C’est reparti pour un tour, les théories de fan ne s’arrêtent jamais d’être actualisé, c’est avec joie que je vous offre de nouveau un petit panel des théories de film dans le monde du cinéma et cette fois-ci on s’attaque à l’univers Disney. Quand le cinéma fait son propre cinéma les théories s’affolent!
! Attention risque de spoiler !
Les théories vont parfois très loin, il y a donc un risque de spoiler, merci de votre compréhension.
Blanche Neige et les sept nains (1937) – Snow White et la mort….
Et si le prince charmant de Blanche Neige était en fait la mort ? C’est sur le site Reddit que la théorie prend vie sous la plume de Scherazade qui avance cette théorie selon elle ou lui, la pomme empoisonnée aurait bel et bien tué Blanche Neige, le baiser du prince Charmant symboliserait seulement la Mort emportant la princesse. À la fin du dessin animé Blanche Neige fait ses adieux aux sept nains comme si elle ne pourrait jamais plus les revoir et se dirige avec le prince charmant vers un château illuminé par le soleil qui pourrait ressembler au paradis.
Aladdin (1992) – Le génie et le marchand ne font qu’un… (1/3)
Et si le marchand et le génie était la même personne ? Et pour la première fois dans ce dossier, je vais vous répondre : Et oui, le génie et le marchand sont bel et bien la même personne et toute l’histoire d’Aladdin n’est qu’une invention du marchand pour vous vendre la lampe! La théorie a été confirmée par les deux réalisateurs qui révèlent que le génie devait se révéler à la fin sous les traits du marchand mais les changements continuels du scénario, on fait prendre le fil à cette révélation.
La Petite Sirène (1989) – L’univers Disney pas si grand que ça…
Et si Eric était l’arrière-arrière-petit-fils d’Aurore et Philip ? Pour cette théorie tout part d’un journaliste de Buzzfeed qui a remarqué un petit détail, loupé jusqu’à présent, lorsque Ariel est invité au palais, on a un plan large de la grande salle, sur les murs on peut y voir des tableaux et sur l’un d’eux, on peut apercevoir un portrait d’Aurore et Philip…. Ces derniers pourraient faire partie de la famille d’Éric, on peut donc supputer un univers commun entre les deux dessins animés.
Aladdin (1992) – Un seul voeu… (2/3)
Et si le génie n’avait exaucer qu’un seul voeu? Au début du film, Aladdin frotte la lampe et demande au génie de faire de lui un prince afin qu’il puisse prétendre à la main de la belle Jasmine. Mais le génie fait-il de lui réellement un prince ou lui en donne-t-il seulement l’apparence? Techniquement Aladdin ne sera prince qu’à la fin après avoir réalisé des actes héroïques pour sauver le royaume et la princesse, en se basant sur ça, on pourrait penser que le génie a provoqué tous les évènements du film pour réaliser le voeu d’Aladdin…
La belle et la bête (1991) – Une malédiction plus grande que prévue…
Et si, la malédiction ne toucher pas que le château? D’après une théorie de fan, la malédiction lancée par la sorcière ne toucherait aussi l’ensemble du village, les villageois seraient eux aussi bloqués dans le temps et revivraient inlassablement les mêmes choses. Ce qui expliquerait l’attitude désabusée de la Belle quand elle voit que tout le monde réitère les mêmes tâches machinalement, elle et son père seraient isolés par les villageois car ils sont les seuls à vieillir…
Aladdin (1992) – Back to the futur… (3/3)
Et si, l’histoire d’Aladdin se déroulait dans le futur ? Beaucoup d’éléments laissent penser que cette théorie est juste, certains éléments de notre époque se retrouvent dans le dessin animé, de plus les inventions du génie sont très semblables au notre et Aladdin sait éteindre une lampe, toutes les informations laissent penser que l’époque est déjà bien avancé, reste à savoir ou placer le film sur l’échelle du temps…
Réalisé par: Dean Deblois Année: 2019 Durée: 1h44min Note: 6/10
Faire le dernier volet d’une saga est toujours un exercice délicat et difficile, Dean Deblois réussit cette dernière étape avec panache en nous offrant un film assez profond rempli de questionnement sur l’amitié, le sacrifice et l’émancipation dans un univers enfantin aidé d’une conclusion logique et pleine d’émotion.
