Les années 2000 font leur cinéma

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Le teen movie est un film qui montre la vie quotidienne de pré-adolescent, adolescent ou jeune adulte qui se retrouvent confrontés aux regards des autres ou au monde des adultes. Entre découverte de soi et découverte de la sexualité, le teen movie soulève beaucoup de thématiques intéressantes qui se révèlent véridiques assez souvent. Les années 90 étaient l’âge d’or du genre, les années 2000 auront tous mis en oeuvre pour le réinventer, nous offrant parfois quelques petites pépites qui méritent le coup d’oeil. Petit tour d’horizon du teen movie dans les années 2000 à 2009.


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Réalisé par: Terry Swigoff   Année: 2001   Durée: 1h51min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Enid Coleslaw et Rebecca Doppelmeyer, sa meilleure amie, n’ont jamais vraiment eu d’affinités avec les autres lycéens, qu’elles trouvent bêtes et immatures. La fin de l’année approche et c’est avec un grand soulagement qu’elles vont laisser derrière elles tous ces losers. Elles décident d’habiter ensemble et de vivre sans règles, ni contraintes.Cependant, Enid échoue à ses examens terminaux et doit suivre des cours d’été pour obtenir son diplôme. Elle va alors se lier d’amitié avec Seymour, un adulte qu’elle trouve original et séduisant.

En bref…

Ghost World est un film qui parle avec ambition du destin de chacun et du passage de l’adolescence à l’âge adulte. Une chronique d’un âge ordinaire qui réserve de belles surprises.

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Réalisé par: Blair Hayes   Année: 2001   Durée: 1h24min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Jimmy Livingston est un jeune homme pas comme les autres. Né avec un système immunitaire défaillant, il est obligé de vivre confiné dans une bulle aseptisée qui le protège du monde extérieur. Quand il apprend que Chloé, son amie d’enfance, dont il est amoureux, s’apprête à se marier aux chutes du Niagara, il décide de sortir de son univers cloisonné.

En bref…

Bubble Boy est un teen movie qui parle avec justesse de l’éveil amoureux et sexuel chez les adolescents, le tout emporté avec rythme par une bande-son rock qui donne du punch à ce road movie plein de bons sentiments.

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Réalisé par: Roger Avary   Année: 2002   Durée: 1h50min   Note: 8/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Au Camden College, l’essentiel de la vie des étudiants ne se déroule pas pendant les cours. Dans cet univers de fêtes et de débauche, Lauren Hynde est sublime, mais elle n’en abuse pas encore. Elle est trop occupée à chercher sa place dans ce monde libertaire, qui obéit tout entier aux lois de l’attraction…

En bref…

Les lois de l’attraction est un tableau universel d’une jeunesse perdu et déconnecté, en quête de réponse sur ce « mal » que peut-être l’adolescence. Roger Avary réussit une relecture personnelle de Bret Easton Ellis et réalise un grand film sur l’adolescence.

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Réalisé par: Joel Gallen   Année: 2001   Durée: 1h29min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Jake, la star du collège, a parié avec ses potes qu’il parviendrait à dénicher la fille la plus tarte et à en faire la reine du bal de fin d’année. Il jette son dévolu sur Janey Briggs. La saison s’annonce saignante…

En bref…

Parodie des plus grands teen movie, Sex Academy est un pur moment de plaisir qui pourrait être un véritable Bingo pour tous les amoureux du genre.

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Réalisé par: Mark Waters   Année: 2004   Durée: 1h37min   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Cady est invitée à rejoindre la bande des filles populaires pour qui seule la mode compte. D’abord réticente, elle va ensuite se prêter au jeu.

En bref…

Lolita malgré moi est un teen movie par excellence du début des années 2000. Une petite pépite drôle et intelligente, pleine d’ambition qui dissèque à merveille le monde impitoyable du lycée.

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Réalisé par: Robert Luketic   Année: 2001   Durée: 1h36min   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Elle Woods est une blonde pimpante et très amoureuse de son petit ami. Mais, les ambitions politiques de ce dernier s’accommodent mal d’une compagne blonde.

En bref…

La revanche d’une blonde est une satire sociale qui se joue avec malice du cliché de la blonde. Un teen movie sympathique qu’on prend plaisir à regarder.

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Réalisé par: Jason Reitman   Année: 2007   Durée: 1h36min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Juno McGuff tombe enceinte à 16 ans avec Bleeker, un ami du lycée. Courageusement, elle cherche alors des parents adoptifs pour s’occuper de son bébé.

