Les années 90 font leur cinéma

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Les années 90 font leur cinéma une nouvelle fois et cette fois-ci, on va parler épouvante, dans les années 90 le cinéma d’horreur a vu passer quelques petites pépites qui ont réussi à renouveler le genre en lui donnant un nouveau souffle, petite vue d’ensemble sur ce qu’était l’horreur en 90.


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Réalisé par: Bernard Rose   Année: 1992   Durée: 1h39min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

Helen Lyle est étudiante à l’université d’Illinois à Chicago et mariée à un professeur, Trevor. Avec son amie Bernadette, elles rédigent une thèse sur les légendes urbaines et les croyances populaires. Au cours de ses investigations, elle est interpellée par une histoire récurrente, celle du mythique Candyman. Helen sentant qu’elle tient là l’occasion rêvée de pimenter son travail, convainc Bernadette d’aller enquêter sur les lieux mêmes des crimes.

En bref…

Candyman est un conte urbain presque parfait qui malgré quelques petites imperfections fait mouche dans le monde de l’horreur en 1992. Bernard Rose réalise une sympathique réflexion sur les mythes, leurs progressions et leurs renouvellements à travers le temps.

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Réalisé par: Daniel Myrick & Eduardo Sanchez   Année: 1999   Durée: 1h21min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

En octobre 1994, trois jeunes cineastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d’un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête.

En bref…

The Blair Witch Project, c’est la petite bombe qui est venu chambouler la fin des années 90, c’est une petite pépite d’horreur qui aura compris que ce n’est pas ce qu’on voit, mais ce qu’on croit voir qui éveil nos peurs.

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Réalisé par: Wes Craven   Année: 1996   Durée: 1h51min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

Terrorisée par un serial killer s’inspirant des plus grands films d’horreur pour exécuter ses crimes, une petite ville devient le terrain d’une vaste enquête où tout le monde est suspect… Qui se cache derrière le « masque de mort » ?

En bref…

Wes Craven renouvelle une nouvelle fois le genre en réinventant le tueur en série, il brise la frontière entre le réel et l’irréel pour notre plus grand plaisir.

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Réalisé par: Tommy Lee Wallace   Année: 1990   Durée: 3h12min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

Une créature sans nom, Ça, répand la terreur et la mort dans la petite ville de Derry. Jusqu’à ce qu’une bande d’enfants mette fin aux agissements du monstre. Trente plus tard, les sept amis se réunissent à Derry : Ça est revenu…

En bref…

IT rend hommage au film de monstre des années 50 et marque les esprits et le monde de l’horreur avec brio, grâce à une adaptation réussie du roman du grand maître de l’horreur Stephen King et au talentueux Tim Curry. Une petite pépite comme on en fait plus.

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Réalisé par: Jim Gillespie   Année: 1997   Durée: 1h41min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

La nuit de la fête nationale, Julie, Helen, Ray et Barry ont par accident renversé un inconnu. Devant la crainte de leur avenir compromis par ce drame, ils décident de faire disparaître le corps et font le serment de ne rien dire à personne, jamais. L’été suivant, chacun des quatre amis se trouve confronté à des évènements terrifiants. Ils doivent se rendre à l’évidence : quelqu’un sait ce qu’ils ont fait et semble bien décidé à le leur faire payer.

En bref…

Souviens-toi l’été dernier est un slasher culte des années 90 qui a su se démarquer grâce à une histoire assez intéressante et un casting sympathique malheureusement le film n’a pas survécu à l’épreuve du temps, c’est bien dommage…

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Réalisé par: Vincenzo Natali   Année: 1997   Durée: 1h30min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

Un groupe de personnes, sans savoir pourquoi, se retrouve enfermé dans une prison surréaliste, un labyrinthe sans fin constitué de pièces cubiques communicantes et équipées de pièges mortels.

En bref…

Cube est un coup d’essai réussi malgré quelques imperfections parfois un peu trop voyantes, le film aura marqué toute une génération grâce à son originalité et sa mise en scène réussie.