Dragons est une franchise qui n’a jamais eu peur de faire des choix osés et pertinents, qu’on parle d’esthétisme ou de scénario, il y a toujours eu un travail monstre qui n’a jamais déçu, en 2010 la saga été révolutionnaire, en 2019 elle l’est encore! Avec Dragons 3, on peut le dire on aurait pu frôler le chef-d’oeuvre, le graphisme comme à son habitude est époustouflant et en phase avec son temps, les dragons n’ont jamais été aussi respecté que dans ce troisième opus malheureusement, il y a un mais dans toute cette belle histoire…
On pourra reconnaître une légère faiblesse dans le scénario qui est beaucoup plus enfantin que le second volet de la saga, on sent bien que ce dernier film est fait pour ouvrir l’univers de Krokmou à un nouveau public celui des petites filles et le film aurait mérité un méchant plus charismatique, malgré tout, Dragons: Le monde caché est la promesse d’un bon moment qui réchauffera vos petits coeurs et vous en mettra pleins les yeux émerveillant une nouvelle fois vos âmes d’enfants.
On découvre un Krokmou puissant et imposant qui découvre l’amour et la liberté, un Harold fragile et sensible qui découvre la vie d’adulte et les responsabilités et un monde magique El’dorado des dragons cachés au fin fond de la terre. Dragons 3 est une belle histoire qui se termine dans un happy-ending logique, pleins de tendresses qui fera pleurer petits et grands. Une belle conclusion pour une trilogie étonnante et pleine de surprises qui restera gravée dans le temps et deviendra surement un incontournable du film d’animation.
Après la romance, on va parler teen movie dans Le Bruit du Cinema et son dossier année 90. Le teen movie est un film qui montre la vie quotidienne de pré-adolescents ou d’adolescents qui se retrouvent confrontés le plus souvent au regard des autres ou au monde des adultes, il fait son apparition dans les années 50, mais c’est dans les années 90 que le genre va passer un capte devenant plus riche et même parfois plus complexe, les personnages féminins s’imposent et deviennent moins caricaturaux, le genre ira même jusqu’à piocher certaines histoires dans les grandes oeuvres littéraires comme « Les liaisons dangereuses » (pour ne citer que cette oeuvre), les sous-genres viendront aussi s’inviter à la fête, la plupart tombant vite dans l’oubli. On pourrait dire que les années 90 sont un peu l’âge d’or du teen movie, c’est donc avec plaisir qu’aujourd’hui je vous propose de faire le tour de 10 films qui méritent le coup d’oeil.
The Faculty
Réalisé par: Robert Rodriguez Année: 1998 Durée: 1h44min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Herrington High est une école comme les autres. Ses murs sont devenus peu à peu crasseux, ses manuels scolaires périmés, ses professeurs paraissent usés bien avant la retraite, ses élèves, cerveaux et crétins, sérieux ou cancres notoires, affrontent des parents qui ne les comprennent plus et des professeurs qui ne les ont jamais compris. Mais les adolescents de Herrington High se heurtent à un problème inédit. Un de leurs professeurs est tellement bizarre et inquiétant qu’ils le soupçonnent d’appartenir à une autre espèce, de venir d’une autre planète…
En bref…
The Faculty est une initiation à la science-fiction moderne naviguant entre nostalgie et renouveau, aidé d’un casting formidable aux têtes connues et d’un bande-son au top, ce petit film fait plaisir et incite à la désobéissance, un film qui avec les années fonctionne toujours aussi bien.
Jawbreaker
Réalisé par: Darren Stein Année: 1999 Durée: 1h27min Achat: VOD
De quoi ça parle?
Trois jolies jeunes filles décident de faire une farce a une amie. Kidnappée pour rire, Liz meurt accidentellement, étouffée par un jawbreaker, une confiserie ambulante. Courtney, Jullie et Marcie décident de maquiller leur crime. Seulement Fern Mayo, une pauvre fille a qui personne ne fait attention, en a trop entendu.
En bref…
Un des teen movie les plus cultes et paradoxalement l’un des moins connus du grand public, Jawbreaker est une petite pépite avec une nouvelle fois un casting bien fourni, une bande-son formidable et bien sûr un début d’histoire en apparence simple qui finira par se révéler complètement loufoque. Un teen movie sans prétention qui ravira l’ado qui sommeille en vous.
