Un chasseur de phénomènes paranormaux cherche désespérément une maison maudite où une mère et son enfant ont été les victimes d’un drame il y a bien longtemps.
Ju-on: Origins revient comme son nom l’indique sur les origines de la saga éponyme Ju-On (The Grudge). L’histoire de la série s’étale sur 10 ans, dix années d’horreur, qu’on découvre sur 10 épisodes de 30min.
Cette série, en plus, d’être un hommage, redonne un petit souffle à l’univers fantomatique de Ju-On. Elle fait peau neuve, en s’offrant une nouvelle esthétique et une histoire un peu plus profonde qui se joue des faits-divers sordides des années 80-90 qui ont eu lieu au Japon.
Dans l’ensemble, Ju-On: Origins est une petite réussite, à qui l’on reprochera quelques passages brouillons et un zigzag entre les années parfois un peu confus pour le spectateur. La série arrive à donner un souffle nouveau à cet univers qui s’était essoufflé depuis plusieurs années.
Les inspirations
L’onryō (怨霊) est un fantôme malveillant (généralement des femmes) qui revient dans le monde des vivants afin de régler ses comptes, rester en suspens dans sa vie passée.
Contrairement aux fantômes occidentaux, l’onryō peut influencer ou blesser les vivants, il pourrait même causer des catastrophes naturelles.
Le grand plaisir de l’onryō est de tourmenter leurs anciennes connaissances et familles. Il attend généralement des semaines voire des mois avant de passer à l’attaque. De cette façon, il peut d’abord observer qui porte le deuil de son décès et qui ne le porte pas.
La légende d’Oiwa
Oiwa était l’épouse du samouraï Lemon, un homme ambitieux qui dans sa quête de pouvoir et d’argent, décidera de monter un complot pour tuer sa femme et épouser la séduisante et riche Oume.
D’après la légende, Oiwa sera brutalement tué par son mari qui épousera par la suite la jeune Oume.
Le soir de ses noces, l’esprit vengeur d’Oiwa reviendra hanter son époux et le fera assassiner par sa nouvelle épouse Oume.
Comme chaque année depuis sa création Le Bruit du Cinema fait le bilan de son année. Entre top, flop et bonne surprise replongeons ensemble dans cette année 2020 qui a été chaotique pour le cinéma et le monde entier. Avant de découvrir les tops et les flops, Le Bruit du Cinema replonge dans les bonnes surprises découvertes en 2020.
Bob L’éponge, le film : Éponge en eaux troubles
Réalisé par: Tim Hill Année: 2020 Durée: 1h31min Genre: Comédie, Animation, Famille Note: 6/10
Suite à l’escargotnapping de Gary, son compagnon de toujours, Bob entraîne Patrick dans une folle aventure vers la Cité Perdue d’Atlantic City afin de le retrouver. A travers cette mission sauvetage pleine de surprises, de merveilles et de dangers, Bob l’Éponge et ses acolytes vont réaliser que rien n’est plus fort que le pouvoir de l’amitié.
Guns Akimbo
Réalisé par: Jason Lei Howden Année: 2019 Durée: 1h38min Genre: Action, Comédie, Suspense Note: 5/10
Un concepteur de jeux vidéo se réveille d’une violente agression avec un pistolet greffé au bout de chaque main. Gladiateur des temps modernes malgré lui, il sera contraint de livrer une lutte sans merci pour récupérer son amie, kidnappée, pour le plus grand divertissement d’une communauté d’internautes avide de violence.
The Good Dinosaur
Réalisé par: Peter Sohn Année: 2015 Durée: 1h33min Genre: Animation, Aventure, Comédie, Famille Note: 6/10
Et si la catastrophe cataclysmique qui a bouleversé la Terre et provoqué l’extinction des dinosaures n’avait jamais eu lieu ? Et si les dinosaures ne s’étaient jamais éteints, et vivaient parmi nous de nos jours ?
