
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema reste en Amérique et va faire un tour à New York.








































Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema reste en Amérique et va faire un tour à New York.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema retrouve ses racines et va redécouvrir le sud de la France.
Quand le zombie se transforme en infecté dans le monde du cinéma, il ne fait pas que peur, il peut faire rire et même parfois toucher nos petits coeurs de guimauve tout coulant d’amour. Le Bruit du Cinema réouvre son dossier spécial zombie, pour crier son amour aux morts-vivants et infectés qui peuplent le monde du cinéma. Découvrons ensemble les pépites cachées, redécouvrons ensemble les grands classiques du genre, partageons ensemble une nouvelle vision de cette entité propre au monde de l’horreur.
Réalisé par: Abe Forsythe Année: 2019 Durée: 1h33min Genre: Comédie, Horreur Note: 7/10 Achat-Location: VOD
Dave, musicien raté, égoïste et irresponsable, tombe sous le charme de l’institutrice de son neveu, Miss Caroline. Il se porte volontaire pour accompagner la classe lors d’une sortie éducative dans une ferme voisine. Non loin de là, un virus s’échappe d’un camp militaire et une épidémie de Zombies prolifère.
Little Monsters est un film léger qui mélange gore et humour avec délicatesse pour un moment très savoureux.
Réalisé par: Ruben Fleischer Année: 2009 Durée: 1h28min Genre: Comédie, Aventure Note: 5/10 Achat-Location: VOD
La Terre est infestée de zombies. Columbus, jeune homme très prudent, et Tallahassee, un véritable tueur de zombie, vont faire équipe pour survivre.
Ruben Fleischer réinvente la comédie d’horreur avec intelligence et humour dans un road movie qui foisonne d’idées folles, de gags « sanglants » et de situations farfelues. Et puis, Bill Fucking Murray!
Réalisé par: Ruben Fleischer Année: 2019 Durée: 1h39min Genre: Comédie, Action Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Le chaos règne partout dans le pays, depuis la Maison Blanche jusqu’aux petites villes les plus reculées. Nos quatre tueurs doivent désormais affronter une nouvelle race de zombies, qui ont évolué en dix ans.
Zombieland Double Tap est un film paresseux qui ne se prend pas au sérieux et qui se contente de piocher dans le vieux pour essayer de faire du neuf. Une suite dispensable.
Réalisé par: Andrew Currie Année: 2006 Durée: 1h33min Genre: Comédie, Horreur Note: 4/10 Achat-Location: VOD
Il y a bien longtemps, la Terre traversa un nuage stellaire de poussière radioactive qui sema le chaos sur notre planète en déclenchant un effroyable appétit de chair humaine. La terreur dura jusqu’à ce que la toute-puissante compagnie ZomCon mette au point un collier qui domestique littéralement les zombies. Devenues jardiniers, livreurs de lait ou même véritables animaux de compagnie, ces créatures sont désormais partout, sous le parfait contrôle de leur collier, dans un monde réglé comme du papier à musique.
Fido est une petite satire politique amusante et assez intelligente qui malgré un rythme parfois assez mou, arrive à divertir.
Réalisé par: Jonathan Levine Année: 2013 Durée: 1h38min Genre: Romance, Comédie Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Depuis la catastrophe qui a frappé l’humanité, R est un zombie comme les autres. Enfin, presque, car le jeune homme pense beaucoup, et sa rencontre avec la ravissante Julie, toujours vivante, elle, bouleverse sa vie.
Warm Bodies est un échec qui aurait pu être divertissant si la surprise avait été au rendez-vous.
Réalisé par: Ruben Fleischer Année: 2019 Durée: 1h39min Note: 1/10
Pour cette recette, il vous faudra: un univers post-apocalypse, plusieurs sortes de zombies, la même équipe qu’il y a 10 ans, ajouter une grosse dose d’Elvis Presley, saupoudrer le tout de personnages insipides prêts à une mort rapide et vous obtiendrez une pâle copie d’un succès so 2009.