Idle Hands – La main qui tue
Réalisé par: Rodman Flender Année: 1999 Durée: 1h32min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Un matin d’Halloween, alors qu’il s’apprêtait à regarder la télévision après avoir pris soin de dévaliser le frigo, Anton découvre ses parents sauvagement assassinés. Il court chercher ses amis Mick et Pnub. Ensemble, ils vont tenter de faire face à la situation. Mais ils découvrent, terrifiés, qu’Anton pourrait bien être, contre sa volonté et sans même en avoir conscience, l’auteur de la vague de meurtres atroces qui frappe les environs.
En bref…
La main qui tue arrive à allier avec justesse horreur et comédie grâce à un humour bien travaillé, une mise en scène maitrisée, un casting pleins d’allumer du ciboulot et des petites référence bien placé. Un film qui a prouvé qu’avec une idée débile on pouvait faire de grandes choses. Un incontournable du teen movie.
Cruel Intentions – Sexe Intentions
Réalisé par: Roger Kumble Année: 1999 Durée: 1h37min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Ils sont jeunes, beaux, riches et rivalisent d’adresse machiavélique pour comploter des conquêtes amoureuses.Dans cette version moderne des « Liaisons Dangereuses », l’intrigante Kathryn Merteuil charge son perfide ami et double masculin, Sebastian Valmont, de séduire la vertueuse Annette Hargrove, dont les régulières déclarations sur les bienfaits de la virginité sont des agressions permanentes au système de pensée de Mlle Merteuil. Ce challenge devient un pari, que Sebastian veut absolument gagner.
En bref…
Ah ce baiser ! Il en a fait parler plus d’un! Les Liaisons Dangereuses s’invite dans la teen movie, une entreprise osé qui fonctionnera à merveille créant un film incontournable et puis Sarah Michelle Gellar…
The Craft – Dangereuse Alliance
Réalisé par: Andrew Fleming Année: 1996 Durée: 1h41min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Trois étudiantes, Nancy, Bonnie et Rochelle très éprises d’ésotérisme pratiquent la magie. Qualifiées par les autres étudiants de folles ou de sorcières, elles sont bientôt rejointes par une quatrième, Sarah, dotée de dons exceptionnels. Le quatuor va former un cercle capable d’invoquer les plus puissants esprits et de transformer leurs rêves en réalités. Jusqu’au jour ou des rivalités apparaissent dans le petit groupe.
En bref…
Le film qui aura fait s’intéresser plus d’un ado à la sorcellerie, un film authentique qui nous entraine dans une ténébreuse exploration du monde de la sorcellerie et de la magie noire dans une ambiance assez sombre qui aura surpris par son succès, en même temps quand on voit le casting ils auraient dû s’en douter!
Cry-Baby
Réalisé par: John Waters Année: 1990 Durée: 1h25min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Un mauvais garçon, Wade alias Cry-Baby, moins féroce qu’il ne cherche à le paraître, tombe éperdument amoureux d’une jeune fille on ne peut plus respectable. Méchamment repoussé par l’establishment, pourchassé par la police, humilié, lui qui semait le mal ne tarde pas à découvrir les tragiques extrémités auxquelles la passion peut conduire.
En bref…
Le film s’attaque aux comédies musicales des années 50, c’est aussi une version rock’n’roll de la grande histoire de Shakespeare – Roméo et Juliette, une pépite de folie mener du début jusqu’à la fin par un Johnny Depp fougueux et rebelle. Un film rafraichissant qui malheureusement ne parlera pas à tout le monde.
Clueless
Réalisé par: Amy Heckerling Année: 1995 Durée: 1h37min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Cher Horowitz, lycéenne issue du milieu huppé de Bervely Hills, est une jeune fille pourrie gâtée qui sait jouer de ses atouts. Écartant ses rivales grâce à son sens de la mode, se défaisant de ses problèmes scolaires d’un claquement de doigts, Cher essuie tout de même les réprimandes de Josh qui ne se cache pas pour lui dire tout le mal qu’il pense de son attitude superficielle.
En bref…
Une satire de la vie lycéenne dirigée judicieusement par Amy Heckerling, avec son film elle revient à la source du teen movie, une vision d’une jeunesse riche et superficielle qui après bien des péripéties aura droit à une remise en question pour les beaux yeux d’un jeune homme, un basique du teen movie.
She’s All That – Elle est trop bien
Réalisé par: Robert Iscove Année: 1999 Durée: 1h35min
De quoi ça parle ?
