affreuse bête, elle accepte de prendre sa place.
En bref…
La belle et la bête est un dessin animé léger, plein d’humour et de romance qui aura marqué les coeurs et les mémoires de beaucoup de spectateur.
Réalisé par: Roger Allers & Rob Minkoff Année: 1994 Durée: 1h28min Note: 10/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Simba apporte une grande joie au roi Mufasa et la reine Sarabi. Mais Scar, le frère du roi, ne supporte pas d’avoir perdu sa place d’héritier.
En bref…
Le Roi Lion est surement l’un des Disney des années 90 qui aura fait le plus pleurer, entre spectaculaire, émotion et poésie, le film offre un spectacle incroyable qui marquera à jamais l’histoire de l’animation.
Réalisé par: Tony Bancroft & Barry Cook Année: 1998 Durée: 1h28min Note: 9/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Dans les paysages montagneux de Chine, surplombés par la grande muraille, les Huns envahissent en pleine nuit le pays. L’empereur prévenu, décrète la mobilisation d’un homme par famille. Fa Mulan , fille unique, s’oppose au départ à la guerre de son père. Dans la nuit orageuse qui suit, elle se coupe les cheveux puis part en direction du camp…
En bref…
Adapté d’une véritable légende, Mulan entre dans l’histoire de Disney grâce à des chansons entraînantes et surtout grâce à une nouvelle vision de la femme. Les petites filles peuvent enfin elles aussi, rêver de bataille incroyable.
Réalisé par: Ron Clements & John Musker Année: 1997 Durée: 1h33min Note: 9/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d’Hercule, fils de Zeus, Hades, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l’Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, après avoir éliminé le seul dieu capable de le tenir en échec: Hercule.
En bref…
Avec Hercule, la petite souris s’attaque à la mythologie grecque, une idée de génie qui apportera du fun et de la nouveauté à l’univers de Disney. Une petite réussite qui vous fera bouger vos petites fesses.
Réalisé par: Mike Gabriel & Eric Goldberg Année: 1995 Durée: 1h21min Note: 7/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
John Smith, jeune aventurier, fait route vers le Nouveau Monde. Pendant ce temps, Pocahontas s’interroge sur son avenir.
En bref…
Pocahontas est un Disney assez « mature », au charme unique qui aura réussi à aborder avec justesse des thèmes comme le racisme, la colonisation et l’environnement.
Réalisé par: Ron Clements & John Musker Année: 1992 Durée: 1h30min Note: 8/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Au cœur de l’Arabie, dans la ville d’Agrabah, un jeune homme orphelin du nom d’Aladdin vit en volant de la nourriture aux marchands des souks. Même s’il chaparde, Aladdin rêve de prouver qu’il n’est pas qu’un vulgaire voleur mais bien un homme de valeur contraint à enfreindre la loi pour survivre.
En bref…
Aladdin est un dessin animé endiablé, hilarant qui ne vous laisse pas une minute de répit. Une petite perle Disney qui enchantera petits et grands.
Réalisé par: Gary Trousdale & Kirk Wise Année: 1996 Durée: 1h31min Note: 7/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
En l’an de grâce 1482 à Paris, Quasimodo, jeune orphelin contrefait, est le sonneur de Notre-Dame. Il vit reclus dans le clocher sous la férule du puissant juge Frollo, son maître. Ses seules amies sont les gargouilles la Rocaille, la Muraille et la Voliere. Quasimodo rêve de vivre libre au milieu de tous ceux qu’il observe depuis longtemps. Ce moment tant attendu se présente le jour de la fête des fous et, désobéissant à Frollo, il se mêle au peuple venu célébrer la nouvelle année.
En bref…
Le Bossu de Notre-Dame est surement le dessin animé le plus adulte de Disney. C’est un bel hommage au grand Victor Hugo qui enseigne avec intelligence, l’acceptation des autres.