En bref…

Juno est un hymne à l’adolescence, vif et intelligent, riche en talent et en originalité qui marque les esprits.

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Réalisé par: James Wong   Année: 2000   Durée: 1h38min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Pour le petit groupe d’étudiants, le voyage à Paris s’annonçait bien. Mais peu avant le décollage de leur avion, Alex a soudain une vision fulgurante : l’appareil va exploser en vol. Parce qu’il va tenter d’alerter les passagers, il sera expulsé de l’avion avec cinq de ses camarades et son professeur. Lorsque, quelques minutes plus tard, l’appareil explose, ils seront les seuls survivants…

En bref…

Quand la mort s’attaque à l’adolescence, ça nous donne un petit film honorable qui ne se prend pas trop au sérieux et qui offre suspense et surprise.

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Réalisé par: David McNally   Année: 2000   Durée: 1h40min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Délaissant sa famille pour partir à New York réaliser son rêve de devenir une chanteuse célèbre, Violet passe d’abord d’échecs en désillusions dans cette ville insensible à sa beauté et sa sincérité. Grâce à un coup du sort, elle décroche un job de barmaid dans un bar aussi original que réputé et torride : le Coyote Girls Café…

En bref…

Coyote Girls est un film qui a du charme malgré un scénario peu original. Musique, rêve et fortune sont au rendez-vous pour un moment sympa.

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Réalisé par: Peyton Reed   Année: 2000   Durée: 1h38min   Note: 5/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Craquantes, débordantes d’énergie, les pom-pom girls sont les stars de leur université. Elles rendent les garçons fous et les autres filles jalouses. A force de prouesses et de charme, elles mettent les stades en transe.

En bref…

American Girls est un teen movie potache qui renoue avec le genre des années 90, un petit film potache qui pétille de joie sans se prendre la tête.

You know the part in scary movie when somebody does something really stupid, and everybody hates them for it_ This is it

Agence de voyage Le Bruit du Cinema

agence de voyage

L’agence de voyage Le Bruit du Cinema réouvre ses portes et vous propose de nouveau un petit road trip sur les routes mythique de l’Amérique, au programme de la cuisine, de la romance, de l’action et un peu de folie.


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Réalisé par: Cameron Crowe   Année: 2005   Durée: 2h3min   Genre: Romance         Note: 8/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Sa carrière professionnelle ruinée, Drew Baylor se rend à Elizabethtown pour les funérailles de son père. Il va rencontrer Claire qui va lui changer la vie.

Mes amis, je dois m’en aller, je n’ai plus qu’à jeter mes clés
Car elle m’attend depuis que je suis né, l’Amérique

Rencontre à Elizabethtown est un film juste et touchant écrit avec talent, qui malgré une fin un peu brouillonne, vous fera passé un bon moment le temps d’un road trip.

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Réalisé par: Jon Favreau   Année: 2014   Durée: 1h54min   Genre: Comédie   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Un homme perd son emploi de chef et décide de se partir une cantine mobile pour retrouver son côté artistique et reconquérir sa famille.

J’abandonne sur mon chemin tant de choses que j’aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin, l’Amérique

#Chef est un road movie gourmand qui explore avec réflexion les rapports père/fils. C’est un feel-good movie sympathique qui vous donnera faim.

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Réalisé par: Tim Burton   Année: 1985   Durée: 1h31min   Genre: Comédie   Note: 4/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Pee Wee, un adulte qui ressemble à un enfant, s’apprête à passer une belle journée avec l’amour de sa vie : sa bicyclette. Mais cet objet vient d’être volé par le méchant Francis. Pee Wee part à la recherche de son amour perdu et nous entraîne dans des aventures de plus en plus burlesques.

L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai
L’Amérique, l’Amérique, si c’est un rêve, je le saurai

Pee Wee est un film burlesque parfois drôle, parfois malsain qui nous fait traverser l’Amérique à la recherche d’une bicyclette. Du grand n’importe quoi qui donne malheureusement très vite mal à la tête.

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Réalisé par: Beeban Kidron   Année: 1995   Durée: 1h49min   Genre: Comédie, Drame   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Trois drags queens en quête de gloire hollywoodienne tombent en panne et se retrouvent coincées pour le weekend dans un petit village perdu des États-Unis.

Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M’ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado, de l’Amérique

Extravagances est une comédie rafraichissante à l’histoire convenue qui vous divertira grâce à un casting inattendu rempli de talents.

