Star Wars: The Force Awakens

bilan


Réalisé par: J.J. Abrams   Année: 2015   Durée: 2h18min   Note: 3/10


Je n’avais pas revu Star Wars: Le réveil de la force depuis sa sortie en décembre 2015, une fois la nostalgie des retrouvailles passées, je dois avouer que ma vision sur ce film qui redonner vie à un univers qui a bercé mon enfance à bien changer, trop… En 2015, je pensais que J.J. Abrams avait trouvé le juste-milieu et rattraper le fiasco de la dernière trilogie, en 2020 mon opinion a radicalement changé après une relecture du film. Bilan d’un film qui aurait pu être excellent…

Star Wars: The Force Awakens, c’est l’histoire d’action passée devenue mythe, c’est l’histoire de mythe devenu inspiration pour le bon et le mauvais côté de la force, c’est l’histoire d’un renouveau raté.

Je n’irais pas par quatre chemins après revisionnage pour moi tout est à jeter dans le film, les nouveaux héros sont d’une imbécilité sans nom, le nouveau « méchant » n’est qu’un adolescent privé de sortie par ses parents qui a décidé de se rebeller en rejoignant le côté obscur de la force, les facilités scénariste sont aberrantes de bêtise, tout est téléphoné, tout est prévisible, tout est trop simpliste, bref, avec le temps je me suis bien rendu compte que rien ne va dans ce nouvel opus et qu’une fois la nostalgie passée, la magie disparaissait.

J.J. Abrams nous offre un film totalement vide, une copie conforme d’une histoire déjà existante. Aucune surprise dans les étoiles, une fois la mélancolie des vieux souvenirs passés, on se rend bien compte que le réalisateur a fait un film totalement creux, une copie conforme d’une histoire déjà existante. Abrams oublie de créer quelque chose de nouveau en surchargeant son film de clin d’oeil et de blagues inutiles, il arrivera malgré tout à prouver que l’univers Star Wars est bien intemporel et toujours divertissant.

Star Wars: The Force Awakens est un divertissement passable, si on n’a pas peur du sentiment de déjà-vu…

You know the part in scary movie when somebody does something really stupid, and everybody hates them for it_ This is it

 

Dossier: Halloween (3/4)

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Réalisé par: Rob Zombie    Année: 2005   Durée: 1h47min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

Après la mort de son frère, le shérif Wydell ne rêve que de vengeance. Il est prêt à tout contre la terrifiante famille Firefly, et il n’hésitera pas à outrepasser la loi. Barricadés dans leur maison, les Firefly, eux, sont décidés à lui échapper par tous les moyens. Rien ne semble pouvoir arrêter leur macabre saga. Entre les deux camps, la guerre est ouverte, et elle va s’étendre…

En bref…

Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique, la famille Firefly foncent sur les routes de l’horreur embarquant avec eux les plus grands maîtres du genre pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer leur propre univers. Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.

Le saviez-vous ?

Le mot « Fuck » et ses variations a été utilisé dans le film 224 fois, selon une autre source il aurait été dit 560 fois, le film détiendrait de ce fait le record.

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Réalisé par: Neil Marshall   Année: 2005   Durée: 1h39min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour.

En bref…

Neil Marshall associe horreur et psychologie pour nous offrir un huis clos devenu incontournable qui fonctionne bien grâce à une maîtrise quasi parfaite et un bon twist final.

Le saviez-vous ?

Chaque filles du casting vient d’un pays différent.

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Réalisé par: Victor Salva   Année: 2001   Durée: 1h30min   Note: 6/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

Les vacances d’été sont enfin arrivées et, comme chaque année, Trish et Darry, deux étudiants, frère et soeur, prennent la route pour rendre visite à leurs parents. Sur le chemin, un routier agressif emboutit l’arrière de leur voiture sans raison apparente. Quelques kilomètres plus loin, Trish et Darry revoient le même camion, à côté d’une église abandonnée. Ils aperçoivent le conducteur, entièrement vêtu de loques, qui jette un corps dans une canalisation.