Réalisé par: Don Bluth, Gary Goldman Année: 1997 Durée: 1h34min Note: 9/10
1917, la révolution russe éclate, Raspoutine est bien décidé à éliminer tous les Romanov, c’était sans compter sûr Anastasia et sa grand-mère l’impératrice qui arrivent à s’échapper, malheureusement elles se retrouvent séparées sur le quai de la gare, l’une restant en Russie, l’autre partant pour Paris. Dix ans plus tard, l’impératrice cherche toujours sa petite fille disparue, au même moment une orpheline au doux nom d’Anya part de son orphelinat direction Paris à la recherche de ses racines…
L’histoire d’Anastasia prend vie grâce à la légende qui entourait l’héritière des Romanov (aujourd’hui réfuté par les scientifiques qui ont prouvé qu’elle avait été tué avec sa famille) en partant de l’idée que la princesse est toujours en vie et sans mémoire, les créateurs réussissent un coup de maître qui marquera toute une génération, parler d’Anastasia a été un choix judicieux qui aura surement éveillé la curiosité de beaucoup d’enfants pour la Russie ce pays froid et très lointain. Alors oui, l’histoire de la Russie n’est pas du tout respectée mais en même temps, il aurait été difficile pour un dessin animé de recréer la réalité sans traumatiser une génération…
Anastasia est surement le film le plus ambitieux de Bluth et Goldman, aidé d’un bon budget, ils nous offrent un film d’animation aux images d’une beauté exceptionnelle mélangeant habilement animation traditionnelle et éléments en 3D, un pépite pour l’époque où le dessin animé était très présent. Ils font aussi d’Anastasia, une femme forte avec une certaine fragilité, grâce à elle, ils changent l’image de la princesse dans le monde du dessin animé et ouvrent de nouvelles portes pour les petites filles. Oublier la princesse Disney, bonjour la femme forte, on ne cherche plus l’amour, on recherche notre soi intérieur, l’amour devient secondaire, il s’établira dans l’histoire mais de façon naturelle, oublier le coup de foudre sorti du trou du cul du monde, bonjour la vraie vie!
Anastasia est un dessin animé qui véhicule des messages qui changent et ouvre de nouveaux horizons, les chansons ne sont pas là pour combler des blancs mais pour développer les personnages et accompagner l’histoire, le méchant fait son boulot à merveille machiavélique et complètement détraquer, il terrifie les petits enfants avec brio, même le happy ending est légèrement différent de ce que l’on voit d’habitude, tout est bon dans ce dessin animé parce qu’ils ont réussi à s’éloigner des codes « imposés » par les Disney.
Anastasia est une pure réussite visuelle qui revisite l’histoire de la Russie avec brio, en cassant les codes des histoires de princesse habituelles, mélangeant habilement faits historiques et légendes. Bluth et Goldman ont réussi un petit chef-d’oeuvre qui avec le temps fonctionne encore qu’on soit adulte ou enfant.
Les années 90 font leur retour sur Le Bruit du Cinéma après les teens-movies, les séries dessin animé et la romance, j’ai décidé de vous parler des films d’animation qui ont marqué les années 90. J’ai délibérément choisi de mettre de côté les films Disney qui auront leurs propres dossiers pour pouvoir mettre en avant certains dessins animés oublier, qui ont fait leurs petites impressions dans les années 90, vous découvrirez aussi qu’on pensait déjà vert en 90.
Anastasia
Réalisé par: Don Bluth, Gary Goldman Année: 1997 Durée: 1h34min
De quoi ça parle ?
En 1917, la révolution russe éclate. Raspoutine, le traitre, est bien décidé à éliminer tous les Romanov. Seules Anastasia et l’impératrice douairière Marie, sa grand-mère, parviennent à s’échapper de Saint-Pétersbourg grâce à Dimitri, un garçon des cuisines du palais. Mais Anastasia se perd sur le quai de la gare et perd sa grand-mère qui file vers Paris. Dix ans plus tard, l’impératrice douairière Marie cherche toujours sa petite-fille disparue. Au même moment, une orpheline prénommée « Anya » part de son orphelinat…
En bref…
Une pure réussite visuelle qui revisite l’histoire de la Russie avec brio, en cassant les codes des histoires de princesse, mélangeant fait historique et légendes. Et puis, il y a Rasputin, l’un des meilleurs méchants que j’ai pu voir dans un dessin animé!
Une petite mise en bouche..
Le cygne et la princesse
Réalisé par: Richard Rich Année: 1994 Durée: 1h30min
De quoi ça parle ?
Les deux rejetons de deux royaumes enchantes s’aiment d’amour tendre et doivent s’épouser. Mais c’est sans compter sur le sorcier Alberic qui, jadis, fut banni par le roi, père de la belle. Il enlève la princesse et, usant de ses pouvoirs maléfiques, la transforme en cygne qui ne pourra retrouver sa forme humaine qu’a la lueur de la lune.