Taylor et Zack, le couple star du lycée, se sépare. Pour ne pas perdre sa réputation de tombeur, Zack parie avec son meilleur ami et rival, Dean, qu’il pourrait faire de n’importe quelle fille la reine du bal de fin d’année. Dean choisit pour lui Laney, une fille que tout le monde qualifie de bizarre, peintre et franchement décalée, qui ne donne pas l’impression de s’intéresser aux garçons.
En bref…
Elle est trop bien est un film sympathique rempli de naïveté sentimentale qui pue la guimauve, il fait partie de ses plaisirs coupables qu’on garde sous le coude pour une soirée en hiver sous la couette. Un teen movie too much qui fait du bien au moral.
American Pie
Réalisé par: Paul Weitz, Chris Weitz Année: 1999 Durée: 1h35min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Mortifié pour avoir été surpris par ses parents devant un film X, Jim, élève de terminale, fait un pacte avec sa bande de copains: devenir des hommes avant l’entrée à la fac. Il leur reste trois semaines pour utiliser toutes les techniques possibles de séduction. Tous les moyens sont bons, même les plus inattendus, car chaque jour compte.
En bref…
Incontournable du teen movie de la fin des années 90, American Pie fera la transition avec les années 2000, c’est une comédie légère qui apportera une nouvelle façon de parler de ce sujet délicat qu’est le sexe, pour ce premier opus l’histoire se concentrera sur cette première fois qui nous a tous fait flipper!
My Girl
Réalisé par: Howard Zieff Année: 1991 Durée: 1h42min Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Vada est une petite fille brillante et dynamique qui aime grimper aux arbres, faire des balades à vélo et aller à la pêche avec son copain Thomas. Vada a un problème avec la mort. Il faut dire que sa mère est morte en la mettant au monde et que, depuis, son père ne semble s’intéresser qu’à son métier : les pompes funèbres.
En bref…
Je finirais ce dossier avec le film My Girl qui a marqué mon enfance, entre rire et larmes le film nous réserve bien des surprises, une belle histoire sur deux jeunes pré-adolescents qui découvrent ensemble l’amour et l’amitié, un film juste qui donnera une vraie base sur ce qu’est la découverte de l’adolescence mais aussi la vie et la mort.
Pour tout passionné de teen movie ou pour tout curieux, je vous conseille vivement de regarder le documentaire Beyond Clueless qui vous fera découvrir une nouvelle façon d’interpréter le teen movie, un plaisir de découverte!
En mars, j’ai relu et dévorer une nouvelle fois, le livre d’Alison Arngrim qui porte le doux nom La petite garce dans la prairie (que je vous conseille fortement si vous ne l’avez pas lu) j’ai pu replonger dans cette série qui a marqué mon enfance, apprendre plein d’anecdotes mais aussi découvrir la vie pas facile de l’auteur. C’est donc sans surprise que je mets cette « garce » de Nellie Oleson à l’honneur ce mois-ci dans la scène du mois, j’aurais pu choisir dans les bagarres qu’elle a si souvent eues avec Laura Ingalls mais j’ai préféré choisir la scène où elle tombe amoureuse, une façon pour moi de rendre hommage à cette magnifique amitié que l’actrice a eue avec l’acteur Steve Tracy.
Le saviez-vous?
Michael Landon le beau Charles Ingalls ne portait pas de caleçon sous son pantalon. Ce choix s’explique par une enquête faite par NBC qui avait déterminé que la majeure partie des téléspectateurs seraient des femmes de plus de 40.
Si la petite Carrie tombe dans le générique quand elle dévale la colline, c’est parce que la mère de la jumelle a réveillé sa petite en pleine sieste et lui a enfilé ses chaussures à l’envers. La petite ayant la tête dans le cul et des chaussures mises au mauvais pied, elle ne pouvait que tomber.
Alison Arngrim a d’abord auditionné pour les rôles de Laura Ingalls et Mary Ingalls avant d’être choisie pour incarner la petite garce Nellie Oleson.
Réalisé par: Robert Zemeckis Année: 1988 Durée: 1h44 Achat: VOD
En 1981, Walt Disney achète les droits d’adaptation du roman de Gary K. Wolf – « Who censored Roger Rabbit », mais la réécriture de ce roman assez noir s’avère plus compliquée que prévu pour les studios. Dès 1982, Robert Zemeckis propose ses services, mais le réalisateur se voit refuser la mise en scène de ce projet (ayant un CV que les studios jugent trop peu fourni), c’est seulement 3 ans plus tard et après le refus de Terry Gilliam qui juge le projet trop difficile à réaliser, que les studios se tournent vers Zemeckis qui a vu sa carrière décoller grâce À la poursuite du diamant vert et bien sûr Retour vers le futur.