En bref…

Victor Salva réalise un film d’horreur simple et minimaliste à l’univers mystérieux et intimiste qui aura donné dans les années 2000 un nouveau souffle à l’univers du slasher. Jeepers Creepers est un film audacieux qui ne se prend pas la tête et introduit avec brio un nouveau monstre (conforme aux conventions du genre) dans e grand bestiaire de l’horreur.

Le saviez-vous ?

Pour son film Victor Salva explique qu’il a trouvé son inspiration dans le film Duel mais aussi dans l’histoire vraie d’un couple en voyage qui aurait remarqué quelque chose d’étrange sur la route et aurait fait demi-tour et découvert une scène épouvantable. Le réalisateur a repris l’histoire, modifié les âges et ajouté des éléments surnaturels.

Le bruit de couloir suspect (5)


Réalisé par: D. Myrick & E. Sanchez   Année: 1999   Durée: 1h21min   Note: 6/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?

En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d’un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête.

En bref…

Avec The Blair Witch Project, les réalisateurs ont compris que ce n’est pas ce que l’on voit qui éveil nos peurs mais ce que l’on croit voir, c’est en jouant sur ce petit détail que le film arrive à renouveler le genre et deviendra par la suite un incontournable des années 90.

Le saviez-vous ?

Les trois acteurs principaux ont gardé leurs vrais noms pour le film, ils furent lâchés pendant huit jours en pleine forêt avec très peu d’instructions.

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Réalisé par: William Friedkin   Année: 1973   Durée: 2h2min   Note: 8/10   Achat: VOD


De quoi ça parle ?
L’histoire se déroule à Georgetown dans la banlieue de Washington. L’actrice de télévision Chris MacNeil est de plus en plus inquiète pour sa fille Regan en proie à des spasmes violents et à d’étranges symptômes devenus fréquents. Impuissants, les médecins lui conseillent de faire appel à un prêtre exorciste…
En bref…

L’exorciste est une pépite terrifiante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.

Le saviez-vous ?

Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.


Le mardi c’est classique

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Réalisé par: William Friedkin   Année: 1973   Durée: 2h2min   Achat: Amazon, Fnac, VOD


Une mère, une fillette, un démon, deux prêtres, un exorcisme, la mort.

Premier grand succès de l’histoire du cinéma d’horreur, L’exorciste reste encore aujourd’hui l’un des meilleurs films d’horreur de tous les temps, il ne pouvait pas, de ce fait, échapper au mardi c’est classique. Que l’on soit en 1973 ou en 2018, qu’on est vu le film ou pas, on a tous entendus parler de L’exorciste, on connaît tous les scènes qui ont marqué plus d’une génération.

En 1973, L’exorciste brave les règles de ce qui est montrable sur grand écran et surprend un public inhabitué à ce genre d’horreur. Le film sous ses allures de documentaire provoque l’effroi dans les salles en racontant une histoire qui puisse sa source à travers plusieurs thèmes  (arrogance, alcoolisme, culpabilité…) qui font partie de notre quotidien.L’horreur ne surgit ni des profondeurs de l’océan, ni de l’espace, l’horreur apparaît comme une irruption immédiate dans la vie de tous les jours et vient détruire l’illusion que nous vivons dans un monde sûr. Le réalisateur souffle à l’oreille du spectateur que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.

 

Jamais un film n’avait fait l’objet d’un tel battage médiatique pour l’époque, on ne comprenait pas pourquoi des gens de tout âge étaient prêts à faire la queue pendant des heures pour une oeuvre pareil. William Friedkin réussit comme le dit un critique « à faire du dégoût un divertissement pour grand public », il ouvre la porte au cinéma d’épouvante d’aujourd’hui. L’exorciste exercera une très grande influence sur le développement du genre et fera de l’enfant maléfique un thème dominant dans le cinéma d’horreur.