En bref…
Une belle version du Lac des cygnes revisité qui ne marquera pas forcément pour son histoire assez basique mais pour les seconds rôles qui son fort en humour et en caractère. Un dessin animé qui se regardera aujourd’hui par pure nostalgie.
Une petite mise en bouche..
Poucelina
Réalisé par: Don Bluth, Gary Goldman Année: 1994 Durée: 1h26min
De quoi ça parle ?
Comme toujours Poucelina doit épouser un séduisant prince charmant. Mais la mère crapaud en décide autrement et la kidnappe pour l’offrir au plus balourd et au plus disgracieux de ses fils.
En bref…
Un dessin animé qui aura marqué ma petite enfance et qui encore aujourd’hui reste un joli conte pour enfants que je prends toujours plaisir à regarder. Des personnages très variés et des musiques entrainantes font la force du film, Poucelina ne révolutionne pas le monde du dessin animé mais marque les esprits par sa douceur et son rythme assez groovy. Franchement les filles qui n’a pas voulu des ailes de fée après avoir vu Poucelina?
Une petite mise en bouche..
Zak et Crysta
Réalisé par: Bill Kroyer Année: 1992 Durée: 1h16min
De quoi ça parle ?
A travers les aventures de la fée Crysta et Zak, jeune bûcheron, dans la forêt tropicale. Plaidoyer pour la sauvegarde des grandes forêts.
En bref…
Un dessin animé assez visionnaire funky et bien rythmé qui alerte sur les dangers de la déforestation, une petite pépite des années 90 qui ressemble bizarrement a une histoire sortie bien plus tard qui se prénomme Avatar….
Une petite mise en bouche..
Les quatre dinosaures et le cirque magique
Réalisé par: P. Nibbelink, S. Wells, D. Zondag, R. Zondag Année: 1993 Durée: 1h12
De quoi ça parle ?
De pacifiques dinosaures sont convoités par le diabolique professeur Mauvais-Œil qui veut en faire l’attraction vedette de son cirque excentrique. Mais deux gamins des rues, Louie et Cecilia, veillent sur les doux monstres…
En bref…
Les quatre dinosaures et le cirque magique est l’une des petites perles des années 90, qu’on a tendance à oublier, il aura marqué les esprits par son ingéniosité, son monde assez extraordinaire, ses personnages haut en couleur et sa musique groovy. J’ai ri, j’ai versé ma larme, j’ai aimé vivre cette aventure !
Une petite mise en bouche..
La princesse et la forêt magique
Réalisé par: Jozsef Gémes Année: 1991 Durée: 1h22min
De quoi ça parle ?
Irène, jeune princesse, est élevée par sa nurse, enfermée dans un château dont elle n’a jamais franchi les frontières. Elle s’ennuie et rêve d’aventure et de liberté. Quand la jeune fille décide d’explorer la forêt alentours, elle découvre alors l’existence de créatures maléfiques.
En bref…
Adaptation du roman La princesse et le gobelin de George MacDonald, le dessin animé a marqué mon enfance, une expérience qui changer légèrement les codes du dessin animé pour l’époque et surtout qui s’éloigner un peu de ce que pouvait faire Disney. La princesse et la forêt magique est encore aujourd’hui pour moi une expérience particulière qui ravive énormément de souvenir.
Une petite mise en bouche..
Le lutin magique
Réalisé par: Don Bluth, Gary Goldman Année: 1994 Durée: 1h16min
De quoi ça parle ?
La méchante reine Gnorga fait disparaître toute végétation au pays des Lutins. Mais Stanley a sauvé son jardin et il le cultive avec amour. Gnora découvrant ce jardin secret l’envoie à New York. Mais son amour pour les plantes est trop fort et le petit Lutin retrouve Central Park où il se fait des amis : Gus et sa petite soeur Rosie. Gnorga, apprenant la victoire de Stanley, se rend à New York pour le détruire…
En bref…
Le lutin magique est une jolie fable sur le bien et le mal totalement naïve avec une petite pointe de poésie et un petit message écolo, le dessin animé n’est pas parfait mais il apporte un optimisme contagieux que je prenais plaisir étant plus jeune à vivre avec mon petit frère, qu’est-ce qu’on a pu le voir et le revoir!..