Zombieland: Double Tap c’est l’histoire d’une troupe qui survie depuis 10 ans dans un univers rempli de zombie, c’est l’histoire d’une fuite inattendue (mais prévisible), c’est l’histoire d’une aventure paresseuse, c’est l’histoire des fesses de Woody Harrelson…
Le premier film était animé par un quatuor de personnages atypiques qui fonctionner très bien et apporter un souffle nouveau à la comédie d’horreur, le second opus n’est qu’une pâle copie insipide sans aucune nouveauté dont on ne retiendra que les fesses de Woody Harrelson et la scène post-générique. Une fois le petit moment nostalgique passé, on se rend vite compte que le film n’a qu’une idée en tête nous faire rire en exploitant la moindre miette qui traîne pour au final créé un bazar sans vie qui fera à peine sourire.
Le casting est paresseux, le scénario est paresseux, la mise en scène est paresseuse, tout est paresseux dans ce film, personne ne se prend au sérieux et on le ressent trop, le quatuor n’est qu’un pâle reflet de ce qu’il était. On ne ressent que de la paresse dans ce film qui aurait pu être un retour parfait.
Zombieland: Double Tap est une suite dispensable.
L’année 2019 a été, une année, assez intéressante et productive, côté grand écran, j’ai pu avoir de belles surprises et de grosses déceptions, côté petit écran, certaines ont pris fin et d’autres ont commencé parfois de façon étonnante parfois de façon attendu. Mais, si je compare l’année 2019 à l’année 2018, je dirais qu’elle a été moins catastrophique que prévue. Voici mon top 10 films et série de l’année 2019.
Parce qu’il n’est jamais trop tard pour découvrir de bons films voici les mentions spéciales du Bruit du Cinema.
L’année 2019 est terminé, mais certaines envies restent bien présente, voici les films de 2019 qui reste sur ma liste d’envie.
Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !
Coming soon…
Septembre c’est le mois de la rentrée, l’heure du bilan de l’été et surtout l’heure de la reprise (pour la grande majorité) après avoir fait un petit bilan de ce que j’ai pu voir sur le cru 2019, il est l’heure de faire une dernière petite liste de ce que je veux voir en 2019.
Réalisé par: Andy Muschietti Genre: Horreur, Fantastique Sortie: Actuellement au cinéma
Tous les 27 ans, une créature maléfique revient hanter les rues de Derry, dans le Maine. Près de trente ans après les événements du premier opus, les membres du Club des Ratés, désormais adultes, se retrouvent.
Réalisé par: Mike Flanagan Genre: Horreur Sortie: 30 octobre
Danny Torrance est à présent adulte mais toujours marqué par les événements tragiques de l’hôtel Overlook. Alcoolique et dépressif, il voit ses pouvoirs revenir lorsqu’il doit sauver la vie d’une fillette.
Réalisé par: Rob Zombie Genre: Horreur Sortie: Sortie prochainement
La suite de La Maison des mille morts et The Devil’s Rejects sortis respectivement en 2003 et 2005.
Réalisé par: Tim Miller Genre: Science-Fiction, Action Sortie: 23 octobre
De nos jours à Mexico. Dani Ramos, 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté Gabriel, une machine Terminator des plus évoluées, indestructible et protéiforme, un « Rev-9 », venue du futur pour la tue…
Réalisé par: Noah Baumbach Genre: Drame, Comédie Sortie: Novembre 2019
Un metteur en scène et sa femme, comédienne, se débattent dans un divorce exténuant qui les pousse à des extrêmes…
Réalisé par: Greg Tiernan & Conrad Vernon Genre: Animation Sortie: 4 décembre
Nouvelle version des aventures de la célèbre famille macabre qui vit dans un manoir hanté…
Réalisé par: Jake Kasdan Genre: Aventure, Comédie Sortie: 11 décembre
L’équipe est de retour, mais le jeu a changé. Alors qu’ils retournent dans Jumanji pour secourir l’un des leurs, ils découvrent un monde totalement inattendu.
Réalisé par: Todd Phillips Genre: Thriller Sortie: 9 octobre
Les origines du Joker dans les années 80 à Gotham City.
Réalisé par: Ruben Fleischer Genre: Comédie, Horreur Sortie: 30 octobre
le chaos règne partout dans le pays, depuis la Maison Blanche jusqu’aux petites villes les plus reculées. Nos quatre tueurs doivent désormais affronter de nouvelles races de zombies qui ont évolué en dix ans et une poignée de rescapés humains.
Maleficent: Mistress of Evil sortie le 17 octobre – Toy Story 4 – Charlie’s Angels sortie le 4 décembre – John Wick Parabellum – Yves – Bienvenue à Marwen – Les traducteurs sortie le 18 décembre – The New Mutants sortie le 1er avril 2020 (si dieu le veut) – All you need is love – Once upon a time… in Hollywood – Border – Dis moi Céline sortie prochainement – The Irishman – El Camino sortie prochainement.