Nightmare Cinema
Réalisé par: A. Bruguès, J. Dante, M. Garris, R. Kitamura, D. Slade Année: 2018 Durée: 1h59min Genre: Horreur Note: 6/10
Des personnes sont attirées dans un cinéma de quartier et se retrouvent à l’écran, propulsées dans des récits horrifiques.
The Baby Boss
Réalisé par: Tom McGrath Année: 2017 Durée: 1h37min Genre: Animation, Aventure, Comédie, Fantaisie Note: 7/10
Tim, âgé de sept ans, jaloux de son petit frère est un bébé despotique et qui est en mal d’affection de la part de ses parents. Il va devoir déjouer un complot destiné à briser l’équilibre de l’amour dans le monde. Les deux frères vont alors devoir s’unir pour le déjouer.
Rendez-vous chez les Malawas
Réalisé par: James Huth Année: 2019 Durée: 1h32min Genre: Comédie Note: 5/10
Pour la spéciale Noël de son émission phare « Rencontre au bout du bout du monde », Léo Poli emmène non pas un, mais quatre invités exceptionnels. Est-ce vraiment une bonne idée ? Nos stars partent à la rencontre des Malawas, une des tribus les plus isolées du monde. Une comédie sur la nature…humaine.
Londres, 1713. Le cartographe anglais Jonathan Green part en repérage des endroits inexplorés de la Transylvanie. Au-delà des montagnes des Carpates, il découvre un village isolé du reste du monde, dont les habitants terrorisés se cachent des démons et autres créatures qui en ont pris possession. Seul le téméraire cartographe semble alors pouvoir percer les mystères qui entourent ces créatures impitoyables qu’il lui revient d’exterminer…
En avant
Réalisé par: Dan Scanlon Année: 2020 Durée: 1h42min Genre: Animation, Comédie, Aventure, Fantaisie
Dans la banlieue d’un univers imaginaire, deux frères elfes se lancent dans une quête extraordinaire pour découvrir s’il reste encore un peu de magie dans le monde.
Mon chat, l’elfe malicieux et moi
Réalisé par: Evgeniy Bedarev Année: 2019 Durée: 1h30min Genre: Comédie, Fantaisie, Famille Note: 5/10
A Moscou, une mère seule achète un appartement dans un immeuble datant de l’époque soviétique. Elle ignore que les lieux abritent un elfe domestique, qui considère l’immeuble comme sa propriété et n’est pas prêt à accepter de nouveaux habitants. La petite famille va également devoir affronter une sorcière…
Volt, star malgré lui
Réalisé par: Byron Howard & Chris Williams Année: 2008 Durée: 1h36min Genre: Comédie, Animation, Aventure, Famille Note: 7/10
Pour le chien Volt, star d’une série télévisée à succès, chaque journée est riche d’aventure, de danger et de mystère – du moins devant les caméras. Ce n’est plus le cas lorsqu’il se retrouve par erreur loin des studios de Hollywood, à New York… Il va alors entamer la plus grande et la plus périlleuse de ses aventures – dans le monde réel, cette fois. Et il est convaincu que ses superpouvoirs et ses actes héroïques sont réels…
The Jungle Book
Réalisé par: Jon Favreau Année: 2016 Durée: 1h46min Genre: Aventure, Drame, Famille Note: 6/10
Élevé par une famille de loups, le « petit d’homme » n’est désormais plus le bienvenu dans la jungle : le redoutable tigre Shere Khan, qui porte encore les cicatrices de sa confrontation avec les hommes, s’est juré d’éliminer celui qu’il voit comme une menace. Forcé d’abandonner le seul foyer qu’il ait jamais connu, Mowgli entame un extraordinaire périple à la découverte de sa propre identité, avec pour guides Bagheera et Baloo.