Une petite mise en bouche..
Le voyage d’Edgar dans la forêt magique
Réalisé par: Charles Grosvenor Année: 1993 Durée: 1h11min
De quoi ça parle ?
Edgar est une petite taupe qui mène une vie tranquille dans la forêt, allant à l’école avec ses amis pour apprendre la vie. Jusqu’au jour ou leur quotidien est perturbé par les humains. Un camion accidenté sur la route la plus proche déversant ses produits chimiques dans la forêt. Edgar et ses amis partent alors pour une formidable aventure dans la campagne alentour pour trouver et ramener une fleur seule capable de sauver la petite fille de leur professeur, contaminée par les gaz toxiques.
En bref…
La découverte de ce dessin animé, je la dois à mon grand père qui m’enregistrait tous les dessins animés qui passer à la télé, Le voyage d’Edgar dans la forêt magique est l’un des dessins animés qui m’a le plus marqué à la fois perturbant et très humain, j’ai beaucoup appris grâce à ce dessin animé, et je ne remercierais jamais assez mon grand père pour cette découverte.
Une petite mise en bouche..
Freddie, la grenouille
Réalisé par: Jon Acevski Année: 1992 Durée: 1h31min
De quoi ça parle ?
Dans un lointain royaume, le jeune prince Frédéric vit heureux avec son père, le grand roi magicien. Malheureusement, la redoutable et cruelle sorcière Messina tue le roi et jette un sort sur le prince qu’elle transforme en grenouille. Traqué jusque dans les profondeurs des océans, il sera sauvé par Nessie, une charmante dragonne. Les années passent et Freddie décide de quitter les marais pour parcourir le monde…
En bref…
Freddie as F.R.O.7 est une bonne aventure entrainante et drôle qui a un bon rythme mais qui malheureusement avec le temps s’est un peu noyer dans la masse, il est de ce fait, encore aujourd’hui assez méconnu, c’est pourquoi Le Bruit du Cinéma reparle de cette petite grenouille agent secret/aventurier qui mérite le coup d’oeil.
Une petite mise en bouche..
Excalibur, l’épée magique
Réalisé par: Frederik Du Chau Année: 1998 Durée: 1h26min
De quoi ça parle ?
Quand le maléfique sir Ruber et son acolyte Griffin s’emparent d’Excalibur, l’épée magique des chevaliers de la Table ronde, la jeune et courageuse Kayley, qui rêve d’appartenir a cette noble confrérie, s’embarque sans hésiter dans une longue et dangereuse quête pour retrouver l’épée magique et sauver Camelot.
En bref…
Pour une fois qu’on parle d’Excalibur sans mettre le focus sur Arthur et Camelot mais sur des personnages « plus secondaire » capable eux aussi d’accomplir de grandes choses. J’ai d’assez bon souvenir de ce dessin animé, le visuel est bon, l’histoire tient la route et les chansons restent en tête que demander de plus…
C’est reparti pour un tour, les théories de fan ne s’arrêtent jamais d’être actualisé, c’est avec joie que je vous offre de nouveau un petit panel des théories de film dans le monde du cinéma et cette fois-ci on s’attaque à l’univers Disney. Quand le cinéma fait son propre cinéma les théories s’affolent!
! Attention risque de spoiler !
Les théories vont parfois très loin, il y a donc un risque de spoiler, merci de votre compréhension.
Blanche Neige et les sept nains (1937) – Snow White et la mort….
Et si le prince charmant de Blanche Neige était en fait la mort ? C’est sur le site Reddit que la théorie prend vie sous la plume de Scherazade qui avance cette théorie selon elle ou lui, la pomme empoisonnée aurait bel et bien tué Blanche Neige, le baiser du prince Charmant symboliserait seulement la Mort emportant la princesse. À la fin du dessin animé Blanche Neige fait ses adieux aux sept nains comme si elle ne pourrait jamais plus les revoir et se dirige avec le prince charmant vers un château illuminé par le soleil qui pourrait ressembler au paradis.