La La Land nous offre une première bande-annonce tendre et douce, le film est bien parti pour nous faire voyager dans un monde rempli de romance, de sensibilité et de chansons. De quoi réveiller le coeur des plus romantiques d’entre nous.
Réalisé par: Cameron Crowe
Année: 2015
Note: 1/10
Achat:
« You sold your soul so many times nobody’s buying anymore »
J’ai beau retourner l’histoire dans tous les sens, je ne comprends pas comment Cameron Crowe a pu se planter aussi fortement pour ce film. Si on regarde avec une vue d’ensemble, on a tout pour faire une bonne comédie romantique, on a un bon casting, un beau décor et un triangle amoureux et pourtant, rien n’a fonctionné.
Aloha c’est l’histoire d’un militaire de renom qui revient sur les traces du plus grand succès de sa carrière pour une mission ultime, dans un décor hawaïen il va se retrouver forcé d’affronter son passé pour pouvoir avancer vers son présent. Le passé se cache derrière Rachel McAdams qui joue une ancienne conquête du héros remarié à un militaire mais qui n’a jamais réussi à tourner la page, le présent quant à lui se cache derrière Emma Stone qui incarne une insupportable et hyperactive militaire chargée du babysitting du héros, ces deux étoiles virevoltent autour d’un Bradley Cooper au sourire béat perdu dans son propre chaos.
Le réalisateur avait un sujet intéressant qui aurait pu se mélanger aux légendes hawaïennes et poser la question de l’homme et son droit à la seconde chance, malheureusement rien ne ressort de ce sujet maltraité du début à la fin. Les incohérences se chevauchent dans une narration déséquilibrée et surchargée qui frise l’incompréhension à chaque plan pour finir sur un happy-ending bâclé par des acteurs qui sont forcés de surjouer leur rôle pour donner un peu de vie à cette torture romantique.
On a beau faire le tri rien n’y fait les pièces de ce puzzle géant refusent de s’emboiter correctement, Welcome Back est le navet incompréhensible de l’année 2015 et de Bill Murray.
« The future isn’t just something that happens. It’s a brutal force with a great sense of humor that will steamroll you if you’re not watching. »
Voir aussi: Dirty Dancing, Coup de foudre à Notting Hill, Magic in the moonlight, Austenland, Quatre mariages et un enterrement, You Instead
Le mois de décembre a été en grande partie un mois de répétition, j’ai fait beaucoup de revisionnage et peu de nouveautés, malgré tout j’ai eu droit à de belles surprises et quelques déceptions. En ce mois de Noël, j’avais deux attentes importantes, la première le nouveau Star Wars, la deuxième le Noël avec Bill Murray promis par Sofia Coppola, j’ai adoré passer Noël avec le grand Murray et j’ai adoré redécouvrir l’univers de Lucas, la télévision a réussi à me surprendre avec deux films bien sympathiques, le premier m’a fait découvrir le monde des cinq légendes, le second m’a fait découvrir les dessous d’une histoire royale. J’ai rattrapé mon retard Marvel avec l’homme-fourmi qui m’a fait rire, j’ai donné sa chance à la comédie française malheureusement ce mois-ci rien n’a fonctionné, Le prestige n’a pas eu l’effet escompté et m’a laissé de marbre, j’ai vécu la fin d’une quadrilogie sans la regretter, pour finir mon mois avec Netflix et Bill Murray dans le film Aloha qui n’est malheureusement pas des plus fascinants…
Comme pour les séries, j’ai enfin dressé après quelques réflexions mon top 10 des films qui ont marqué mon année 2015.
Sans surprise, le meilleur film de mon année 2015 est Mad Max: Fury Road ma claque cinématographique de l’année, j’ai fait une petite rétrospective de mes envies 2015, et je dois avouer que peu de ses envies ont été assouvis beaucoup de déception pour cette année, heureusement des petites perles inattendues se sont mises sur ma route et certains grands succès ont tenu leurs promesses.
