
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema retrouve ses racines et va redécouvrir le sud de la France.








































Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema retrouve ses racines et va redécouvrir le sud de la France.
Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !
Coming soon…
Quand un Woody Allen sort c’est du quitte ou double, il peut être bon comme il peut être mauvais. Avec Magic in the Moonlight, je retrouvais le réalisateur, avec Irrational Man, il me perdait en route, avec Café Society, j’espère le retrouver.
Réalisé par : Woody Allen
Année : 2014
Note : 8/10
I’m getting a mental impression
Magic in the moonlight est une comédie romantique rafraichissante remplie de magie, de poésie et d’un humour pétillant, un bon cru 2014, sortie tout droit de la cave de Woody Allen regroupement tout ce qu’il aime.
C’est sur la Côte d’Azur des années 20 qu’il nous entraine dans une histoire insouciante remplie de mystère et de romantisme, le beau Colin Firth joue un magicien pragmatique et pessimiste venue dans le sud de la France pour démasquer une supposée médium interprétée par l’éblouissante Emma Stone.
Enrobée dans un univers de magie que le réalisateur affectionne particulièrement (il avait déjà utilisé ce thème pour son film Scoop) il aborde plusieurs thèmes comme la vie et la mort mais aussi la question de Dieu, ne manquant pas de se faire entendre, à travers l’acteur Colin Firth on ressent bien la présence de Woody Allen au détour d’un sarcasme ou d’une tirade qui monopolisera le public sans l’ennuyer, le tout est équilibré par la présence de la pétillante Emma Stone et son optimisme.
L’insouciance de l’après-guerre des années folles nous plonge dans une euphorie qui frôle la folie, remplissant le spectateur d’une joie de vivre, d’une envie de découverte et pourquoi pas d’une envie de vacance sur les côtes de la Méditerranée?
Woody Allen prouve aux plus septiques qu’il a encore de la ressource dans son chapeau de magicien, espérons que son prochain film L’homme irrationnel soit aussi bien que Magic in the moonlight.
I came to say that for some inexplicable reason that defies common sense and human understanding, that I have, of late, experienced some small… quite small but discernible, inner stirrings regarding your smile
Voir aussi: Austenland, Quatre mariages et un enterrement, The Grand Budapest Hotel