Aladdin (1992) – Le génie et le marchand ne font qu’un… (1/3)
Et si le marchand et le génie était la même personne ? Et pour la première fois dans ce dossier, je vais vous répondre : Et oui, le génie et le marchand sont bel et bien la même personne et toute l’histoire d’Aladdin n’est qu’une invention du marchand pour vous vendre la lampe! La théorie a été confirmée par les deux réalisateurs qui révèlent que le génie devait se révéler à la fin sous les traits du marchand mais les changements continuels du scénario, on fait prendre le fil à cette révélation.
La Petite Sirène (1989) – L’univers Disney pas si grand que ça…
Et si Eric était l’arrière-arrière-petit-fils d’Aurore et Philip ? Pour cette théorie tout part d’un journaliste de Buzzfeed qui a remarqué un petit détail, loupé jusqu’à présent, lorsque Ariel est invité au palais, on a un plan large de la grande salle, sur les murs on peut y voir des tableaux et sur l’un d’eux, on peut apercevoir un portrait d’Aurore et Philip…. Ces derniers pourraient faire partie de la famille d’Éric, on peut donc supputer un univers commun entre les deux dessins animés.
Aladdin (1992) – Un seul voeu… (2/3)
Et si le génie n’avait exaucer qu’un seul voeu? Au début du film, Aladdin frotte la lampe et demande au génie de faire de lui un prince afin qu’il puisse prétendre à la main de la belle Jasmine. Mais le génie fait-il de lui réellement un prince ou lui en donne-t-il seulement l’apparence? Techniquement Aladdin ne sera prince qu’à la fin après avoir réalisé des actes héroïques pour sauver le royaume et la princesse, en se basant sur ça, on pourrait penser que le génie a provoqué tous les évènements du film pour réaliser le voeu d’Aladdin…
La belle et la bête (1991) – Une malédiction plus grande que prévue…
Et si, la malédiction ne toucher pas que le château? D’après une théorie de fan, la malédiction lancée par la sorcière ne toucherait aussi l’ensemble du village, les villageois seraient eux aussi bloqués dans le temps et revivraient inlassablement les mêmes choses. Ce qui expliquerait l’attitude désabusée de la Belle quand elle voit que tout le monde réitère les mêmes tâches machinalement, elle et son père seraient isolés par les villageois car ils sont les seuls à vieillir…
Aladdin (1992) – Back to the futur… (3/3)
Et si, l’histoire d’Aladdin se déroulait dans le futur ? Beaucoup d’éléments laissent penser que cette théorie est juste, certains éléments de notre époque se retrouvent dans le dessin animé, de plus les inventions du génie sont très semblables au notre et Aladdin sait éteindre une lampe, toutes les informations laissent penser que l’époque est déjà bien avancé, reste à savoir ou placer le film sur l’échelle du temps…
Réalisé par: Dean Deblois Année: 2019 Durée: 1h44min Note: 6/10
Faire le dernier volet d’une saga est toujours un exercice délicat et difficile, Dean Deblois réussit cette dernière étape avec panache en nous offrant un film assez profond rempli de questionnement sur l’amitié, le sacrifice et l’émancipation dans un univers enfantin aidé d’une conclusion logique et pleine d’émotion.
Dragons est une franchise qui n’a jamais eu peur de faire des choix osés et pertinents, qu’on parle d’esthétisme ou de scénario, il y a toujours eu un travail monstre qui n’a jamais déçu, en 2010 la saga été révolutionnaire, en 2019 elle l’est encore! Avec Dragons 3, on peut le dire on aurait pu frôler le chef-d’oeuvre, le graphisme comme à son habitude est époustouflant et en phase avec son temps, les dragons n’ont jamais été aussi respecté que dans ce troisième opus malheureusement, il y a un mais dans toute cette belle histoire…
On pourra reconnaître une légère faiblesse dans le scénario qui est beaucoup plus enfantin que le second volet de la saga, on sent bien que ce dernier film est fait pour ouvrir l’univers de Krokmou à un nouveau public celui des petites filles et le film aurait mérité un méchant plus charismatique, malgré tout, Dragons: Le monde caché est la promesse d’un bon moment qui réchauffera vos petits coeurs et vous en mettra pleins les yeux émerveillant une nouvelle fois vos âmes d’enfants.
On découvre un Krokmou puissant et imposant qui découvre l’amour et la liberté, un Harold fragile et sensible qui découvre la vie d’adulte et les responsabilités et un monde magique El’dorado des dragons cachés au fin fond de la terre. Dragons 3 est une belle histoire qui se termine dans un happy-ending logique, pleins de tendresses qui fera pleurer petits et grands. Une belle conclusion pour une trilogie étonnante et pleine de surprises qui restera gravée dans le temps et deviendra surement un incontournable du film d’animation.