Joss Whedon a réussi à créer avec Buffy The Vampire Slayer quelque chose d’extraordinaire, il a créé une série qui parle à tout le monde et qui abordé tous les sujets. Le scoobygang a grandi avec nous alors comme pour Supernatural, Le Bruit du Cinema se replonge dans l’univers de La Tueuse pour lui rendre hommage. Contrairement à Supernatural, je ne posterais pas les épisodes dans l’ordre mais aléatoirement.
A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l’ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n’est pas facile. Et c’est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, mais qui la nuit part à la chasse aux vampires !
Rendez-vous le 4 décembre pour la redécouverte d’un premier épisode.
Sombre et élégante, Penny Dreadful transforme avec adresse le folklore de la littérature anglaise en un tableau somptueux, qu’on admire avec fascination. La magie entoure cet univers mystérieux aux protagonistes romanesques qui nous envoutent et nous entrainent dans un abysse à la découverte de l’innommable vérité de la nature humaine.
Qu’elle soit bonne ou mauvaise, la nature humaine est complexe et difficile à expliquer. Penny Dreadful tire les bonnes ficelles et s’approprie le sujet avec fluidité et souplesse, grâce à une écriture et une mise en scène soignée et un casting talentueusement charismatique.
Penny Dreadful est une histoire qui nous conte la beauté et les vices de la nature humaine, de la croyance et du culte. Cette histoire est une aventure inespérée qui frôle la passion.
Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…
Un penny pour un Penny Dreadful
Un penny dreadful est un vieux terme utilisé au cours du XIXe siècle au Royaume-Unis qui représentait un genre littéraire populaire et bon marché.
Il s’agissait d’histoire macabre inspirées plus ou moins de faits divers réels, publiée sur plusieurs semaines.
Elles étaient vendues sous forme de petits livres sur du papier de qualité médiocre et valaient un 1 penny.
Hécate
Hécate est une déesse de la Lune, fille du titan Persèset titanide Astéria.
Elle fait partie de la Triade Lunéraire où elle représente la nouvelle lune, symbole de la mort. À ses côtés se trouve: Séléné, la pleine lune, symbole du cycle et Artémis, le croissant de lune, symbole de la naissance.
Les Adieux
Eva Green ne voulait pas que la dernière scène qu’elle joue en tant que Vanessa Ives, soit sa mort.
L’actrice ne voulait pas quitter le personnage dans ces circonstances.
La dernière scène que l’actrice a filmée, était celle où Vanessa est seule dans sa chambre et regarde l’espace vide dans le mur ou était la croix.
Lawrence Talbot
Lawrence Stewart « Larry » Talbot également connu sous le nom de The Wolf Man est le personnage principal du film (The Wolf Man) sortie en 1941.
Talbot apparaît aussi dans la littérature au côté de Dracula mais aussi de Frankenstein mais aussi en tant que protagoniste principal dans l’histoire d’Harlan Ellison (A drift just off ilots de Langerhans).
Contrairement au coutume liée au film de loup-garou, dans The Wolf Man, on ne voit jamais la pleine lune.
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêts différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema continue son voyage vers les pays d’Asie et fait son deuxième arrêt au Japon.
Gerald’s Game c’est l’histoire d’un jeu malsain qui dure depuis trop longtemps. C’est l’histoire d’une maison de vacances trop isolée, c’est l’histoire d’un imprévu qui va tout bouleverser. C’est tout simplement l’histoire d’une femme seule menottée à un lit.
Jessie c’est une descente aux enfers à petit feu, c’est le début d’une folie qui s’installe quand on se retrouve seul et immobile face à un mur. C’est un cauchemar trop réel. Ce sont des pensées qui s’installent et des souvenirs (trop bien cachés) qui remontent petit à petit à la surface tel un vaisseau fantôme qui sort des abysses. C’est un suspense qui s’installe petit à petit et une folie qui grandit d’heure en heure, de minutes en minutes, de secondes en secondes.
Carla Gugino excelle dans ce rôle et nous offre une prestation intense remplie de détresse digne d’une lady hitchcockienne. Aidé par le rythme prenant d’un suspense qui s’installe et d’une réalisation qui laisse éclore l’horreur dans les recoins les plus sombres d’une chambre.