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Réalisé par: Kar-wai Wong   Année: 2007   Durée: 1h35min   Genre: Romance          Note: 9/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Après une rupture douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l’Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami tout en cherchant de quoi panser son coeur brisé.

Mes amis, je vous dis adieu, je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n’ai dans les yeux que l’Amérique

Wong Kar-Wai s’impose une vraie révolution et prouve son art pour la narration, grâce à cette petite pépite qui enchante et séduit, multipliant avec brio les trouvailles visuelles dans une troublante lumière artificielle et les moments d’émotions prévisibles mais convenues.

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Je reviendrai je ne sais pas quand, cousu d’or et brodé d’argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu’avant de l’Amérique
L’Amérique,

 

Feel-Good Movie Time

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Un petit peu de bonheur en ces temps difficiles, Le Bruit du Cinema ouvre un nouveau dossier, celui de feelgood movie! Au cours des semaines à venir, j’essayerais de vous présenter des petites listes de films qui vont vous changer les idées, vous faire rire, vous faire oublier que vous ne pouvez pas sortir. En attendant la fin de cette crise, plongeons-nous dans le cinéma.


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Réalisé par: Joel Coen & Ethan Coen   Année: 2000   Durée: 1h47min   Genre: Comédie  Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Dans le Mississippi profond, pendant la Grande Depression. Trois prisonniers enchainés s’évadent du bagne : Ulysses Everett McGill, le gentil et simple Delmar et l’éternel râleur Pete. Ils tentent l’aventure de leur vie pour retrouver leur liberté et leur maison. N’ayant rien à perdre et unis par leurs chaînes, ils entreprennent un voyage semé d’embuches et riche en personnages hauts en couleur.

En bref..

O’Brother est une comédie jubilatoire qui conte les aventures surréalistes de trois prisonniers évadés du bagne. Léger et charmant, le film vous entrainera avec humour sur les sentiers de la simplicité.

Une petite mise en bouche!

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Réalisé par: Ben Stiller   Année: 2013   Durée: 1h54min   Genre: Comédie, Fantaisie  Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Walter Mitty est un homme ordinaire, enfermé dans son quotidien, qui n’ose s’évader qu’à travers des rêves à la fois drôles et extravagants. Mais confronté à une difficulté dans sa vie professionnelle, Walter doit trouver le courage de passer à l’action dans le monde réel. Il embarque alors dans un périple incroyable, pour vivre une aventure bien plus riche que tout ce qu’il aurait pu imaginer jusqu’ici.

En bref..

Ben Stiller réalise une ode à l’espoir et au rêve qui vous emporte avec intelligence dans une aventure extraordinaire pleine d’émotion.

Une petite mise en bouche!

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Réalisé par: Gary Winick   Année: 2004   Durée: 1h38min   Genre: Comédie, Romance   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Pour Jenna, avoir 13 ans, c’est l’enfer. Le lendemain de son anniversaire, son voeu se réalise mystérieusement : elle a maintenant 30 ans.

En bref..

30 ans sinon rien est un film plein de fraicheur, drôle et décalé qui donne du peps grâce à une Jennifer Garner pétillante qui capte tous les regards.

Une petite mise en bouche!

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little miss sunshine

Réalisé par: Jonathan Dayton & Valerie Faris   Année: 2006   Durée: 1h41min   Genre: Comédie   Note: 9/10   Achat: VOD

De quoi ça parle ?

La famille Hoover part à bord d’un vieux van d’Albuquerque à Redondo Beach en Californie pour le concours de Little Miss Sunshine.

En bref..

Little Miss Sunshine c’est une traversée d’un Amérique toujours en quête de réussite et de perfection, c’est un scénario d’une drôlerie rare écrit de façon délicate, n’oubliant aucun personnage et offrant une belle partition de caractère. C’est un feel-good movie, une réelle bouffée d’air frais pour les moments difficiles.

Une petite mise en bouche!

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5

Réalisé par: Peyton Reed   Année: 2000   Durée: 1h38min   Genre: Comédie   Note: 5/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Craquantes, débordantes d’énergie, les pom-pom girls sont les stars de leur université. Elles rendent les garçons fous et les autres filles jalouses. A force de prouesses et de charme, elles mettent les stades en transe.

En bref..

American Girls est un teen movie potache qui ne se prend pas la tête et renoue avec le teenage movie d’autrefois. Une petite pilule de joie et de rire qui vous fera oublier les aléas du moment le temps d’un instant. Spirit Fingers!!