Pour ce vendredi en série, il vous faudra: un dessin animé, les codes du dessin manga, des enquêtes à la scooby-doo, des monstres tout droit sorti de l’univers de Chair de Poule et bien sûr des personnages haut en couleur. On mixe le tout pour obtenir une série d’animation franco-italo-canadienne de 66 épisodes au doux nom de Martin Mystère.
Ah… Martin Mystère, le Totally Spies version garçon, le X-file pour enfant, la petite pépite des années 2000! un de mes rendez-vous favoris du mercredi après-midi sur feu M6kid. Créée par David Michel et Vincent Chalvon-Demensay en 2003, on pouvait découvrir avec humour et en voyageant, les enquêtes de Martin, Diana et Java des Cavernes, tous trois agents du centre, une entreprise qui s’occupe de gérer les phénomènes paranormaux dans le monde entier.
Un plaisir de découverte qui malgré des épisodes aux mêmes schémas narratifs, a toujours réussi à se renouveler, grâce à un bestiaire varié qui se distingue par son originalité et le design de ses monstres, mais aussi par des enquêtes intéressantes et complexes à la portée de tous, des personnages attachants aux caractères bien trempés qui frôlent parfois la caricature sans jamais dépasser le trop et bien sûr, n’oublions pas la bande originale entrainante en phase avec l’ambiance du dessin animé.
Martin Mystère est une série atemporelle qui ouvre les portes du cinéma d’horreur aux plus jeunes et rend hommage au genre avec brio, un scooby-doo des années 2000 rempli d’histoires captivantes qui plairont aux grands comme aux plus jeunes.
Martin Mystère et son hommage à l’horreur
Comme je l’ai dit plus haut, la série a réussi à mettre en avant le genre de l’horreur et dans certains épisodes on peut retrouver des hommages à certains films cultes qui ont marqué le cinéma d’épouvante. Voici un bref aperçu de certains hommages:
La créature du marais saison 1 épisode 1 – Hommage au film Swamp Thing (1982)
L’antre des esprits frappeurs saison 1 épisode 15 – Hommage au film The shining (1980)
La maison de l’épouvante saison 2 épisode 5 – Hommage au film Evil Dead (1981)
La vengeance de l’araignée saison 2 épisode 6 – Hommage au film La Mouche (1986)
L’étrange Noël de Martin saison 2 épisode 24 – Hommage au film L’étrange Noël de Monsieur Jack (1993) avec une petite touche du film Grinch (2000)
Terreur à Torrington saison 2 épisode 23 -Hommage à Stephen King
La malédiction de l’esprit mutant saison 2 épisode 37 – Hommage au film The Thing (1982)
Les années 90, que d’histoire, que de passion, étant née au début des années 90 je ne pouvais que leur rendre hommage, mais comment? Ça fait longtemps que je voulais aborder les années 90, sans savoir vraiment comment le faire, après réflexion, j’ai décidé d’en faire un dossier. Il se composera de plusieurs parties, chaque partie abordera un genre cinématographique, grâce à ça j’espère pouvoir offrir un large panel du cinéma dans les années 90. Ensemble redécouvrons ce qu’était le cinéma en 90 à travers mes souvenirs qui sont peut-être aussi les vôtres.
Je ne pouvais pas commencer ce dossier sans parler de 10 films qui m’ont marqué tout au long de ma vie et qui font pour moi partis des meilleurs films des années 90.
MATRIX
Réalisé par: The Wachowski Année: 1999 Durée: 2h16min Genre: Action, Sci-fi
Matrix est l’un des rares films dont je me souvienne exactement comment je me suis retrouvé devant, c’est mon père qui m’a mise devant (surement un dimanche) en me disant de m’assoir et de regarder, après l’avoir vu je n’ai plus jamais vu le cinéma de la même manière, ce film m’a ouvert les portes d’un monde aux capacités immense.
JURASSIC PARK
Réalisé par: Steven Spielberg Année: 1993 Durée: 2h7min Genre: Adventure, Sci-fi
Spielberg et ses dinosaures, un rêve de petite fille de voir de vrais dinosaures, un traumatisme de ne plus voir la petite chèvre, une innovation dans le monde du cinéma.
