La période de confinement n’est elle pas le meilleur moment pour enfin apprendre ces moments de danse inoubliables qui ont marqué le cinéma, en confinement seul, à deux ou à plusieurs, il y en a pour tous les goûts. Revenons ensemble sur 5 films qui ont marqué l’histoire du cinéma et de la danse.
Réalisé par: Herbert Ross Année: 1984 Durée: 1h47min Note: 6/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Ren et sa mère Ethel quittent Chicago pour Beaumont, une petite ville du Middle West. Passionné de rock et danseur effréné, Ren heurte les conceptions morales de la communauté et de son pasteur, maître à penser du lieu. Révoltés par cet univers sclérosant, les jeunes de la ville se rallient à Ren…
En bref…
Footloose est un classique du genre, qui arrive malgré une histoire simple à marquer les esprits par sa musique entrainante et ses pas de danse rythmés.
Pendant ses vacances, Bébé découvre le monde de la danse et tombe amoureuse de Johnny, un professeur d’un monde très différent.
En bref…
Dirty Dancing est une étoile dans la galaxie qui brille de mille feux grâce à la passion qu’il provoque chez les fans. C’est un film intemporel, plein d’amour et de danse qu’on aime voir et revoir!
Sandy, la fille gentille, et Danny, le chef de gang, tombent amoureux pendant un bel été. Mais à la rentrée ils se retrouvent dans le même lycée.
En bref…
Grease est une comédie musicale culte qui se faufile de génération en génération, sans jamais prendre une ride. C’est un feel good movie au rythme endiablé porté par un duo qui fonctionne à la perfection.
La mise en bouche en chorégraphie!
Réalisé par: Jim Sharman Année: 1975 Durée: 1h40min Note: 9/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une nuit d’orage, la voiture de Janet et Brad, un couple coincé qui vient de se fiancer, tombe en panne. Obligés de se réfugier dans un mystérieux château, ils vont faire la rencontre de ses occupants pour le moins bizarres, qui se livrent à de bien étranges expériences.
En bref…
The Rocky Horror Picture Show est un film moderne et progressiste au discours avant-gardiste qui balaye avec brio les notions de genre et les préjugés pour laisser place à la liberté.
La mise en bouche en chorégraphie!
Réalisé par: Adrian Lyne Année: 1983 Durée: 1h35min Note: 6/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Alex Owens vit à Pittsburgh, ville gangrénée par le chômage. Elle travaille comme soudeur sur un chantier. Le soir, pour toucher un peu plus d’argent, elle danse dans un cabaret. Car la raison d’être d’Alex, c’est la danse…
En bref…
Flashdance est un incontournable un peu mollasson du genre, qui se regarde au moins une fois parce que c’est sympa, entrainant et culte.
Réalisé par: Paul Weitz Année: 2006 Durée: 1h47min Note: 7/10
De quoi ça parle ?
L’émission American Dreamz rassemble des centaines de millions de téléspectateurs avides de voir s’affronter de jeunes chanteurs pop en quête de gloire. Mais le présentateur Martin Tweed veut faire encore mieux – plus démago, plus trashy, plus vachard, en un mot, plus « réel ».Une campagne de recrutement livre son lot de candidats hors normes. La formule séduit plus que jamais et les sondages atteignent de nouveaux sommets.C’est alors que l’ambitieux « Tweedy » a l’idée de génie d’inviter… l’hôte de la Maison Blanche à arbitrer la finale.
En bref..
American Dreamz est une comédie satirique jubilatoire qui dénonce avec humour la société du spectacle et le culte de la célébrité. Critique ouverte d’une époque ou simple reflet d’une réalité qu’on aimerait ignorer ? À vous de décider.
Réalisé par: Emile Ardolino Année: 1992 Durée: 1h40min Note: 8/10
De quoi ça parle ?
Une jeune femme, témoin d’un meurtre, intègre un couvent pour se protéger. Elle va alors donner un nouvel élan à l’établissement religieux, invitant notamment les bonnes soeurs à une réorchestration musicale de leurs chants.