Une petite mise en bouche!

You know the part in scary movie when somebody does something really stupid, and everybody hates them for it_ This is it

Calendrier Saint-Valentin

calendrier saint valentin


bilan


Réalisé par: Michel Gondry   Année: 2004   Durée: 1h48min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

Joel et Clémentine effacent les souvenirs qu’ils ont de l’autre. Au fur et à mesure que ses souvenirs s’envolent, il redécouvre son amour pour elle.

En bref…

Eternal Sunshine of the Spotless Mind est un constat simple de certains sentiments humains, on y apprend que les malheurs sont aussi précieux que les moments de bonheur, parce qu’à la fin les souvenirs sont tous ce qui nous reste. Le film est une oeuvre sophistiquée qui nous parle de la fin d’un amour et le souvenir des débuts.

Le saviez-vous ?
  • On doit l’idée de départ du film à Pierre Bismuth qui lors d’un diner avec Michel Gondry, quelques années plus tard Gondry mettra en chantier le projet avec Charlie Kaufman. 
  • Avant que Jim Carrey n’obtienne le rôle, c’était Nicolas Cage qui était pressenti pour tenir le rôle vedette.
  • Dans une des scènes quand Mark Ruffalo fait peur à Kristen Dunst, le réalisateur avait demandé à l’acteur de se cacher à un endroit différent à chaque prise pour que la peur de l’actrice soit réelle.
Et pour finir, la mise en bouche..

You know the part in scary movie when somebody does something really stupid, and everybody hates them for it_ This is it

Bilan d’une décennie

Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !


2010, une nouvelle ère

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  1. Blue Valentine (7/10) 2. Inception (8/10) 3. Shutter Island (8/10) 4. We are four lions (7/10) 5. Dragons (7/10) 6. Lullaby for P.I (7/10) 7. Toy Story 3 (7/10) 8. Buried (6/10)  9. Machete (8/10) 10. Raiponce (8/10).
2011, une année prise de conscience

3

  1. God Bless America (8/10) 2. Polisse (8/10) 3. Starbuck (7/10) 4. Like Crazy (8/10) 5. The Prodigies (7/10) 6. Et soudain tout le monde me manque (6/10)  7. Melancholia (6/10) 8. The Art of Flight (9/10) 9. Rango (6/10) 10. Un jour (5/10).
2012, une année qui rassemble

4

  1. Celeste & Jesse Forever (8/10) 2. La cabane dans les bois (7/10) 3. Sinister (6/10) 4. Moonrise Kingdom (7/10) 5. Tucker & Dale vs Evil (7/10) 6. Lawless (8/10) 7. Avengers (8/10) 8. Royal Affair (6/10) 9. The Expendables 2 (7/10) 10. 21 Jump Street (7/10).
2013, une année à pépite

5

  1. Snowpiercer (8/10) 2. Her (8/10) 3. The Conjuring (6/10) 4. The Secret Life of Walter Mitty (7/10) 5. Une belle fin (7/10)  6. Prisoners (6/10) 7. Pop Redemption (6/10) 8. Mama (6/10) 9. Horns (8/10) 10. Le Congrès (6/10).
2014, une année riche en qualité

6

  1. Mommy (8/10) 2. Nightcrawler (8/10) 3. The Lego Movie (7/10) 4. The Voices  (7/10) 5. Bande de filles (6/10) 6. Magic in the Moonlight (7/10) 7. Big Hero 6 (6/10) 8. Minuscule – La vallée des fourmis (6/10) 9. Boyhood (6/10) 10. Avis de mistral (6/10).
2015, une année surprenante

7

  1. Ex_Machina 2. The Road Within (6/10) 3. Mad Max: Fury Road (8/10) 4. Go Away Mr Tumor (6/10) 5. Comment c’est loin (6/10) 6. Le Petit Prince (7/10) 7. N.W.A: Straight Outta Compton (6/10) 8. The Hateful Eight (8/10) 9. Moonwalkers (6/10) 10. Freaks of Nature (7/10).
2016, une année ovni

8

  1. Midnight Special (7/10) 2. Swiss Army Man (7/10) 3. The Witch (6/10) 4. Big Fish & Begonia (8/10) 5. Mr Right (6/10) 6. Deadpool (7/10) 7. Adopte un veuf (6/10) 8. Colossal (7/10) 9. Zootopia (6/10) 10. 10 Cloverfield Lane (6/10).
2017, une année riche en déception