Certains trouveront le film beaucoup trop lent et partiront en cours de route, loupant un final mystérieux et intriguant qui offre matière à la réflexion.
Gerald’s Game est surement l’une des meilleures adaptations à ce jour du grand Stephen King. C’est un film prenant rempli d’intensité qui offre quelques moments de frayeurs.
Pour moi, les jeux vidéos et le cinéma sont deux chemins parallèles qui parfois se croisent à l’improviste à cause d’une anomalie pour créer de grandes choses ou détruire beaucoup de choses. Le Bruit du Cinema se plonge aujourd’hui dans ces deux univers finalement pas si différents.
Quand le WTF rencontre le cinéma, on peut tomber très souvent sur des petites pépites improbables, des histoires loufoques, des chefs-d’œuvre et beaucoup de raté. Après « La scène WTF« , Le Bruit du Cinema ouvre un nouveau dossier « La séance WTF » découvrons ensemble 5 films à l’histoire WTF.
Quand le zombie se transforme en infecté dans le monde du cinéma, il ne fait pas que peur, il peut faire rire et même parfois toucher nos petits coeurs de guimauve tout coulant d’amour. Le Bruit du Cinema réouvre son dossier spécial zombie, pour crier son amour aux morts-vivants et infectés qui peuplent le monde du cinéma. Découvrons ensemble les pépites cachées, redécouvrons ensemble les grands classiques du genre, partageons ensemble une nouvelle vision de cette entité propre au monde de l’horreur.
Dave, musicien raté, égoïste et irresponsable, tombe sous le charme de l’institutrice de son neveu, Miss Caroline. Il se porte volontaire pour accompagner la classe lors d’une sortie éducative dans une ferme voisine. Non loin de là, un virus s’échappe d’un camp militaire et une épidémie de Zombies prolifère.
La pensée du Bruit du Cinema
Little Monsters est un film léger qui mélange gore et humour avec délicatesse pour un moment très savoureux.
La Terre est infestée de zombies. Columbus, jeune homme très prudent, et Tallahassee, un véritable tueur de zombie, vont faire équipe pour survivre.
La pensée du Bruit du Cinema
Ruben Fleischer réinvente la comédie d’horreur avec intelligence et humour dans un road movie qui foisonne d’idées folles, de gags « sanglants » et de situations farfelues. Et puis, Bill Fucking Murray!
Le chaos règne partout dans le pays, depuis la Maison Blanche jusqu’aux petites villes les plus reculées. Nos quatre tueurs doivent désormais affronter une nouvelle race de zombies, qui ont évolué en dix ans.
La pensée du Bruit du Cinema
Zombieland Double Tap est un film paresseux qui ne se prend pas au sérieux et qui se contente de piocher dans le vieux pour essayer de faire du neuf. Une suite dispensable.
Réalisé par: Andrew Currie Année: 2006 Durée: 1h33min Genre: Comédie, Horreur Note: 4/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Il y a bien longtemps, la Terre traversa un nuage stellaire de poussière radioactive qui sema le chaos sur notre planète en déclenchant un effroyable appétit de chair humaine. La terreur dura jusqu’à ce que la toute-puissante compagnie ZomCon mette au point un collier qui domestique littéralement les zombies. Devenues jardiniers, livreurs de lait ou même véritables animaux de compagnie, ces créatures sont désormais partout, sous le parfait contrôle de leur collier, dans un monde réglé comme du papier à musique.
La pensée du Bruit du Cinema
Fido est une petite satire politique amusante et assez intelligente qui malgré un rythme parfois assez mou, arrive à divertir.
Réalisé par: Jonathan Levine Année: 2013 Durée: 1h38min Genre: Romance, Comédie Note: 1/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Depuis la catastrophe qui a frappé l’humanité, R est un zombie comme les autres. Enfin, presque, car le jeune homme pense beaucoup, et sa rencontre avec la ravissante Julie, toujours vivante, elle, bouleverse sa vie.