En bref..
Sister Act est un film simple et honnête qui aura marqué les esprits de toute une génération, grâce à un casting talentueux et une mise en scène maitrisée qui vous donnera envie de chanter.
Réalisé par: Audrey Estrougo Année: 2010 Durée: 1h25min Note: 4/10
De quoi ça parle ?
Gab a une vie rangée : une fiancée, un mariage en préparation, une famille aisée. Leïla ne s’autorise pas à vivre la sienne : des études de droit, un petit frère turbulent, une maman partie trop tôt… Alors lorsque Gab renverse le petit frère de Leïla, c’est le choc des mondes et le début d’une grande histoire d’amour qui va se heurter violemment à la réalité.
En bref..
Toi, moi, les autres est un film modeste, rempli de bons sentiments mais qui se pare malheureusement d’un scénario cousu au fil blanc, assez naïf, qui aurait pu être mieux travaillé. Les idées sont là mais la réalisation ne suit pas et étouffe le peu de moment de grâce du film.
Réalisé par: Tim Burton Année: 2007 Durée: 1h56min Note: 1/10
De quoi ça parle ?
Londres, 19ème siècle. Issue du folklore anglais, Sweeney Todd raconte l’histoire morbide d’un barbier, Benjamin Barker, condamné à tort par un juge corrompu et exilé en Australie pour purger sa peine, d’où il s’évade quinze ans plus tard. Décidé à retrouver sa femme et son enfant, il retourne en Angleterre sous le nom de Sweeney Todd, mais découvre que le fameux juge est sur le point d’épouser sa fille !
En bref..
En dépit de la beauté de l’univers de Tim Burton, Sweeney Todd est une torture pour l’esprit (et les oreilles) qui ne déclenchera aucune émotion mise à part peut-être de l’exaspération.
Réalisé par: Rob Marshall Année: 2002 Durée: 1h53min Note: 6/10
De quoi ça parle ?
A Chicago, dans les années vingt, Roxie Hart, une jeune femme qui rêve de monter sur la scène de l’Onyx Club, est accusée du meurtre de son amant indélicat et envoyée en prison. Derrière les barreaux, elle retrouve celle qu’elle admire, Velma Kelly, une chanteuse de jazz condamnée pour avoir tué son mari et sa soeur, pris en flagrant délit d’adultère.Le très populaire avocat Billy Flynn va brillamment plaider leur cause et attirer l’attention des médias sur ces deux jeunes femmes à la superbe voix.
En bref..
Catherine Zeta-Jones et Renée Zellweger brillent de mille feux dans cette comédie musicale amère et entrainante qui mettra le feu à votre écran. Chicago est un vrai moment de plaisir qui reste en tête.
Réalisé par: Emile Ardolino Année: 1987 Durée: 1h40min Achat: VOD
Je ne pouvais pas faire un mardi c’est classique, sans vous reparler d’un de mes films favoris, un film qui a marqué mon enfance et celle de ma soeur, d’un film qui m’a fait rêver d’un amour de vacance, d’un film qui m’a donné envie de danser, je vous parle bien sûr de l’incontournable Dirty Dancing!
Dirty Dancing c’est l’histoire de Frédérique alias Baby qui va passer un été en famille à la pension Kellerman dans la région des montagnes Catskill, c’est l’histoire d’un été monotone qui va devenir passionnant, c’est l’histoire d’une émancipation, c’est l’histoire d’une rencontre, c’est l’histoire d’un amour d’été…
Qui aurait cru qu’une comédie romantique à l’histoire basique, aux castings peu connus allait devenir un classique du cinéma ? Pas grand monde et surement pas les Français (seulement 365 000 entrées contre 8 millions en Allemagne) Et pourtant maintenant, diffusé Dirty Dancing à la télévision assure une bonne audience. Comment peut-on expliquer ce succès ?
