1 réalisateur, 3 films

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Aujourd’hui sur Le Bruit du Cinema, on va parler du talentueux Christopher Nolan, génie du 7e arts, Nolan déçoit rarement et nous offre des films spectaculaires, aussi intelligents, visuellement que mentalement.


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Année: 2008   Durée: 2h32min   Genre: Action, Drame, Crime   Note: 8/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Avec l’appui du lieutenant de police Jim Gordon et du procureur de Gotham, Harvey Dent, Batman vise à éradiquer le crime organisé qui pullule dans la ville. Leur association est très efficace, mais elle sera bientôt bouleversée par le chaos déclenché par un criminel psychopathe que les citoyens de Gotham connaissent sous le nom de Joker.

En bref…

Christopher Nolan réalise un thriller sombre, intense et fascinant qui met en scène un duel épatant entre « le bien et le mal »Un film quasi parfait au sérieux assumé.

4

69

Année: 2010   Durée: 2h28min   Genre: Aventure, Science-Fiction, Suspense   Note: 8/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Dom Cobb est un voleur expérimenté, le meilleur dans l’art dangereux de l’extraction : spécialité qui consiste à voler les secrets les plus intimes enfouis au plus profond du subconscient durant une phase de rêve. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier. Une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie passée, accomplir une « inception ».

En bref…

Nolan nous offre une aventure intense et originale extrêmement divertissante, qui demande plusieurs visionnages pour une bonne compréhension de cette Inception.

2

70

Année: 2014   Durée: 2h49min   Genre: Drame, Science-Fiction   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Un groupe d’explorateurs exploite une faille dans l’espace-temps afin de parcourir des distances incroyables dans le but de sauver l’humanité.

En bref…

Christopher Nolan explore l’espace et le temps dans une odyssée captivante, pleine de bonnes idées mais qui malheureusement souffre de certaines longueurs et d’une fin baignée d’une fantaisie éphémère qui l’empêcheront de devenir un petit chef-d’oeuvre de science-fiction.

3

Dossier: Halloween (3/4)

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Réalisé par: Rob Zombie    Année: 2005   Durée: 1h47min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

Après la mort de son frère, le shérif Wydell ne rêve que de vengeance. Il est prêt à tout contre la terrifiante famille Firefly, et il n’hésitera pas à outrepasser la loi. Barricadés dans leur maison, les Firefly, eux, sont décidés à lui échapper par tous les moyens. Rien ne semble pouvoir arrêter leur macabre saga. Entre les deux camps, la guerre est ouverte, et elle va s’étendre…

En bref…

Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique, la famille Firefly foncent sur les routes de l’horreur embarquant avec eux les plus grands maîtres du genre pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer leur propre univers. Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.

Le saviez-vous ?

Le mot « Fuck » et ses variations a été utilisé dans le film 224 fois, selon une autre source il aurait été dit 560 fois, le film détiendrait de ce fait le record.

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Réalisé par: Neil Marshall   Année: 2005   Durée: 1h39min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour.

En bref…

Neil Marshall associe horreur et psychologie pour nous offrir un huis clos devenu incontournable qui fonctionne bien grâce à une maîtrise quasi parfaite et un bon twist final.

Le saviez-vous ?

Chaque filles du casting vient d’un pays différent.

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Réalisé par: Victor Salva   Année: 2001   Durée: 1h30min   Note: 6/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

Les vacances d’été sont enfin arrivées et, comme chaque année, Trish et Darry, deux étudiants, frère et soeur, prennent la route pour rendre visite à leurs parents. Sur le chemin, un routier agressif emboutit l’arrière de leur voiture sans raison apparente. Quelques kilomètres plus loin, Trish et Darry revoient le même camion, à côté d’une église abandonnée. Ils aperçoivent le conducteur, entièrement vêtu de loques, qui jette un corps dans une canalisation.

En bref…

Victor Salva réalise un film d’horreur simple et minimaliste à l’univers mystérieux et intimiste qui aura donné dans les années 2000 un nouveau souffle à l’univers du slasher. Jeepers Creepers est un film audacieux qui ne se prend pas la tête et introduit avec brio un nouveau monstre (conforme aux conventions du genre) dans e grand bestiaire de l’horreur.

Le saviez-vous ?