La pensée du Bruit du Cinema
Warm Bodies est un échec qui aurait pu être divertissant si la surprise avait été au rendez-vous.
La catastrophe dans le monde du cinéma se réinvite sur Le Bruit du Cinema, qu’elle détruise la terre où les hommes, qu’elle relate un futur proche où lointain, qu’elle fasse peur où qu’elle fascine, la catastrophe au cinéma n’a pas fini de frapper, revoyons ensemble rapidement les grandes catégories du genre avant de faire un petit tour d’horizon de cinq films qui ont marqué le genre ou presque… Nous avons donc :
La catastrophe naturelle
Elle arrive sans prévenir, la catastrophe naturelle est l’effet d’un évènement naturel plus ou moins violent (éruption volcanique, tsunami, astéroïde…) qui arrive sans prévenir.
La catastrophe sanitaire
Elle touche généralement un continent où le monde entier, la catastrophe sanitaire affecte la santé et augmente par la suite le facteur de mortalité, elle peut créer des créatures voraces (les infectés) ou bien entraîner des mutations physiques ou génétiques.
La catastrophe nucléaire
Guerre nucléaire, explosion nucléaire, apocalypse nucléaire, la catastrophe nucléaire peut prendre bien des noms, mais se résume généralement par une ou plusieurs explosions de bombe atomique.
La catastrophe sociale
Elle arrive généralement après une guerre, après la disparition d’une denrée importante ou encore après la montée au pouvoir d’une dictature.
La catastrophe humaine
Elle arrive généralement après une erreur humaine, une petite erreur peut provoquer une réaction en chaîne qui deviendra une énorme catastrophe.
La catastrophe extraterrestre
Elle est souvent due à l’arrivée de nos amis les petits hommes gris ou par la découverte de l’espace.
La catastrophe robotique
Elle est généralement liée à l’intelligence artificielle, la catastrophe robotique, c’est tout simplement la machine qui prend le dessus sur l’homme.
La catastrophe zombie
Les morts reviennent à la vie, l’humanité est foutue.
Réalisé par: Ron Underwood Année: 1990 Durée: 1h36min Genre: Comédie, Horreur Note: 3/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Perfection, un village perdu dans le désert du Nevada. Val et Earl, deux amis inséparables, rencontrent Rhonda LeBeck, une jeune sismologue, qui effectue un stage dans la région. Rhonda prétend que ses appareils ont enregistré des variations inexplicables. Quelque temps plus tard, Val et Earl retrouvent le corps sans vie de Fred, le ferrailleur du village. Les évènements tragiques se succèdent. Plusieurs habitants sont attaqués par de mystérieuses créatures. Tout semble indiquer que celles-ci se dirigent droit sur le village.
La pensée du Bruit du Cinema
Tremors est un film simple et efficace qui amuse le temps d’un instant.
Primatologue de profession, David Okoye a plus de mal à nouer des liens avec ses semblables qu’avec les singes. Pas étonnant qu’il se soit pris d’affection pour George, adorable gorille d’une intelligence hors du commun, dont il s’occupe depuis sa naissance. Mais suite à une expérience génétique catastrophique, George se métamorphose en monstre incontrôlable.
La pensée du Bruit du Cinema
Rampage est un film de « monstre » sans rythme qui brasse du vent en enchainant les mauvaises blagues et les scènes d’action sans importance.
Réalisé par: Roland Emmerich Année: 1998 Durée: 2h19min Genre: Science-Fiction, Action Note: 6/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une série de désastres mystérieux pointent vers l’existence d’une créature radioactive gigantesque se dirigeant vers Manhattan, il faut alors l’arrêter.
La pensée du Bruit du Cinema
Godzilla est un bon divertissement qui regorge de scènes mémorables pour toute une génération.