Avec son budget de 50 millions de dollars (une somme pour l’époque) Roger Rabbit va devenir un enjeu de première importance pour les studios, mélanger réalité et dessin animé était une idée risquée pour les années 80, il n’y avait que deux possibilités, soit le film était un futur succès, soit un véritable suicide industriel. Cette incertitude créera des séances de réécriture à n’en plus finir, une gestation sans fin et la menace d’une annulation permanente sur le projet, heureusement pour nous, le projet arrivera à terme. C’est le 22 juin 1988 sous le label Touchstone, que le film Qui veut la peau de Roger Rabbit ? sort dans les salles obscures, il chamboulera à jamais le monde du cinéma.
Quand un détective alcoolique et un lapin de dessin animé maladroit font équipe ça nous donne un film atypique, loufoque, drôle mais surtout un film culte! Robert Zemeckis ne fait aucune faute, il arrive à mêler à la perfection l’univers du polar et des toons, en utilisant avec brio la bande originale pour mélanger différentes époques et en truffant son film de diverses références, le réalisateur arrive à donner au film un caractère tout à fait authentique.
Qui veut la peau de Roger Rabbit est une avancer majeur dans le monde du cinéma, ce fut la première fois que le monde des dessins animés rencontrer la réalité avec autant d’harmonie. Ce film est une perle d’inventivité sur qui le temps n’a aucune emprise, grâce à un réalisateur qui n’a pas peur de se salir les mains, une équipe technique en avance sur son époque et un casting talentueux, Roger Rabbit est un cocktail réussi qu’on prend plaisir à déguster quelle que soit l’époque.
Le saviez-vous ?
Touchstone Pictures a été spécifiquement créé en 1984 pour permettre à Disney d’exploiter des films « non-disneyens ».
L’écriture d’une séquence comme celle qui met en scène Mickey Mouse et Bugs Bunny se faisait sous la supervision d’avocats pour s’assurer du traitement égalitaire des deux superstars.
Les excellents rapports entre Spielberg et Warner ont permis l’inclusion de tous les personnages du catalogue Looney Tunes.
Russell Hall a inversé le mouvement naturel des seins de la pulpeuse Jessica Rabbit.
Tim Curry a auditionné pour le rôle du juge DeMort mais lors des essais l’acteur a été si effrayant que Zemeckis, Spielberg, Katzenberg et Eisner ont décidé de ne pas lui confier le rôle.
Je ne sais pas trop quoi dire sur ce deuxième volet des films Chair de poule… Le premier n’était pas folichon mais il n’en restait pas moins sympathique à regarder, la présence de Jack Black titiller la curiosité, l’effet nostalgie jouer beaucoup mais pour ce deuxième film, au vu de la bande-annonce, j’ai l’impression de retrouver un copier/coller du premier avec des effets spéciaux bidons (les monstres ne sont pas beaux), je ne vois pas l’intérêt de ce second opus…
Une ouverture de bande-annonce avec Colin Farrell, je dis oui et encore oui, si en plus il a une baguette magique et qu’il chasse des animaux fantastiques tout droit sorti du mon d’Harry Potter, je tombe amoureuse. Nouvelle bande-annonce pour Les animaux Fantastiques qui donne envie et fait plaisir.
Je sens déjà la belle claque dans la figure que je vais prendre devant ce petit film d’animation, qui promet d’être drôle, poétique et plein d’action. L’été 2016 s’annonce remplit. Sortie le 18 août 2016.
Je ne sais pas vous, mais moi, je n’étais déjà pas emballé par l’idée d’un remake, je le suis encore moins après vision de la bande-annonce de ce nouveau Pete’s Dragon, je ne vois pas l’utilité de ce film, le premier se suffisant à lui-même… J’avais simplement l’impression de voir une deuxième bande-annonce du livre de la jungle…
Seconde bande-annonce pour le film The Secret Life of Pets qui sortira en juillet 2016 et une confirmation d’un futur coup de coeur pour ce petit bijou qui s’annonce hilarant. Un film d’animation que j’attends avec impatience malheureusement juillet est encore loin…
En ce moment c’est une avalanche de bande-annonce qui nous tombe sur la tête, il en sort une à deux tous les jours de quoi titiller mes envies, ma curiosité mais aussi ma déception, pour le moment plus de bonne surprise que de mauvaise. En ce mardi 15 décembre, c’est le prequel d’Harry Potter qui a le droit à une bande-annonce des plus mystérieuses. Sortie le 16 novembre 2016.