9

  1. Split (6/10) 2. Gerald’s Game (8/10) 3. Mayhem (6/10) 4. Seven Sisters (6/10) 5. The Lego Batman (7/10) 6. L’ascension (6/10) 7. Minhorn (6/10) 8. The Jane Doe Identity (4/10) 9. The Girl With All The Gifts (6/10) 10. The Bad Batch (6/10).
2018, une année peu productive

10

  1. Spiderman: New Generation (9/10) 2. The Shape of Water (7/10) 3. Annihilation (7/10) 4. Le grand bain (6/10) 5. Ready Player One (6/10) 6. Extinction (6/10) 7. Budapest (6/10) 8. Je ne suis pas un homme facile (5/10) 9. Les municipaux, ces héros (5/10) 10. To All the Boys I’v Loved Before (6/10).
2019, la fin d’une ère

2010 (1)

Coming soon…

La claque esthétique

On retient d’un film, son histoire, son réalisateur, son casting et sa mise en scène mais on oublie parfois que l’esthétisme d’un film peut jouer un grand rôle. L’esthétisme d’un film peut parfois chambouler et marquer les esprits. Je vous propose aujourd’hui, un petit tour d’horizons de certaines petites claques esthétiques que j’ai pris en pleine figure depuis que le cinéma est entré dans ma vie.


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Réalisé par: Darren Aronofsky   Année: 2006   Durée: 1h37min   Note: 9/10

De quoi ça parle ?

The Fountain raconte le combat à travers les âges d’un homme pour sauver la femme qu’il aime.

En bref…

Darren Aronofsky réalise une oeuvre qui frôle la perfection remplie d’émotions, aidé d’un casting époustouflant qui transcende cette méditation philosophique sur la mort. The Fountain est un beau voyage initiatique, audacieux et sincère qui vous dévastera ou vous laissera de marbre.

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Réalisé par: Lars Von Trier   Année: 2011   Durée: 2h15min    Note: 6/10

De quoi ça parle ?

À l’occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine et de son beau-frère. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre…

En bref…

Lars Von Trier nous offre une merveille d’esthétisme qui s’épanouit dans l’univers du film catastrophe, il réalise des tableaux bouleversant et envoutant digne d’une grande fin du monde. Entre sublime et cauchemar, il n’y a qu’un pas.

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Réalisé par: Danny Boyle   Année: 2007   Durée: 1h47min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

En cette année 2057, le soleil se meurt, entraînant dans son déclin l’extinction de l’espèce humaine. Le vaisseau spatial Icarus II avec à son bord un équipage de 7 hommes et femmes dirigé par le Capitaine Kaneda est le dernier espoir de l’humanité. Leur mission : faire exploser un engin nucléaire à la surface du soleil pour relancer l’activité solaire…

En bref…

Sunshine est un film d’une beauté rare qui rejoint avec brio le panthéon du film de science-fiction, les visuelles sont éclatants et marquent la rétine, cette odyssée spatiale prouve une nouvelle fois qu’une histoire dans l’espace peut se mélanger à un esthétisme bouleversant. Une belle réussite qui mérite le coup d’oeil.

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Réalisé par: Robert Rodriguez & Frank Miller   Année: 2005   Durée: 2h4min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Sin City est une ville infestée de criminels, de flics ripoux et de femmes fatales. Certains ont soif de vengeance, d’autres recherchent leur salut. Bienvenue à Sin City, la ville du vice et du péché

En bref…

Robert Rodriguez réalise un film d’un nouveau genre, il ouvre une porte encore jamais ouverte, il mélange film noir et bande dessinée pour une symbiose parfaite. sin City est un hommage parfait et brillant l’esthétisme fou.

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Réalisé par: Ben Stiller   Année: 2013   Durée: 1h54min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

Walter Mitty est un homme ordinaire, enfermé dans son quotidien, qui n’ose s’évader qu’à travers des rêves à la fois drôles et extravagants. Mais confronté à une difficulté dans sa vie professionnelle, Walter doit trouver le courage de passer à l’action dans le monde réel. Il embarque alors dans un périple incroyable, pour vivre une aventure bien plus riche que tout ce qu’il aurait pu imaginer jusqu’ici. Et qui devrait changer sa vie à jamais.

En bref…

Ben Stiller réalise une ode à l’espoir et au rêve qui vous emportera avec intelligence dans une aventure pleine d’émotions et de visuel à couper le souffle.