Réalisé par: Jon Turteltaub Année: 2018 Durée: 1h53min Genre: Action, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Missionné par un programme international d’observation de la vie sous-marine, un submersible a été attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue. Sérieusement endommagé, il gît désormais dans une fosse, au plus profond de l’océan Pacifique, où son équipage est pris au piège. Il n’y a plus de temps à perdre : Jonas Taylor, sauveteur-plongeur expert des fonds marins, est engagé par un océanographe chinois particulièrement visionnaire, contre l’avis de sa fille Suyin.
La pensée du Bruit du Cinema
The Meg est un film fade qui nous conte l’éternelle histoire du requin tueur.
Réalisé par: Anthony C. Ferrante Année: 2013 Durée: 1h26min Genre: Action, Comédie, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une tornade, des requins, une catastrophe…
La pensée du Bruit du Cinema
Le nanar ultime du début des années 2010. Grotesque et kitsch, Sharknado assume et ça marche presque…
Réalisé par: Neil Marshall Année: 2005 Durée: 1h39min Genre: Horreur, Suspense Note: 8/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour. Alors qu’elles tentent de trouver une autre issue, elles réalisent qu’elles ne sont pas seules.
Le huis clos dans les grottes souterraines
Neil Marshall associe horreur et psychologie pour nous offrir un huis clos devenu incontournable avec le temps. The Descent est un film qui fonctionne bien grâce à une maitrise quasi-parfaite de l’espace de ces grottes souterraines à la fois terrifiante et passionnante ainsi qu’un bon twist final.
Réalisé par: Alexandre Aja Année: 2019 Durée: 1h27min Genre: Horreur, Suspense Note: 1/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Quand un violent ouragan s’abat sur sa ville natale de Floride, Hayley ignore les ordres d’évacuation pour partir à la recherche de son père porté disparu. Elle le retrouve grièvement blessé dans le sous-sol de la maison familiale et réalise qu’ils sont tous les deux menacés par une inondation progressant à une vitesse inquiétante.
Le huis clos, l’ouragan et la maison de famille
Crawl essaye de renouer avec le survival en huis clos malheureusement Aja passe totalement à côté des choses et offre une coquille vide aux spectateurs, digne d’une production de série B. Si vous voulez voir du crocodile tueur, regarder Crocodile de Tobe Hooper.
Nancy surfe en solitaire sur une plage isolée lorsqu’elle est attaquée par un grand requin blanc. Elle se réfugie sur un rocher, hors de portée du squale. Elle a moins de 200 mètres à parcourir à la nage pour être sauvée, mais regagner la terre ferme sera le plus mortel des combats…
Le huis clos sur un rocher
The Shallows est un huis clos aquatique raté qui enchaîne les incohérences, les moments de plats et l’image préhistorique du requin tueur. Si vous voulez voir un requin tueur, retourner aux sources et regarder Les dents de la mer.
Réalisé par: Chris Kentis Année: 2003 Durée: 1h19min Genre: Drame, Suspense Note: 8/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Susan et Daniel sont venus aux Bahamas pour se détendre, et ils en ont bien besoin. Adeptes de la plongée, ils s’inscrivent pour une sortie sur la barrière de corail. Parce que le bateau est trop plein, parce que l’équipage ne fait pas vraiment attention, ils se retrouvent seuls, perdus au large, dans des eaux infestées de requins…
Le huis clos au milieu de l’océan
Open Water est un huis clos psychologique dans les eaux profondes d’un océan sans pitié. Ce film est un petit chef-d’oeuvre redoutable qui jouera avec malice sur vos nerfs et laissera dans vos esprits un souvenir particulier.
Réalisé par: Johannes Roberts Année: 2017 Durée: 1h29min Genre: Drame, Suspense Note: 3/10 Achat-Location: VOD
De quoi ça parle ?
Une expédition d’observation des requins tourne au cauchemar. Deux sœurs se retrouvent bloquées au fond de l’océan dans une cage d’observation. Lorsque le câble de la cage se brise, le manque d’oxygène les guette, de même que des grands requins blancs, attirés par le sang.