Le scénario n’a rien de révolutionnaire mais sa simplicité fonctionne à la perfection portée par des chorégraphies sensuelles qui nous emmènent à petits pas vers le porté final qui laissera exploser la magie de cet amour « éphémère » qui nous fait rêver. Entre nous après avoir vu le film qui n’a pas rêvé de trouver lors d’un été un homme ténébreux et sensible comme le beau Johnny et de finir ses vacances sur une musique sensuelle en dansant coller/serrer avec cet homme si parfait ?
Quiproquo, haine, chance, amour et danse, voilà ce qui a fait le succès de Dirty Dancing mais c’est surtout grâce à un public devenu fidèle que le film a pu s’élever au rang de film culte. Dirty Dancing a fait rêver plus d’une petite fille (et n’a pas fini d’en faire rêver), Dirty Dancing c’est une étoile dans la galaxie qui n’a pas fini de briller, Dirty Dancing c’est un film pour tout âge, intemporel, plein d’amour et de danse qu’on aime voir et revoir!
Le saviez-vous ?
L’un des plans les plus célèbres du film (Bébé explosant de rire en pleine répétition) est une prise raté que le monteur a décidé d’inclure au film. L’exaspération très visible de Patrick Swayze n’est pas feinte du tout. La scène ou Bébé et Johnny se tournent autour en entonnant un playback (Love is Strange) et à l’origine juste un échauffement avant de reprendre le tournage.
La quasi-totalité des répliques anthologiques que nous connaissons tous, sont en réalité des pures inventions des traducteurs français.
Dans le film, Penny (Cynthia Rhodes) avorte clandestinement, le sujet effrayait les financiers, mais Eleanor Bergstein avait fait en sorte que cette storyline soit essentielle à la compréhension de l’intrigue principale afin d’être sûre qu’elle ne disparaisse pas au montage.
Dans les années 90, on avait de la bonne comédie, mené par de bons acteurs au talent immense, vous l’aurez donc deviné après la romance, le teen movie et l’animation, Le Bruit du Cinema se lance dans l’humour so 90′ et faire ce top 10 a été très compliqué, les années 90 étaient un bon cru, heureusement j’ai réussi à faire ce top! Let’s go pour 10 films qui ont marqué mes années jeunesse !
Réalisé par: Chuck Russell Année: 1994 Durée: 1h41min
De quoi ça parle ?
Stanley Ipkiss, modeste employé de banque, passionné par l’univers de Tex Avery, trouve un masque ancien aux pouvoirs surnaturels.
En bref…
Entre transformation cartoonesque, gags à la pelle et fantaisie, The Mask est une petite révolution qui pointe le bout de son nez en 1994, le film gangster rencontre le monde de la comédie et du cartoon pour une explosion pleine de folie et de génie.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Jon Turteltaub Année: 1993 Durée: 1h38
De quoi ça parle ?
L’histoire véridique de quatre Jamaïcains qui ont un rêve fou : obtenir une médaille d’ or dans une discipline olympique qui leur est totalement inconnue et impossible à pratiquer en Jamaïque : le bobsleigh.
En bref…
Jon Turteltaub ne se contente pas de faire un biopic banal, il prend le parti d’y ajouter de la comédie pour faire de cette histoire vraie un petit bijou de la comédie des années 90. En faisant ce choix judicieux, il fera de Rasta Rockett un film qui respire la fraicheur et la joie de vivre qui vous donnera la patate et le sourire même si vous avez passé une journée merdique.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Francis Veber Année: 1998 Durée: 1h20min
De quoi ça parle ?
Tous les mercredis, Pierre Brochant et ses amis organisent un dîner où chacun doit amener un con. Celui qui a trouvé le plus spectaculaire est déclaré vainqueur. Ce soir, Brochant exulte, il est sur d’avoir trouvé la perle rare, un con de classe mondiale : François Pignon, comptable au ministère des Finances et passionné de modèles réduits en allumettes.
En bref…
François Pignon est unique, il nous touche mais surtout il nous fait pleurer de rire. Francis Veber offre un chef-d’oeuvre de la comédie française, aidé d’un casting parfait et de dialogues exceptionnels! Tout est culte dans ce film, pas une minute ne nous ennuie, une pure pépite de la comédie.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Jean-Marie Poiré Année: 1993 Durée: 1h47min
De quoi ça parle ?