Le film le plus attendu de 2015: Star Wars VII
La belle surprise: Une Belle Fin
Le guilty pleasure: The Final Girls
Meilleure idée de film d’horreur: It Follows
La deception: Cooties
Ce mois-ci fut un mois rempli de belles découvertes, j’ai commencé mon mois avec la rencontre de Gatsby, je suis rentré dans le monde de Guillermo Del Toro deux fois la première avec la magnifique Crimson Peak qui m’a conquise, la seconde avec le terrifiant Labyrinthe de Pan qui m’a laissé de glace, je me suis plongée dans le monde de la drogue par deux fois avec le ténébreux Benicio Del Toro, j’ai touché à l’inconnu avec deux belles surprises la première sur Netflix grâce à Advantageous la seconde dans le monde du slasher avec The Final Girls, je suis sortie d’un labyrinthe pour une terre brûlée, j’ai fait ma rencontre annuelle avec le grand Woody Allen et j’ai rattrapé un peu de retard avec Minority Report. Un mois en double, un mois réussi.
Voir aussi: Maze Runner: The Scorch Trials, Dossier: Tueur en série dans le monde du cinéma
Réalisé par : Woody Allen
Année : 2014
Note : 8/10
I’m getting a mental impression
Magic in the moonlight est une comédie romantique rafraichissante remplie de magie, de poésie et d’un humour pétillant, un bon cru 2014, sortie tout droit de la cave de Woody Allen regroupement tout ce qu’il aime.
C’est sur la Côte d’Azur des années 20 qu’il nous entraine dans une histoire insouciante remplie de mystère et de romantisme, le beau Colin Firth joue un magicien pragmatique et pessimiste venue dans le sud de la France pour démasquer une supposée médium interprétée par l’éblouissante Emma Stone.
Enrobée dans un univers de magie que le réalisateur affectionne particulièrement (il avait déjà utilisé ce thème pour son film Scoop) il aborde plusieurs thèmes comme la vie et la mort mais aussi la question de Dieu, ne manquant pas de se faire entendre, à travers l’acteur Colin Firth on ressent bien la présence de Woody Allen au détour d’un sarcasme ou d’une tirade qui monopolisera le public sans l’ennuyer, le tout est équilibré par la présence de la pétillante Emma Stone et son optimisme.
L’insouciance de l’après-guerre des années folles nous plonge dans une euphorie qui frôle la folie, remplissant le spectateur d’une joie de vivre, d’une envie de découverte et pourquoi pas d’une envie de vacance sur les côtes de la Méditerranée?
Woody Allen prouve aux plus septiques qu’il a encore de la ressource dans son chapeau de magicien, espérons que son prochain film L’homme irrationnel soit aussi bien que Magic in the moonlight.
I came to say that for some inexplicable reason that defies common sense and human understanding, that I have, of late, experienced some small… quite small but discernible, inner stirrings regarding your smile
Voir aussi: Austenland, Quatre mariages et un enterrement, The Grand Budapest Hotel
Réalisé par : Alejandro Gonzalez Inarritu
Année : 2014
Note : 6/10
Popularity is the slutty little cousin of prestige
Riggan Grand est un acteur en perdition qui a connu la gloire dans les années 90 avec un rôle de super-héros, Birdman. Il va tenter un retour sur les planches en montant une pièce de théâtre complexe de Raymond Carver, en suivant l’acteur, on découvre que sa mauvaise conscience a pris la forme de son ancien rôle, le super-héros devenant son alter ego en apparaissant ponctuellement derrière lui ou en servant tout simplement de voix off.
Birdman, c‘est un règlement de comptes entre A.G. Irritu et le tout-Hollywood, il n’épargne personne, pointant du doigt, le show-business, l’acteur et son ego,mais aussi le rapport complexe qu’il existe entre la critique et l’artiste. Ce film est un tour de force technique bâti sur une prise continue soutenu par une bande originale jazzie entièrement joué à la batterie, qui va donner une agressivité brute et profonde à Birdman, la prise de risque est à double tranchant, tenant sur un équilibre précaire pouvant vaciller à tout moment du bon côté ou du mauvais.
Le personnage de Michael Keaton est un écho à sa carrière, le ramenant sur le devant de la scène, il est soutenu par un casting d’acteurs tout aussi talentueux qui frise la folie. Birdman c’est un peu le mépris de Alejandro Gonzalez Inarritu pour cette forme d’uniformisation qui apparaît dans le tout-Hollywood, il n’épargne personne, on pourrait presque se demander, s’il ne s’en prend pas à son propre public au détour de certaines scènes.
Birdman c’est un film brute et sensible qui rend hommage aux acteurs qui ont rayonné dans les années 90 et qu’on a tendance à oublier.
People, they love blood. They love action. Not this talky depressing philosophical bullshit.
Voir aussi: Mommy, Nightcrawler, Une belle fin