Le monde magique d’Harry Potter

C’est en 2001, que Chris Columbus réalise le rêve de milliers d’enfants en donnant vie à l’univers de J.K Rowling et en permettant enfin au jeune Harry Potter de prendre vie.

Le Poudlard Express ne passe pas par la Terre du Milieu.

Pour être franche, j’extrapole un peu la pensée commune autour du jeune Harry Potter et de son arrivé dans notre monde de moldu. Car depuis de longues années, Le Bruit du Cinema était en pleine aventure dans les contrées lointaines du merveilleux monde du talentueux J.R.R Tolkien.

En 2001, la tête du Bruit du Cinema était pleine de champs de bataille et de quête elfique.

Harry Potter n’abandonne jamais !

Heureusement pour moi, tel un ami, le jeune Harry Potter a fait le chemin jusqu’aux contrées lointaines de la Terre du Milieu pour me faire découvrir son monde fait d’une autre forme de magie.

L’univers d’ Harry Potter est un monde vaste qui vous fascine instantanément. Tout comme dans l’univers de Tolkien, il vient ébranler votre curiosité, vous donnant envie de plonger dans sa magie à la recherche du moindre indice qui vous permettra d’en savoir plus.

Contrairement à l’univers de Tolkien, avec le temps mon regard plus adulte sur l’univers de J.K Rowling a mis à nu assez souvent des petits détails incohérents, qui une fois assembler peuvent parfois remettre en question des petites choses.

Et pourtant, paradoxalement, ce sont ces petits détails qui permettent au monde d’Harry Potter de rester en constante évolution. C’est grâce à ces petits défauts que l’univers de J.K Rowling arrive à se réinventer sans cesse, nous révélant encore et toujours des secrets cachés.

La force de Harry Potter

Le monde de Harry Potter est un monde rempli d’une magie particulière qui peut illuminer l’esprit des enfants comme des grands. On s’y évade par l’envie de découverte ou par simple envie nostalgique d’y retourner.

Cet article sera régulièrement mis à jour.

Le grand dossier des plus belles fins dans le monde du cinéma

La fin d’un film peut nous faire pleurer, nous faire rire mais surtout marquer une vie. Dans ce dossier, je vous propose un petit panel de films qui grâce à leurs fins m’ont marqué. Une nouvelle fois Le Bruit du Cinema se lance dans un dossier qui grâce au monde magique du cinéma aura plusieurs parties.

• The Great Dictator

Réalisé par: Charles Chaplin   Année: 1940   Durée: 2h5min

Ce film est internationalement reconnu comme un chef-d’oeuvre, Chaplin a osé montrer que le nazisme était un danger mortel pour les communautés juives mais aussi pour l’humanité et la démocratie.

Le saviez-vous ? 

• Le tournage du Dictateur commence le 9 septembre 1939, soit huit jours après l’invasion de la Pologne par les Nazis et six jours après la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne et de la France à l’Allemagne.

 

• Still Life

Réalisé par: Uberto Pasolini   Année: 2013   Durée: 1h32min

Avec Une belle fin, le réalisateur nous plonge dans une atmosphère très réaliste tout au long du film, pour nous surprend à la fin en ajoutant une petite note surréaliste, laissant place à l’imagination et tout en confirmant l’humanité qui s’en dégage. Une fin triste et douce à la fois, dur de sens dans un monde ou l’individualisme est de plus en plus maître.

Le saviez-vous ? 

• Pour évoquer le changement intérieur qui s’opère chez John May, le réalisateur a décidé d’intégrer de la couleur au fur et à mesure du film.

 

• La vie est belle

Réalisé par: Roberto Benigni   Année: 1997   Durée: 1h56min

Un film époustouflant qui reste en mémoire par sa beauté, son souffle de vie, sa dureté mais aussi sa légèreté. Je pense que c’est la première fin qui m’est vraiment marquée et dont je me souvienne à la perfection.

Le saviez-vous ? 

• Le numéro de prisonnier de Roberto Benigni dans La vie est belle est le même que celui sur l’uniforme de Chaplin dans le Dictateur.

 

• La ligne verte

Réalisé par: Frank Darabont   Année: 2000   Durée: 3h09min

Il est long le chemin jusqu’à une fin qui marquera beaucoup de monde, heureusement le film a très peu de longueur, ce qui le rend presque parfait. Une fois le film vu vous ne pourrez pas oublier l’histoire de John Coffey.

Le saviez-vous ? 

• Quand les producteurs n’arrivaient pas a trouvé un acteur pour le rôle de John Coffey, c’est Bruce Willis qui a suggéré Michael Clarke Duncan avec qui il avait joué dans Armageddon. 