Le huis clos au fond de l’océan
47 Meters Down est un huis clos dans les profondeurs de l’océan, sans réel suspense, qui utilise tous les clichés du film de requin sans jamais lui donner de la nouveauté. Heureusement, le film a pour lui un twist final qui fonctionne assez bien.
L’armée des morts c’est l’histoire d’une infection, c’est l’histoire d’un cauchemar irréel, c’est l’histoire d’une survie, c’est l’histoire d’un matin où le monde bascule dans le cauchemar.
Avec Dawn of the dead, Snyder réactualise l’histoire du grand George A. Romero, remettant au goût du jour les zombies en les transformant en infectés. Le réalisateur invent une nouvelle dimension à l’ambiance glaciale où les goules ne sont là que pour enfermer en huis clos, un groupe de survivants aux idées et aux caractères bien différents. Synder emporte grâce à ça, le chaos extérieur à l’intérieur du centre commercial généralisant grâce à ce lieu un chaos mondial. Il montre comme avait pu le montrer le grand Romero que l’ennemi en période de crise peut ressembler à monsieur tout le monde.
Les goules arrivent par groupe ou en solo marquant l’esprit du spectateur et le recentrant dans l’histoire, elles rappellent les dangers du monde extérieur aux spectateurs et aux groupes de survivants.
Ving Rhames emporte le spectateur dans la nostalgie en jouant le flic bad ass dans la zenitude qui enchaîne avec simplicité des répliques cultes que tous les amoureux du genre retiendront, donnant un peu de vie à un casting parfois un peu fade. Michael Kelly quant à lui prouve que derrière le plus gros des connards peut se cacher un homme au grand coeur, une idée sympa qui donne elle aussi un peu plus de volume au reste du casting.
Zack Snyder respecte les codes du genre et évite avec intelligence le piège de l’éternelle et lassant copier/coller. Entre action, humour cynique, panique psychologique et dézingage de zombie, Snyder nous offre un beau spectacle en prouvant que le remake est un art peu accessible.
Après le retour en 2018 du légendaire Michael Myers, c’est le Ghostface qui fait son retour au cinéma! Le tueur ne sera pas seul à faire son retour, la belle Neve Campbell et David Arquette font eux aussi leur retour dans la saga. Scream 5 s’annonce comme une suite et non un reboot… Affaire à suivre…
Même si le confinement est fini, on ne se lassera pas des conseils des réalisateurs qui sont encore en confinement, ce mois-ci c’est Wes Anderson qui nous offre une liste de films à regarder en cette période difficile.
Désirs secrets (1935) de George Stevens
Plus fort que le diable (1954) de John Huston
La joyeuse suicidée (1937) de William A. Wellman
Do the right thing (1989) de Spike Lee
Les hommes de la mer (1940) de John Ford
Les amants crucifiés (1954) de Kenji Mizoguchi
La grande bouffe (1973) de Marco Ferreri
Les amants passionnés (1949) de David Lean
La blonde de la station 6 (1962) de Seth Holt
What Price Hollywood? (1932) de George Cukor
Qui a tué la président? (1979) de William Richert
D’après « l’étude » de Buzz Bingo qui a analysé 3500 films, Jonah Hill serait l’acteur qui a dit le plus de gros mots dans ses films, 715 au total, en seconde position on retrouverait Adam Sandler avec 646 gros mots.