Un dimanche coup de coeur

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Réalisé par: Jeff Nichols   Année: 2016   Durée: 1h 52   Achat: AmazonFnacVOD


Je ne pouvais pas ne pas parler de ce film dans un dimanche coup de coeur, Midnight Special est le meilleur de mon année 2016, un film coup de coeur, une révélation inattendue, qui ne m’a pas laissé de marbre, aujourd’hui c’est l’occasion pour moi de vous le remettre en mémoire ou peut-être même de vous le faire découvrir.

Midnight Special,  c’est l’histoire d’un père et d’un fils au don Extraordinaire qui tente désespérément d’échapper à une « communauté » qui a fait du jeune garçon son messie.

Dès les premières images, Jeff Nichols construit une tension captivante et lie le spectateur aux personnages avec une facilité déconcertante. L’intrigue commence comme un polar qui touche du doigt les excès des sectes mais petit à petit elle se transforme et dévie avec une facilité déconcertante dans le fantastique pour nous parler d’un sujet humain et réel: la dureté du deuil parental.

Le réalisateur aidé de son casting et d’une mise en scène précise et élégante, arrive a faire régner une ambiance de science-fiction très années 80, qui rend nostalgique sans déplaire et dépasser les limites de l’insupportable. Le spectateur passe son temps à se demander si le héros n’est pas en plein délire paranoïaque ou si le monde qui l’entoure n’est pas devenu fous,  décoller le vrai du faux dans cette histoire devient une obsession qui ne gâchera en rien l’intensité de l’histoire.

Jeff Nichols utilise avec brio l’univers SF multipliant les clins d’oeil au chef-d’oeuvre du genre, et l’utilisant comme une métaphore pour parler du deuil et des peurs de la parentalité, il l’utilise aussi pour soulever la question de la foi, cette croyance en une chose invisible qui pousse certaines personnes à donner leur vie.

Midnight Special est un road trip fantastique et déchirant où certains protagonistes ont parfois du mal à trouver leurs places dans un récit centré sur deux personnages au lien si fort, qu’est celui d’un père et d’un fils, malgré tout, tout le monde à sa place dans ce puzzle géant qu’est Midnight Special. 

À travers une conclusion inattendue et poétique, Jeff Nichols évite toutes explications, laissant le choix aux spectateurs de choisir sa fin, chacun peut décider de voir et de comprendre ce qu’il veut.

Midnight Special est une ode à la science-fiction des années 80 qui fait du bien.

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Le mardi c’est classique

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Réalisé par : Michel Gondry   Année : 2004   Durée: 1h48min   Achat : Amazon, Fnac, VOD


« Que dirais-tu si tu recevais une carte t’annonçant que tu as été effacé de la mémoire d’une certaine personne et que tu devrais désormais t’abstenir de tout contact avec elle ? » Avec cette phrase Pierre Bismuth vient de donner l’idée a Michel Gondry, idée qui une fois appliquée va donner un film qui frôle la frontière du chef-d’oeuvre.

Eternal sunshine of the Spotless Mind est une oeuvre sophistiquée sur la fin de l’amour et le souvenir de ses premiers émois, c’est un film a contre-courant qui commence par la fin et fini par le commencement, Charlie Kaufman a crée un récit complexe et poétique, autour de la mémoire, de l’oubli et du bonheur. Dans ce film l’histoire d’amour est présentée sous toutes ses formes des plus plaisantes au plus désagréables, sans jamais donner de leçon de moral, c’est un peu la réalité de l’amour qui est présenté.

Le film débute a un stade ou un homme et une femme ne peuvent plus se supporter, la haine remplace l’amour. Eternal Sunshine of the Spotless Mind ne va pas suivre le désastre d’un amour trop passionné, il va partir à contre-courant et remonter jusqu’au prémisse de cette amour, de ce premier regard, de ce premier émoi que crée l’amour. C’est une visite à l’intérieur de l’esprit humain, Kauffman s’interroge sur cette étrange volonté qu’a l’être humain de connaître, de ressentir, de se souvenir d’un amour malheureux.

Eternal Sunshine of the Spotless Mind est habité par un casting fascinant, étonnant mais surtout inversé, Jim Carrey tombe le masque du comique en interprétant avec justesse celui de la victime d’un monde où l’on se préoccupe de laver les mauvais souvenir pour mieux vivre et préserver son bonheur, Kate Winslet quand à elle se transforme en jeune fille totalement chaotique qui grimace et gesticule sans se soucier de ce qui l’entour, des rôles a contre emploi pour deux acteurs extraordinaire.