 

• Lost in translation

Réalisé par: Sofia Coppola   Année: 2004   Durée: 1h42min

Chacun peut interpréter ce film à sa manière, pour certains l’histoire se finit mal, pour d’autres elle se finit bien. Moi, cette fin m’a parlé, m’a touché, m’a tout simplement marqué et fait partie des plus belles fins que j’ai pu voir, pleine de douceur, d’ambiguïté et puis Bill Murray tout simplement.

Le saviez-vous ? 

• Sofia Coppola a écrit le rôle de Bob Harris pour Bill Murray, elle a confié que s’il avait refusé la rôle, elle n’aurait pas fait le film.

Le grand dossier de la machine à théorie

Une nouvelle fois voici un nouveau dossier qui se composera de plusieurs parties qui vous seront dévoilées au fil des mois à venir. Après les voitures et le cinéma, je suis allée au plus profond du web pour chercher les théories de films faites par des fans et parfois validé par les réalisateurs eux-mêmes. Personnellement j’aime beaucoup la formule « Et si… » ces deux petits mots ouvrent la porte à des tonnes de théories complètement folles, parfois logiques, parfois intéressantes, parfois insensées… Voici un petit panel des théories de film dans le monde du cinéma. Quand le cinéma fait son propre cinéma les théories s’affolent.

! Attention risque de spoiler ! 

Les théories vont parfois très loin dans l’histoire du film, il y a donc un risque de spoiler, j’essayerais de vous prévenir avant mais certains pourraient m’échapper, merci de votre compréhension.

• Pulp Fiction (1994) – Marcellus Wallace aurait fait un pacte avec le diable 1/2 Risque de spoiler

Marcellus Wallace aurait fait un pacte avec le diable, il porte un pansement à la nuque qui pourrait cacher le baiser du Diable, le Diable lui aurait pris son âme, lui laissant une cicatrice à la nuque. Vincent et Julius seraient des anges gardiens qui auraient la mission de récupérer la mallette dans laquelle se cache l’âme de Wallace. Une fois leur mission accomplie, les deux compères n’auraient plus que deux destins la mort (Vincent) ou devenir des anges déchus errant sur la terre (Julius). Quentin Tarantino explique que ce qui se trouve dans la mallette n’aurait pour limite que l’imagination du réalisateur mais aussi celle du spectateur, il est donc possible de croire en cette théorie qui suppute que l’âme de Marcellus Wallace est dans la mallette.

• SAW (2004) – Jigsaw aurait raté l’avion

 

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Cette théorie étant tellement folle, elle sera donc très courte. Et si, Jigsaw et Kevin McCallister étaient la même personne ? J’avoue que celle la quand je suis tombée dessus j’ai vraiment beaucoup rigolé. Les seules choses qui peuvent relier les deux protagonistes à cette théorie sont leurs goûts pour faire des pièges adroits et spéciaux. C’est tellement fou que j’ai envie d’y croire.

• Harry Potter (2001-2011) – Ron et Dumbledore ne font qu’un 1/2

Et si, Ron et Dumbledore était la même personne? Pour cette théorie il faut imaginer que Voldemort a gagné la grande bataille finale qui l’opposé à Harry Potter. Ron aurait remonté le temps grâce au « retourneur de temps » afin de préparer Harry Potter et les autres à cette guerre. Certains vont même plus loin encore disant que Ron se serait un peu perdu en chemin et aurait fait un petit tour en Terre du milieu, devenant en plus de Dumbledore, le grand Gandalf, il aurait ramené avec lui des elfes qui avec le temps auraient décliné pour se transformer en elfe de maison.. Théorie folle que J.K Rowling a tué dans l’oeuf en révélant que Dumbledore était gay, mais bon elle reste malgré tout intéressante et mérité d’être dans la première partie de ce dossier de la machine à théorie.

• Charlie et la chocolaterie (1971) – Un tueur en série parmi les brebis

Et si Willy Wonka était un tueur en série sanguinaire qui se servait de sa chocolaterie et de ses pièges mortels pour tuer en toute impunité, c’est l’une des théories qui rôde autour de ce film. En se basant sur cette idée, on peut imaginer que Wonka prend Charlie sous son aile pour lui enseigner les règles du bon tueur en série, pour qu’il prenne la relève. On peut même supputer que Wonka utilise les enfants punis pour faire son chocolat, en plus d’être un tueur en série le dirigeant de l’usine serait aussi un cannibale.

• Logan (2017) – La frontière est mince entre la réalité et la fiction.

D’après cette théorie, Logan serait le seul film à se dérouler dans le monde réel, les autres films de la saga X-Men ne seraient que des histoires qui se déroulent dans des comics que les gens peuvent acheter, cette idée expliquerait le niveau de violence et de réalisme du film.