Comment en l’an de grâce 1112 le Comte de Montmirail et son fidèle écuyer, Jacquouille la Fripouille, vont se retrouver propulsés en l’an 1992 après avoir bu une potion magique fabriquée par un enchanteur leur permettant de se défaire d’un terrible sort…
En bref…
Qui aurait cru qu’une histoire de 4 pages écrite à 17 ans en cours de math donnerait un film devenu culte, pas grand monde.. Et pourtant c’est l’exploit qu’a réalisé Jean-Marie Poiré, aidé au scénario par Christian Clavier, 100 millions de dollars de recette plus tard, on en parle encore. Un film intergénérationnel qui encore aujourd’hui nous fait rire, une pépite de plus des années 90.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Steve Oedekerk Année: 1995 Durée: 1h30min
De quoi ça parle ?
Parce qu’il n’a pu sauver un raton laveur perdu en haute montagne, Ace Ventura s’est retiré dans une lamaserie au Tibet. Mais, à la faveur d’une nouvelle mission, Ace Ventura part en Afrique mettre la main sur une chauve-souris blanche sacrée disparue avant qu’un conflit n’éclate entre les tribus Wachati et Wachootoo.
En bref…
Pourquoi pas le 1 ? Parce que sortir du cul d’un rhinocéros, n’a pas de prix! Jim Carrey ébloui encore l’écran, par son talent et son humour totalement fou et immense, c’est gras, c’est lourd, c’est stupide mais qu’est-ce que c’est bon!
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Chris Columbus Année: 1993 Durée: 2h5min
De quoi ça parle ?
Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu’il adore, Daniel Hillard, doubleur de dessins animés, met en œuvre tous ses talents d’acteur et d’imitateur et se transforme en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque Mme Doubtfire se présente dans la famille Hillard, elle est acceptée à l’unanimité.
En bref…
Surement l’une des comédies familiales les plus réussis des années 90, une comédie qui parle aux enfants comme aux parents. Drôle et touchant, le film mélange drame de la vie courante et humour sans jamais atteindre l’excès.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Hervé Palud Année: 1994 Durée: 1h30min
De quoi ça parle ?
Sur le point d’épouser la belle Charlotte, Stéphane Marchado part à la recherche de sa première femme, partie depuis treize ans dans une tribu d’Amazonie pour régulariser son divorce.
En bref…
Un indien dans la ville c’est une aventure folle partant des magnifiques forêts d’Amazonie à la ville lumineuse de Paris, c’est des tonnes de répliques ressorties dans la cour de récré, c’est le petit coup de foudre de l’enfance, c’est un tout. Malheureusement, le film n’a pas forcément bien vieilli mais qu’on prend plaisir à revoir par pure nostalgie.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Chris Columbus Année: 1990 Durée: 1h43min
De quoi ça parle ?
La famille McCallister a décidé de passer les fêtes de Noel à Paris. Seulement Kate et Peter McCallister s’aperçoivent dans l’avion qu’il leur manque le plus jeune de leurs enfants, Kevin, âgé de 9 ans.
En bref…
Avec Maman, j’ai raté l’avion, Chris Columbus prouve son talent dans la comédie et se perfectionne dans le genre, arrivant à atteindre un nouveau niveau d’excellence. Home Alone est le film d’une époque, drôle et inventif, il devient avec le temps un classique qu’on aime revoir surtout un soir d’hiver accompagné d’un bon chocolat chaud sous une grosse couette.
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Joe Pytka Année: 1996 Durée: 1h28min
De quoi ça parle ?
Défiés au basket par de redoutables extraterrestres, Bugs Bunny et les toons font appel à Michael Jordan pour les sortir de ce mauvais pas…
En bref…
Quand le cartoon se met au basket ça donne Space Jam, une histoire folle et divertissante qui mélange réalité et dessin animé. Les années 80 avaient Rogger Rabbit les années 90 ont eu Space Jam. Un divertissement qui aura marqué l’année 96 et puis Bill F*cking Murray…
Et pour finir, la mise en bouche..