Pour son film Victor Salva explique qu’il a trouvé son inspiration dans le film Duel mais aussi dans l’histoire vraie d’un couple en voyage qui aurait remarqué quelque chose d’étrange sur la route et aurait fait demi-tour et découvert une scène épouvantable. Le réalisateur a repris l’histoire, modifié les âges et ajouté des éléments surnaturels.

Le bruit de couloir suspect (5)


Réalisé par: D. Myrick & E. Sanchez   Année: 1999   Durée: 1h21min   Note: 6/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d’un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête.

En bref…

Avec The Blair Witch Project, les réalisateurs ont compris que ce n’est pas ce que l’on voit qui éveil nos peurs mais ce que l’on croit voir, c’est en jouant sur ce petit détail que le film arrive à renouveler le genre et deviendra par la suite un incontournable des années 90.

Le saviez-vous ?

Les trois acteurs principaux ont gardé leurs vrais noms pour le film, ils furent lâchés pendant huit jours en pleine forêt avec très peu d’instructions.

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Réalisé par: William Friedkin   Année: 1973   Durée: 2h2min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?
L’histoire se déroule à Georgetown dans la banlieue de Washington. L’actrice de télévision Chris MacNeil est de plus en plus inquiète pour sa fille Regan en proie à des spasmes violents et à d’étranges symptômes devenus fréquents. Impuissants, les médecins lui conseillent de faire appel à un prêtre exorciste…
En bref…

L’exorciste est une pépite terrifiante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.

Le saviez-vous ?

Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.


La claque esthétique

On retient d’un film, son histoire, son réalisateur, son casting et sa mise en scène mais on oublie parfois que l’esthétisme d’un film peut jouer un grand rôle. L’esthétisme d’un film peut parfois chambouler et marquer les esprits. Je vous propose aujourd’hui, un petit tour d’horizons de certaines petites claques esthétiques que j’ai pris en pleine figure depuis que le cinéma est entré dans ma vie.


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Réalisé par: Darren Aronofsky   Année: 2006   Durée: 1h37min   Note: 9/10

De quoi ça parle ?

The Fountain raconte le combat à travers les âges d’un homme pour sauver la femme qu’il aime.

En bref…

Darren Aronofsky réalise une oeuvre qui frôle la perfection remplie d’émotions, aidé d’un casting époustouflant qui transcende cette méditation philosophique sur la mort. The Fountain est un beau voyage initiatique, audacieux et sincère qui vous dévastera ou vous laissera de marbre.

92

Réalisé par: Lars Von Trier   Année: 2011   Durée: 2h15min    Note: 6/10

De quoi ça parle ?

À l’occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine et de son beau-frère. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre…

En bref…

Lars Von Trier nous offre une merveille d’esthétisme qui s’épanouit dans l’univers du film catastrophe, il réalise des tableaux bouleversant et envoutant digne d’une grande fin du monde. Entre sublime et cauchemar, il n’y a qu’un pas.

90

Réalisé par: Danny Boyle   Année: 2007   Durée: 1h47min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

En cette année 2057, le soleil se meurt, entraînant dans son déclin l’extinction de l’espèce humaine. Le vaisseau spatial Icarus II avec à son bord un équipage de 7 hommes et femmes dirigé par le Capitaine Kaneda est le dernier espoir de l’humanité. Leur mission : faire exploser un engin nucléaire à la surface du soleil pour relancer l’activité solaire…

En bref…

Sunshine est un film d’une beauté rare qui rejoint avec brio le panthéon du film de science-fiction, les visuelles sont éclatants et marquent la rétine, cette odyssée spatiale prouve une nouvelle fois qu’une histoire dans l’espace peut se mélanger à un esthétisme bouleversant. Une belle réussite qui mérite le coup d’oeil.

91

Réalisé par: Robert Rodriguez & Frank Miller   Année: 2005   Durée: 2h4min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Sin City est une ville infestée de criminels, de flics ripoux et de femmes fatales. Certains ont soif de vengeance, d’autres recherchent leur salut. Bienvenue à Sin City, la ville du vice et du péché

En bref…

Robert Rodriguez réalise un film d’un nouveau genre, il ouvre une porte encore jamais ouverte, il mélange film noir et bande dessinée pour une symbiose parfaite. sin City est un hommage parfait et brillant l’esthétisme fou.