« A quoi bon se souvenir d’une histoire d’amour destructive ? » C’est la question du film, la question du Docteur Mierzwiak (Tom Wilkinson) Il faut arrivé à la fin du film pour que la réponse devienne clair, c’est un constat simple nos malheurs nous sont précieux malgré la souffrance qu’ils nous apportent sur le moment, après tout à la fin les souvenirs sont tout ce qui nous reste.


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Midnight Special

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Réalisé par: Jeff Nichols

Année: 2016

Durée: 1h 52

Note: 7/10

Achat: Amazon, Fnac, VOD


Midnight Special,  c’est l’histoire d’un père et d’un fils au don Extraordinaire qui tente désespérément d’échapper à une « communauté » qui a fait du jeune garçon son messie.

Dès les premières images, Jeff Nichols construit une tension captivante et lie le spectateur aux personnages avec une facilité déconcertante. L’intrigue commence comme un polar qui touche du doigt les excès des sectes mais petit à petit l’intrigue se transforme et dévie avec facilité dans le fantastique  pour nous parler de la dureté du deuil parental.

Le réalisateur aidé de son casting et d’une mise en scène précise et élégante, arrive a faire régner une ambiance de science-fiction très années 80, qui rend nostalgique sans déplaire et dépasser les limites de l’insupportable. Le spectateur passe son temps à se demander si le héros n’est pas en plein délire paranoïaque ou si le monde qui l’entoure n’est pas devenu fous,  décoller le vrai du faux dans cette histoire devient une obsession qui ne gâchera en rien l’intensité de l’histoire.

Jeff Nichols utilise avec brio l’univers SF multipliant les clins d’oeil au chef-d’oeuvre du genre, et l’utilisant comme une métaphore pour parler du deuil et des peurs de la parentalité, il l’utilise aussi pour soulever la question de la foi, cette croyance en une chose invisible qui pousse certaines personnes à donner leur vie.

Midnight Special est un road trip fantastique et déchirant où certains protagonistes ont parfois du mal à trouver leurs places dans un récit centré sur deux personnages au lien si fort, qu’est celui d’un père et d’un fils, malgré tout, tout le monde à sa place dans ce puzzle géant qu’est Midnight Special. 

À travers une conclusion inattendue et poétique, Jeff Nichols évite toutes explications, laissant le choix aux spectateurs de choisir sa fin, chacun peut décider de voir et de comprendre ce qu’il veut.

Midnight Special est une ode à la science-fiction des années 80 qui fait du bien.

Trailer: Midnight Special

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Deuxième bande-annonce et c’est la confirmation du coup de coeur, Midnight Special est l’un des films que j’attends le plus pour cette année 2016, je sens la petite pépite arriver, pas vous ? Sortie le 16 mars 2016.

Cérémonie: Critic’s Choice Television Awards

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Vous avez dis Fargo? Ah non pardon? Mr Robot?

Meilleur drame

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Meilleur acteur dans un drame

Rami Malek – Mr Robot

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Meilleure actrice dans un drame

Carrie Coon – The Leftovers

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Meilleur second rôle masculin dans un drama

Christian Slater – Mr Robot

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Meilleur second rôle féminin dans un drama

Constance Zimmer – UnReal

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Meilleur Guest dans un drama

Margo Martindale – The Good Wife

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Meilleure comédie

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Meilleur acteur dans une comédie

Jeffrey Tambor – Transparent

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Meilleure actrice dans une comédie

Rachel Bloom – Crazy Ex-girlfriend

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Meilleur second rôle masculin dans une comédie

Andre Braugher – Brooklyn nine-nine 

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Meilleur second rôle féminin dans une comédie

Mayim Bialik – The Big Bang Theory

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Meilleure guest star dans une comédie

Timothy Olyphant – The Grinder

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Meilleure mini-série

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Meilleur acteur dans un téléfilm ou une mini-série

Idris Elda – Luther

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Meilleur actrice dans un téléfilm ou une mini-série

Kristen Dunst – Fargo

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Meilleur second rôle masculin dans un téléfilm ou une mini-série

Jesse Plemons – Fargo

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Meilleur second rôle féminin dans un téléfilm ou une mini-série