Réalisé par: Emile Ardolino Année: 1992 Durée: 1h40min
De quoi ça parle ?
Une jeune femme, témoin d’un meurtre, intègre un couvent pour se protéger. Elle va alors donner un nouvel élan à l’établissement religieux, invitant notamment les bonnes soeurs à une réorchestration musicale de leurs chants.
En bref…
Sister Act n’est pas un film au scénario extraordinaire, il est même plutôt simple et pourtant le film réussi à marquer les esprits grâce à un casting talentueux, une mise en scène simple mais maîtrisé et à la joie de vivre qu’il transmet. Sister Act est une film simple et honnête digne des années 90.
Réalisé par: Emile Ardolino Année: 1987 Durée: 1h40 Achat: VOD
De quoi ça parle?
Dans les années soixante, Bébé passe des vacances familiales ennuyeuses jusqu’au jour où elle apprend que des animateurs du village estival forment une troupe de danse. Pour cette jeune fille sage, c’est le début de l’émancipation à travers l’apprentissage du dirty dancing, une danse très sensuelle. Elle fait la connaissance de Johnny Castel, un professeur de danse qui va bouleverser son existence…
En bref…
Quiproquo, haine, chance, amour, amitié, voilà ce qui fait le succès de Dirty Dancing, c’est un mélangé rempli d’inattendu et un public devenu fidèle qui a fait de ce film un chef-d’oeuvre. Un film qui malgré les années ne s’éteint pas, un film simple, un film pour tout âge, un film qui fera rêver l’adolescente qui est en vous.
Le saviez-vous?
Patrick Swayze a dû convaincre Jennifer Grey de faire le film, elle l’avait tellement détesté pendant le tournage de L’aube Rouge qu’elle n’envisageait pas de refaire un film avec lui. (Heureusement pour nous il a réussi à la convaincre)
Dans la scène maintenant culte où Bébé et Johnny répète le mouvement ou il passe sa main sur son bras, l’actrice rigole réellement, Emile Ardolino a décidé de garder la scène la trouvant pertinente pour le film. (Sa chute dans cette scène st réelle aussi)
L’idée même qu’une autre personne que Patrick Swayze interprète Johnny me donne la nausée alors quand j’ai appris le lancement du remake, la colère m’a envahie, j’ai pleuré, j’ai hurlé, le choc passé, le calme revenu, je n’y crois toujours pas. Je rebondis donc sur l’actualité et vous parle DU film romantique qui a marqué ma jeunesse Dirty Dancing.
Dans les années 60, Frédérique alias Baby va passer son été en famille à la pension Kellerman dans la région des montagnes Catskill. Alors que la monotonie va prendre place, elle va se retrouver mêlée à la vie des employées et découvrir le monde de la danse et le beau Johnny Castel.
Dirty Dancing est l’un des rares films qui rentrent dans mon panel des 10/10, le scénario n’est pourtant pas révolutionnaire, mais il fonctionne à la perfection mener par des chorégraphies aux tops mais surtout un couple d’acteurs devenu culte représentant la romance parfaite d’un amour d’été. Après avoir vu le film, quelle demoiselle n’a pas rêvé de trouver notre Johnny si ténébreux et pourtant si sensible et de terminer sur une scène à danser coller/serrer avec cet homme si parfait.
Tout est prévisible dans Dirty Dancing et pourtant, j’ai beau le connaître par coeur, à chaque fois que je le revois, je le redécouvre et redeviens cette petite fille amoureuse de Patrick Swayze qui malheureusement fait partie de ces acteurs partis trop tôt. Comment ce film à petit budget a-t-il réussi à devenir ce film culte ?
Quiproquo, haine, chance, amour voilà ce qui a fait le succès de Dirty Dancing, c’est un mélange rempli d’inattendu et un public devenu fidèle qui a fait de ce film un chef-d’oeuvre qui fait rêver plus d’une petite fille et qui malgré les années ne s’éteint pas. Un film pour tout âge.