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Réalisé par: Robert Rodriguez   Année: 1996   Durée: 1h48min   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

Deux criminels prennent une famille en otage près de la frontière mexicaine, après une cavale particulièrement sanglante durant laquelle ils ont tué un policier et kidnappé l’employée d’un magasin. Ils se rendent tous ensemble dans un bar pour routier au-delà de la frontière mexicaine, appelé le « Titty Twister », établissement qui leur réserve pas mal de surprises une fois la nuit tombée…

En bref…

Un film culte ou l’univers de Tarantino et celui de Rodriguez se mélangent pour créer un film explosif  complètement fou qui marquera les années 90.

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Calendrier d’Halloween: 15 octobre

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Hiya, Georgie! Aren’t you gonna say hello?

Réalisé par: Tommy Lee Wallace

Année: 1990

Une créature sans nom répand la terreur et la mort dans la ville de Derry, jusqu’à ce qu’une bande d’enfants mette fin aux agissements du monstre.

La première adaptation du best-seller de Stephen King est une réussite qui rend hommage aux films de monstres des années 50 et qui deviendra au fil des années un classique de l’horreur.

BEEP BEEP Richie! They all float down here. When you’re down here with us, you’ll float too.

Adaptation oblige, le scénario a dû raccourcir, reconstruire, mixé et même inventé des situations pour pouvoir fonctionner sur une durée limitée. Grâce à un casting réussi et un bon scénario, le film rendra justice au livre, malgré tous les changements qui ont été opérés, que ce soit la forme ou l’esprit tout est présent pour rendre hommage et créer un film réussi.

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Le saviez-vous ?

  • Dans le film on peut voir deux clin d’oeil à Stephen King, le premier, le titre du roman de Bill « The Glowing » référence au culte « The Shining », le second, le nom du gardien de l’asile « Koonz » référence au nom du grand rival du maître de l’horreur, « Dean R. Koontz »
  • On doit le style du clown à la volonté de Tim Curry à ne pas mettre de prothèse, il avait joué le démon Darkness dans Legend et ne supportait plus les prothèses.
  • Pour le casting, le réalisateur a d’abord choisi les adultes afin de pouvoir sélectionner des enfants en fonction d’eux.

I’m every nightmare you’ve ever had. I’m your worst dream come true. I’m everything you ever were afraid of.

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IT – 1990

 

IT

Réalisé par: Tommy Lee Wallace

Année: 1990

Durée: 3h12min

Note: 8/10

Achat: Amazon, Fnac, VOD


Stephen King aura mis 4 ans  de travail acharné pour écrire le roman « Ça », la structure du roman est assez atypique, elle mêle présent et passé, virevoltant entre souvenirs et anecdotes. L’auteur utilise son histoire de clown tueur d’enfants pour parler de racisme, d’homophobie mais aussi des violences faites aux femmes, son récit révèle au-delà du côté fantastique une histoire très humaine.

Adaptation oblige, le scénario a dû raccourcir, reconstruire, mixé et même inventé des situations pour pouvoir fonctionner sur une durée limitée. Grâce à un casting réussi et un bon scénario, le film rendra justice au livre, malgré tous les changements qui ont été opérés, que ce soit la forme ou l’esprit tout est présent pour rendre hommage et créer un film réussi.

Tim Curry est le choix, le plus pertinent du réalisateur, l’acteur est parfait pour interpréter le rôle de cette entité démoniaque, grâce des talents de mime et un visage très expressifs, pas besoin de prothèses pour créer un clown attirant mais aussi tellement terrifiant.

La première adaptation du best-seller de Stephen King est une réussite qui rend hommage aux films de monstres des années 50 et qui deviendra au fil des années un classique de l’horreur.

Voir aussi: Dossier: Les oeuvres de Stephen King au cinéma et à la télévision

 

Calendrier de l’avent: 6 décembre

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Le cinq décembre, on s’offusque avec un père Noël qui sort un peu des rangs pour le meilleur et pour le pire.

  • Bad Santa de Terry Zwigoff

Note: 6/10

Chaque année, en décembre, Willie incarne le Père Noël dans un grand magasin. Alcoolique, fumant comme un pompier et dragueur invétéré, il a de plus en plus de mal à tenir ce rôle. Mais il continue de faire illusion, car, sous son habit rouge mal ajusté, il cache une panoplie de perceur de coffres. Et la nuit de Noël, le cambriolage du grand magasin l’attend.

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