La bande-annonce du deuxième film sur notre petite Alice est sortie, Alice Through The Looking Glass est LE film que je n’avais pas vu venir, je ne comprends d’ailleurs toujours pas comment ils ont pu avoir les fonds pour créer cette suite tirée du deuxième livre de Lewis Carroll. Sortie le 1er juin 2016.
J’ai pris un peu de retard ce mois-ci mais vos mieux tard que jamais comme on dit. Beaucoup de bon film, beaucoup de bons dossiers, de décryptage et d’interview.
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Cinemateaser n°48
Ce mois-ci le magazine s’illustre avec deux couvertures au choix qui mettent en avant le film Pan. On a droit à un décryptage du film The Lobster, un autre des films d’Eli Roth, une question intéressante sur la foi et le cinema, une petite piqûre de rappel sur Jason Blum, un dossier complet sur le dernier film de Joe Wright, un autre sur Sicario, un reportage sur le dernier Ridley Scott et pour finir un gros point sur le Tiff.
Studio Ciné Live n°73
Le magazine nous offre une couverture digne d’un magazine de mode avec un Vincent Casel en mode mâle aux yeux de biche, un édito toujours aussi nerveux, des news toujours aussi sympathiques, un petit zoom sur M Night Shyamalan, une interview du mannequin en couverture, une enquête sur les femmes et la réalisation, un joli portrait sur la belle Emma Stone, un retour sur retour vers le futur, un joli portfolio sur l’exposition Star Wars qui a lieu actuellement à la galerie Sakura (Paris) on termine notre lecture sur le film culte The Rocky Horror Picture Show.
Première n°464
La couverture la plus convaincante de ce mois d’octobre, une ouverture du magazine avec la jolie Emma Watson, une petite question sur Netflix et le cinéma, une petite interview de Woody Allen, un résumé de l’American Film Market, une interview pour l’héroïne du film de Maïwenn, un dossier complet sur Sicario, une interview du Guy next door le plus apprécié Matt Damon, une belle rencontre avec Genndy Tartakovsky, un portfolio en noir & blanc sur le grand Scorsese et pour finir dans le frisson un décryptage de l’horreur au cinéma.
Un mois de septembre assez pauvre en film pour deux raisons, la première un retour dans l’univers Star Wars m’a pas mal occupé, la seconde une rentrée remplie de série. J’ai malgré tout réussi à occuper les trous que j’ai pu avoir, avec quelques belles surprises et beaucoup de mauvaises. Mes deux révélations de ce mois-ci, un retour dans le teenage movie avec Bubble Boy et uneentrée dans la folie avec American Psycho, comme à mon habitude j’ai pu faire un petit rattrapage de classique avec Entretien avec un vampire, j’ai découvert que Disney ne faisait pas que des histoires avec des happy endings mielleux avec Tusk Everlasting, ma plus grosse déception ce mois-ci Cooties que j’attendais avec surement un peu trop d’impatience, je suis rentrée dans la tête de Guillermo Del Toro avec Hellboy II. J’ai aussi perdu mon temps ce mois-ci avec une femme qui mène tout le monde à la ruine dans Cartel, je me suis perdu chez les hippies avec Jennifer Aniston & Paul Rudd avec le film Wonderlust, l’ours en peluche Ted était de retour dans ma vie mais il a loupé le coche, heureusement j’ai fini mon mois sur une belle touche avec Human un joli documentaire sur l’humanité.
La semaine dernière c’est Frankie Munizqui évoquél’idée de possible retour de la série Malcolm, aujourd’hui c’est Bryan Cranston qui en parle, l’acteurne serait pas contre l’idée de faire un petit retour dans son rôle de papa de Malcolm. Interrogé par Entertainment Tonight Canada le comédien a répondu :
« Cela fait 10 ans que nous ne sommes plus à l’antenne, et ce serait vraiment fun de remettre ces costumes, de me remettre dans la peau de ce gars-là et d’être à nouveau amusant et doux et adorable et malheureux et désemparé et effrayé par tout et n’importe quoi… »
Si cette volonté vient à se confirmer, on aurait peut-être une chance de voir un retour de la famille qui a bercé les années 2000.