93

Réalisé par: Ben Stiller   Année: 2013   Durée: 1h54min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Walter Mitty est un homme ordinaire, enfermé dans son quotidien, qui n’ose s’évader qu’à travers des rêves à la fois drôles et extravagants. Mais confronté à une difficulté dans sa vie professionnelle, Walter doit trouver le courage de passer à l’action dans le monde réel. Il embarque alors dans un périple incroyable, pour vivre une aventure bien plus riche que tout ce qu’il aurait pu imaginer jusqu’ici. Et qui devrait changer sa vie à jamais.

En bref…

Ben Stiller réalise une ode à l’espoir et au rêve qui vous emportera avec intelligence dans une aventure pleine d’émotions et de visuel à couper le souffle.

Le mardi c’est classique

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Réalisé par: William Friedkin   Année: 1973   Durée: 2h2min   Achat: Amazon, Fnac, VOD


Une mère, une fillette, un démon, deux prêtres, un exorcisme, la mort.

Premier grand succès de l’histoire du cinéma d’horreur, L’exorciste reste encore aujourd’hui l’un des meilleurs films d’horreur de tous les temps, il ne pouvait pas, de ce fait, échapper au mardi c’est classique. Que l’on soit en 1973 ou en 2018, qu’on est vu le film ou pas, on a tous entendus parler de L’exorciste, on connaît tous les scènes qui ont marqué plus d’une génération.

En 1973, L’exorciste brave les règles de ce qui est montrable sur grand écran et surprend un public inhabitué à ce genre d’horreur. Le film sous ses allures de documentaire provoque l’effroi dans les salles en racontant une histoire qui puisse sa source à travers plusieurs thèmes  (arrogance, alcoolisme, culpabilité…) qui font partie de notre quotidien.L’horreur ne surgit ni des profondeurs de l’océan, ni de l’espace, l’horreur apparaît comme une irruption immédiate dans la vie de tous les jours et vient détruire l’illusion que nous vivons dans un monde sûr. Le réalisateur souffle à l’oreille du spectateur que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.

 

Jamais un film n’avait fait l’objet d’un tel battage médiatique pour l’époque, on ne comprenait pas pourquoi des gens de tout âge étaient prêts à faire la queue pendant des heures pour une oeuvre pareil. William Friedkin réussit comme le dit un critique « à faire du dégoût un divertissement pour grand public », il ouvre la porte au cinéma d’épouvante d’aujourd’hui. L’exorciste exercera une très grande influence sur le développement du genre et fera de l’enfant maléfique un thème dominant dans le cinéma d’horreur.

L’exorciste est une pépite terrifiante, parfois dégoutante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération.


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Calendrier d’Halloween: 30 octobre

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The Exorcist

The Power of Christ compels you!

Réalisé par: William Friedkin

Année: 1973

Chris MacNeil ne sait plus quoi faire pour aider sa fille, victime de spasmes violents. On lui conseille de voir un exorciste, le Père Damien Karras.

Une mère, une fille, un démon, deux prêtres, un exorcisme, la mort… Qu’on soit en 1973 ou aujourd’hui, qu’on est vu le film ou pas, on a tous entendu parler de L’exorciste, on connaît tous les scènes qui ont marqué plus d’une génération. Le film a l’allure d’un documentaire, n’a jamais pris une ride il est toujours aussi efficace, il provoque toujours l’effroi et continuera à marquer les esprits. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille..

Your mother sucks cocks in Hell, Karras, you faithless slime.

En 1973, L’exorciste brave les règles de ce qui est montrable sur grand écran et surprend le public et la critique ouvrant la porte au cinéma d’épouvante d’aujourd’hui. Le film est le premier grand succès de l’histoire du film d’horreur, il exercera une très grande influence sur le développement du genre et fera de l’enfant maléfique un thème dominant dans le cinéma d’horreur. Une pépite terrifiante, parfois dégoutante qui restera dans les mémoires.

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Le saviez-vous ?

  • L’exorciste est le premier film d’horreur nommé aux Oscar pour le prix du meilleur film.
  • Max Von Sydow a été si choqué par les injures proférées par Linda Blair, qu’il en a oublié son texte.
  • Basé sur l’oeuvre de William Peter BlattyThe Exorcist est le premier épisode d’une saga de quatre film réalisé par un réalisateur différent à chaque fois: L’exorciste (1973), L’Hérétique (1977), L’Exorciste, la suite (1990) et Exorcist: the beginning (2004)
  • Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.

Stick your cock up her ass, you motherfucking worthless cocksucker.

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