L’exorciste est une pépite terrifiante, parfois dégoutante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération.


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Calendrier d’Halloween: 30 octobre

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The Exorcist

The Power of Christ compels you!

Réalisé par: William Friedkin

Année: 1973

Chris MacNeil ne sait plus quoi faire pour aider sa fille, victime de spasmes violents. On lui conseille de voir un exorciste, le Père Damien Karras.

Une mère, une fille, un démon, deux prêtres, un exorcisme, la mort… Qu’on soit en 1973 ou aujourd’hui, qu’on est vu le film ou pas, on a tous entendu parler de L’exorciste, on connaît tous les scènes qui ont marqué plus d’une génération. Le film a l’allure d’un documentaire, n’a jamais pris une ride il est toujours aussi efficace, il provoque toujours l’effroi et continuera à marquer les esprits. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille..

Your mother sucks cocks in Hell, Karras, you faithless slime.

En 1973, L’exorciste brave les règles de ce qui est montrable sur grand écran et surprend le public et la critique ouvrant la porte au cinéma d’épouvante d’aujourd’hui. Le film est le premier grand succès de l’histoire du film d’horreur, il exercera une très grande influence sur le développement du genre et fera de l’enfant maléfique un thème dominant dans le cinéma d’horreur. Une pépite terrifiante, parfois dégoutante qui restera dans les mémoires.

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Le saviez-vous ?

  • L’exorciste est le premier film d’horreur nommé aux Oscar pour le prix du meilleur film.
  • Max Von Sydow a été si choqué par les injures proférées par Linda Blair, qu’il en a oublié son texte.
  • Basé sur l’oeuvre de William Peter BlattyThe Exorcist est le premier épisode d’une saga de quatre film réalisé par un réalisateur différent à chaque fois: L’exorciste (1973), L’Hérétique (1977), L’Exorciste, la suite (1990) et Exorcist: the beginning (2004)
  • Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.

Stick your cock up her ass, you motherfucking worthless cocksucker.

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Bilan: Octobre 2015

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Ce mois-ci fut un mois rempli de belles découvertes, j’ai commencé mon mois avec la rencontre de Gatsby, je suis rentré dans le monde de Guillermo Del Toro deux fois la première avec la magnifique Crimson Peak qui m’a conquise, la seconde avec le terrifiant Labyrinthe de Pan qui m’a laissé de glace, je me suis plongée dans le monde de la drogue par deux fois avec le ténébreux Benicio Del Toro, j’ai touché à l’inconnu avec deux belles surprises la première sur Netflix grâce à Advantageous la seconde dans le monde du slasher avec The Final Girls, je suis sortie d’un labyrinthe pour une terre brûlée, j’ai fait ma rencontre annuelle avec le grand Woody Allen et j’ai rattrapé un peu de retard avec Minority Report. Un mois en double, un mois réussi.

  1. Crimson Peak – 2015 (8/10)
  2. The Final Girls – 2015 (7/10)
  3. Sicario – 2015 (7/10)
  4. Advantageous – 2015 (6/10)
  5. Le Labyrinthe: La terre brûlée – 2015 (6/10)
  6. Minority Report – 2002 (6/10)
  7. L’homme Irrationnel – 2015 (5/10)
  8. Gatsby, le magnifique – 2013 (4/10)
  9. Le Labyrinthe de Pan – 2006 (3/10)
  10. Traffic – 2001 (2/10)

Voir aussi: Maze Runner: The Scorch Trials, Dossier: Tueur en série dans le monde du cinéma

Poster: Star Wars

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L’affiche officielle de Star Wars: The Force Awakens est là, pour mon plus grand plaisir en attendant la bande-annonce qui devrait sortir demain.

News: Star Wars

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C’est au magazine Entertainment Weekly que l’on doit ce joli cadeau de Noël avec quelques mois d’avance, des photos de Star Wars VII.