• La théorie PIXAR, un univers pour tous

Pour cette théorie, je vous mets à disposition une vidéo, la théorie étant très complexe je ne prendrais pas le risque de mal vous en parler, c’est pourquoi je vous laisse regarder la vidéo (les sous-titres français sont disponibles dans les options) qui vous expliquera la théorie folle de Pixar qui relie tous les films entre eux. Et si, tous les Pixar se passaient dans le même univers?

Dossier: Les catastrophes dans le monde du cinéma et des séries

La catastrophe dans le monde du cinéma et des séries s’invite sur Lebruitducinéma, elle peut s’inviter dans l’espace où sur terre, elle peut séparer les hommes où les réunir, la catastrophe est partout inspiré de faits réels ou tout droit sortis de l’imagination, relatant un futur proche ou lointain, elle nous fait peur mais nous fascine, la catastrophe se dévoile dans ce post, proposant des hypothèses sans pour autant donner des solutions. Voici les grandes catégories du genre.

• La catastrophe naturelle

La catastrophe naturelle arrive sans prévenir, elle est l’effet d’un évènement naturel plus ou moins violent (éruption volcanique, tsunami, astéroïde…) en règle générale quand la catastrophe arrive les protagonistes ne peuvent rien faire contre les éléments, ils ne peuvent que survivre pour mieux se reconstruire par la suite, il arrive parfois que le futur ne soit pas si noir et qu’une solution soit trouvée.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe sanitaire

La catastrophe sanitaire touche généralement un continent parfois le monde entier, elle commence à affecter la santé et augmente par la suite le facteur de mortalité ou surmortalité, elle peut aussi créer des créatures à l’appétit vorace, où entrainer des mutations chez certaines espèces animales inversant parfois la chaîne alimentaire. La catastrophe sanitaire reste malgré tout une catastrophe réparable.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe nucléaire

Guerre nucléaire, explosion nucléaire, hiver nucléaire, apocalypse nucléaire, la catastrophe nucléaire peut prendre bien des noms, mais se résume généralement à un résultat d’une ou de plusieurs explosions de bombe atomique qui peut avoir pour cause une erreur ou une volonté humaine, elle peut entrainer un effacement complet de l’humanité ou des mutations sur l’humain et l’animal, elle peut aussi être source d’un nouveau départ, mais globalement la catastrophe nucléaire n’attire rien de bon à l’humain.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe sociale

La catastrophe sociale arrive généralement après une guerre postapocalyptique, après la disparition d’une denrée importante pour l’humanité ou encore après la montée au pouvoir d’une dictature tyrannique autrement appelé « Big Brother », elle peut entrainer des mouvements de panique, des grèves massives, des guerres civiles, la disparition des liens sociaux ou une soumission totale à un régime totalitaire. La catastrophe sociale réorganise l’échelle sociale, c’est une vision pessimiste de notre futur, elle offre peu de solution aux problématiques proposées.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe extraterrestre

L’invasion extraterrestre, l’arrivée sur terre de nos amis les petits hommes gris, la découverte de l’espace et source de problèmes, signe de mauvais présage, les aliens et l’espace nous fascine et nous font peur, en règle générale l’humanité arrive à se sortir du pétrin avec des pertes plus ou moins grandes, l’extraterrestre au cinéma n’est pas encore prêt à détruire l’humanité.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe robotique

La catastrophe robotique est généralement liée à l’intelligence artificielle, un danger créer par l’homme lui-même, la machine qui prend le dessus sur l’homme, comme pour les extraterrestres nous en avons peur, elle nous fascine et elle nous divise, il y a les gens pour et les gens contres mais quand l’apocalypse robotique frappe personne n’est à l’abri. Quand la solution finale doit être prise le héros n’a pas énormément de choix, il doit choisir entre la machine et l’humanité.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

• La catastrophe zombie

Pourquoi je ne range pas cette catégorie dans « La catastrophe épidémique » parce qu’une fois le zombie apparu, on a dépassé le point de non-retour contrairement à l’infecté qui est sauvable, je ne m’étendrais pas sur la différence entre un infecté et un zombie, j’ai déjà fait un dossier pour cette problématique (lien ci-dessous). La catastrophe zombie apparaît sans raison dans le monde, elle commence par le détruire à petit feu pour finir dans un grand feu de joie ou le zombie est maître du monde, n’ayant pour ennemi que quelques petits groupes d’humains encore en forme pour résister.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Les films et les séries catastrophes ont de beaux jours devant eux, touchant un large public grâce à une diversité dans le genre, ils sont un rêve pour les scénaristes toujours à l’affut d’une nouvelle catastrophe quand ils ne sont pas trop occupés à faire du remake ou du reboot.

Voir aussi: Zombies vs infectés, La malédiction dans le monde du cinéma, Tueurs en série dans le monde du cinéma