Et sa continue, encore et encore… Disney pioche une nouvelle fois dans ses dessins animés pour créer un nouveau film en live action. Cette fois-ci, le studio s’attaque à Hercule et c’est les frères Russo qui en seront les producteurs, les deux frères assurent que ce remake ne sera pas un copier/coller du dessin animé mais que les chansons originales feront certainement parties du film…
Ce mois-ci, on souhaite un joyeux anniversaire à :
Crash qui a eu 15 ans, Friday The 13th a eu 40 ans, Monty Python and the holy grail a eu 45 ans, Star Wars: The Phantom Menace a eu 21 ans, Star Wars: Attack of the Clones a eu 18 ans, Star Wars: Revenge of the Sith a eu 15 ans, Star Wars: The Empire Strikes Back a eu 40 ans, Road House a eu 31 ans, Die Hard 3 a eu 25 ans, The Shining a eu 40 ans, MacGruber fête ses 10 ans, Pac Man fête ses 40 ans, Retour vers le futur III a eu 30 ans, Braveheart et Casper ont eu 25 ans, Mission Impossible II et Shanghai Noon ont eu 20 ans et Johnny Mnemomic a fêté ses 25 ans.
Space Jam: A New Legacy sortie en 2021 – Spiral sortie le 11 mai 2021 – John Wick 4 sortie le 27 mai 2022 – Kaamelott sortie en novembre 2020 – The Kissing Booth 2 sortie le 24 juillet 2020 – Avatar 2 sortie le 17 décembre 2021 – Avatar 3 sortie le 22 décembre 2023 – Avatar 4 sortie le 19 décembre 2025 – Avatar 5 sortie le 17 décembre 2027 – Umbrella Academy saison 2 sortie le 31 juillet 2020 – Dark sortie le 27 juin 2020 – Last Night in Soho sortie le 23 avril 2021.
L’exorcisme d’Hannah Grace (2018) 1/10 – Bloodshot (2020) 0,5/10 – Qu’est-ce qui cloche chez la secrétaire Kim? (2018) 6/10 – Do Bong Soon, une force de la nature (2017) 7/10 – Rendez-vous chez les Malawas (2019) 4/10 – L’amour direct (2017) 6/10 – Le fils de Batman (2014) 5/10 – Batman: Return of the caped crusaders (2016) 1/10.
On a tous eu un jour le déplaisir de découvrir l’arrêt brutal d’une série qui avait réussi à nous faire vibrer. Arrêter brutalement faute d’audience, tuer dans l’oeuf parce qu’elle était jugée non rentable. Aujourd’hui sur Le Bruit du Cinema, on va revenir ensemble sur cinq séries qui auraient du ou auraient pu continuer et qui nous laisse un goût amer en bouche.
4 personnes se retrouvent mystérieusement en possession du manuscrit d’une bande dessinée particulière, leurs vies vont alors basculer.
En bref…
Utopia vous perdra, vous fera aimer le pire et détester le meilleur, vous questionnera, vous laissera dans le brouillard une question en tête « Where is Jessica Hyde? ». Utopia est un petit chef-d’oeuvre qui baigne dans la paranoïa et le rocambolesque, le tout enrobé de couleur vive à vous en faire sauter la rétine.
Londres, 1891, une jeune femme aux pouvoirs puissants, un explorateur et un bandit américain, s’unissent pour lutter contre des menaces surnaturelles.
En bref…
Penny Dreadful est une série qui parle de la nature humaine, de la croyance et de la beauté dans toutes ses formes, une petite pépite aussi inattendue que passionnante.
La relation étrange entre le célèbre psychiatre Hannibal Lecter et l’un de ses patients, un jeune profiler du FBI nommé Will Graham, torturé par sa fascination dévorante pour les serial killers…
En bref…
Hannibal est une réflexion sur l’homme et ce qui peut le pousser à commettre des meurtres effroyables, c’est une série envoutante et dérangeante qui marque les esprits.
Huit individus éparpillés aux quatre coins du monde sont connectés par une soudaine et violente vision. Désormais liés, ils se retrouvent capables du jour au lendemain de se voir, de se sentir, de s’entendre et de se parler comme s’ils étaient au même endroit, et ainsi accéder aux plus sombres secrets des uns et des autres.
En bref…
Sense8 est une série humaine qui sort visuellement et narrativement des sentiers battus, en réalisant l’impossible. Sense8 est une belle déclaration d’amour à l’humanité.