Jean Smart – Fargo

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Meilleure série animée

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Bilan: Septembre 2015

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Un mois de septembre assez pauvre en film pour deux raisons, la première un retour dans l’univers Star Wars m’a pas mal occupéla seconde une rentrée remplie de série. J’ai malgré tout réussi à occuper les trous que j’ai pu avoir, avec quelques belles surprises et beaucoup de mauvaises. Mes deux révélations de ce mois-ci, un retour dans le teenage movie avec Bubble Boy et une entrée dans la folie avec American Psycho, comme à mon habitude j’ai pu faire un petit rattrapage de classique avec Entretien avec un vampire, j’ai découvert que Disney ne faisait pas que des histoires avec des happy endings mielleux avec Tusk Everlasting, ma plus grosse déception ce mois-ci Cooties que j’attendais avec surement un peu trop d’impatience, je suis rentrée dans la tête de Guillermo Del Toro avec Hellboy II. J’ai aussi perdu mon temps ce mois-ci avec une femme qui mène tout le monde à la ruine dans Cartel, je me suis perdu chez les hippies avec Jennifer Aniston & Paul Rudd avec le film Wonderlust, l’ours en peluche Ted était de retour dans ma vie mais il a loupé le coche, heureusement j’ai fini mon mois sur une belle touche avec Human un joli documentaire sur l’humanité.

  1. American Psycho – 2000 (7/10)
  2. Bubble Boy – 2001 (7/10)
  3. Human – 2015 (6/10)
  4. Entretien avec un vampire – 1994 (6/10)
  5. Cooties – 2014 (3/10)
  6. Hellboy II – 2008 (3/10)
  7. Tusk Everlasting – 2002 (2/10)
  8. Ted 2 – 2015 (1/10)
  9. Wonderlust – 2012 (1/10)
  10. Cartel – 2013 (1/10)

Eternal Sunshine of the Spotless Mind

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Réalisé par : Michel Gondry

Année : 2004

Note : 8/10

Achat : Amazon, Fnac, VOD


What a loss to spend that much time with someone, only to find out that she’s a stranger.

« Que dirais-tu si tu recevais une carte t’annonçant que tu as été effacé de la mémoire d’une certaine personne et que tu devrais désormais t’abstenir de tout contact avec elle ? » Avec cette phrase Pierre Bismuth vient de donner l’idée a Michel Gondry, idée qui une fois appliquée va donner un film qui frôle la frontière du chef-d’oeuvre.

Eternal sunshine of the Spotless Mind est une oeuvre sophistiquée sur la fin de l’amour et le souvenir de ses premiers émois, c’est un film a contre-courant qui commence par la fin et fini par le commencement, Charlie Kaufman a crée un récit complexe et poétique, autour de la mémoire, de l’oubli et du bonheur. Dans ce film l’histoire d’amour est présentée sous toutes ses formes des plus plaisantes au plus désagréables, sans jamais donner de leçon de moral, c’est un peu la réalité de l’amour qui est présenté.

Le film débute a un stade ou un homme et une femme ne peuvent plus se supporter, la haine remplace l’amour. Eternal Sunshine of the Spotless Mind ne va pas suivre le désastre d’un amour trop passionné, il va partir à contre-courant et remonter jusqu’au prémisse de cette amour, de ce premier regard, de ce premier émoi que crée l’amour. C’est une visite à l’intérieur de l’esprit humain, Kauffman s’interroge sur cette étrange volonté qu’a l’être humain de connaître, de ressentir, de se souvenir d’un amour malheureux.

Eternal Sunshine of the Spotless Mind est habité par un casting fascinant, étonnant mais surtout inversé, Jim Carrey tombe le masque du comique en interprétant avec justesse celui de la victime d’un monde où l’on se préoccupe de laver les mauvais souvenir pour mieux vivre et préserver son bonheur, Kate Winslet quand à elle se transforme en jeune fille totalement chaotique qui grimace et gesticule sans se soucier de ce qui l’entour, des rôles a contre emploi pour deux acteurs extraordinaire.

« A quoi bon se souvenir d’une histoire d’amour destructive ? » C’est la question du film, la question du Docteur Mierzwiak (Tom Wilkinson) Il faut arrivé à la fin du film pour que la réponse devienne clair, c’est un constat simple nos malheurs nous sont précieux malgré la souffrance qu’ils nous apportent sur le moment, après tout à la fin les souvenirs sont tout ce qui nous reste.

How happy is the blameless vestal’s lot! The world forgetting, by the world forgot. Eternal sunshine of the spotless mind! Each pray’r accepted, and each wish resign’d.

Voir aussi: Celeste & Jesse Forever, Frankie & Johnny, Casablanca, Vacances Romaine, Her, Mommy