Titanic
Réalisé par: James Cameron Année: 1997 Durée: 3h14min Genre: Romance, Drama
Surement mon premier souvenir de la grande salle obscur qu’on appelle cinéma, c’est avec ma maman que je suis allée voir ce film qui me marquera à vie et qui encore maintenant me fait pleurer comme une petite fille.
Une nouvelle fois c’est mes parents qui m’ont fait découvrir ce film, à l’époque je me souviens qu’ils l’avaient enregistré à la télévision sur une jolie VHS. Une nouvelle révélation pour moi que le cinéma était vraiment un monde magique, mais Le cinquième élément c’est surtout un début d’amour immense pour Bruce Willis.
HOOK
Réalisé par: Steven Spielberg Année: 1991 Durée: 2h22min Genre: Adventure, Fantasy
L’envie d’aller faire un tour à Neverland, la peur d’un enlèvement par le capitaine Crochet (je pense n’avoir jamais autant vérifié mes fenêtres), la découverte de Robin Williams.
LE ROI LION
Réalisé par: Roger Allers, Rob Minkoff Année: 1994 Durée: 1h28min Genre: Animation
Deuxième dessin animé qui m’a fait pleurer (le premier étant Bambi), première fois que j’ai réalisé que j’avais vraiment la larme facile, premier dessin animé que j’ai vraiment aimé. Un chef-d’oeuvre Disney.
UNE JOURNÉE EN ENFER – DIE HARD 3
Réalisé par: John McTiernan Année: 1995 Durée: 2h8min Genre: Action, Thriller
Encore une fois, je dois dire merci à mes parents, j’ai dû voir ce film un samedi soir sur TF1 ou M6, ce film a été une confirmation de mon amour pour Bruce Willis et la découverte d’un genre nouveau.
LE TEMPS D’UN WEEKEND
Réalisé par: Martin Brest Année: 1992 Durée: 2h36min Genre: Drama
Un film qui m’a touché alors que je suis tombée dessus un après-midi chez mes grands-parents, j’ai été subjugué par Al Pacino qui m’a montré qu’il était un acteur d’exception.
L’ARMÉE DES 12 SINGES
Réalisé par: Terry Gilliam Année: 1995 Durée: 2h9min Genre: Sci-fi, Thriller
Décidément Bruce Willis a été pour moi dans les années 90 un puits d’inspiration, avec 12 Monkeys c’est une grande claque en pleine tête, la découverte d’un Brad Pitt exceptionnel et une nouvelle vision d’un monde futuriste qui s’est présentée à moi.
FIGHT CLUB
Réalisé par: David Fincher Année: 1999 Durée: 2h19min Genre: Drama
Un twist final marquant, une nouvelle façon de filmer, un Brad Pitt toujours aussi talentueux, mais c’est surtout la découverte qu’une fin peut être aussi importante qu’un début.
C’est avec une petite liste de 10 films qui aurait pu être beaucoup plus longue que je finis cette première partie de ce nouveau dossier, heureusement ce n’est que le début, les années 90 commencent leur invasion sur Le Bruit du Cinema.
Depuis La belle et la bête de Christophe Gans, je me méfie comme de la peste des adaptations de ce dessin animé qui a bercé mon enfance, le teaser avait titillé ma curiosité dans le bon sens, j’avais même ressenti une petite excitation à l’idée de voir enfin une bonne adaptation d’un des plus grands chefs d’oeuvres de Disney. La bande-annonce est enfin là, malheureusement j’ai un peu peur de ce que je vais voir le 17 mars 2017, j’espère au fond de moi découvrir un film qui sera enfin à la hauteur du dessin animé mais je garde quand même un peu de réserve et me dis que peut-être, cette fois-ci encore, je vais être une nouvelle fois déçu… Affaire à suivre.
La bande-annonce du film Le voyage d’Arlo est sortie, prenant comme base de l’histoire que la catastrophe qui a exterminé les dinosaures ne serait jamais arrivé, on découvre un petit dinosaure qui fait la rencontre d’un humain. La génération 3.0 a trouvé son petit dinosaure, Arlo sera-t-il le digne remplaçant de Petit-pied ? Une chose est sûre, je sens que je vais verser ma larme.