
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.








































Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.
La catastrophe dans le monde du cinéma se réinvite sur Le Bruit du Cinema, qu’elle détruise la terre où les hommes, qu’elle relate un futur proche où lointain, qu’elle fasse peur où qu’elle fascine, la catastrophe au cinéma n’a pas fini de frapper, revoyons ensemble rapidement les grandes catégories du genre avant de faire un petit tour d’horizon de cinq films qui ont marqué le genre ou presque… Nous avons donc :
La catastrophe naturelle
Elle arrive sans prévenir, la catastrophe naturelle est l’effet d’un évènement naturel plus ou moins violent (éruption volcanique, tsunami, astéroïde…) qui arrive sans prévenir.
La catastrophe sanitaire
Elle touche généralement un continent où le monde entier, la catastrophe sanitaire affecte la santé et augmente par la suite le facteur de mortalité, elle peut créer des créatures voraces (les infectés) ou bien entraîner des mutations physiques ou génétiques.
La catastrophe nucléaire
Guerre nucléaire, explosion nucléaire, apocalypse nucléaire, la catastrophe nucléaire peut prendre bien des noms, mais se résume généralement par une ou plusieurs explosions de bombe atomique.
La catastrophe sociale
Elle arrive généralement après une guerre, après la disparition d’une denrée importante ou encore après la montée au pouvoir d’une dictature.
La catastrophe humaine
Elle arrive généralement après une erreur humaine, une petite erreur peut provoquer une réaction en chaîne qui deviendra une énorme catastrophe.
La catastrophe extraterrestre
Elle est souvent due à l’arrivée de nos amis les petits hommes gris ou par la découverte de l’espace.
La catastrophe robotique
Elle est généralement liée à l’intelligence artificielle, la catastrophe robotique, c’est tout simplement la machine qui prend le dessus sur l’homme.
La catastrophe zombie
Les morts reviennent à la vie, l’humanité est foutue.
Pour plus de détails je vous invite à visiter le dossier : Les catastrophes dans le monde du cinéma et des séries ainsi que le dossier Zombies vs infectés
Réalisé par: Ron Underwood Année: 1990 Durée: 1h36min Genre: Comédie, Horreur Note: 3/10 Achat-Location: VOD
Perfection, un village perdu dans le désert du Nevada. Val et Earl, deux amis inséparables, rencontrent Rhonda LeBeck, une jeune sismologue, qui effectue un stage dans la région. Rhonda prétend que ses appareils ont enregistré des variations inexplicables. Quelque temps plus tard, Val et Earl retrouvent le corps sans vie de Fred, le ferrailleur du village. Les évènements tragiques se succèdent. Plusieurs habitants sont attaqués par de mystérieuses créatures. Tout semble indiquer que celles-ci se dirigent droit sur le village.
Tremors est un film simple et efficace qui amuse le temps d’un instant.
Réalisé par: Brad Peyton Année: 2018 Durée: 1h47min Genre: Action, Aventure Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Primatologue de profession, David Okoye a plus de mal à nouer des liens avec ses semblables qu’avec les singes. Pas étonnant qu’il se soit pris d’affection pour George, adorable gorille d’une intelligence hors du commun, dont il s’occupe depuis sa naissance. Mais suite à une expérience génétique catastrophique, George se métamorphose en monstre incontrôlable.
Rampage est un film de « monstre » sans rythme qui brasse du vent en enchainant les mauvaises blagues et les scènes d’action sans importance.
Réalisé par: Roland Emmerich Année: 1998 Durée: 2h19min Genre: Science-Fiction, Action Note: 6/10 Achat-Location: VOD
Une série de désastres mystérieux pointent vers l’existence d’une créature radioactive gigantesque se dirigeant vers Manhattan, il faut alors l’arrêter.
Godzilla est un bon divertissement qui regorge de scènes mémorables pour toute une génération.
Réalisé par: Jon Turteltaub Année: 2018 Durée: 1h53min Genre: Action, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Missionné par un programme international d’observation de la vie sous-marine, un submersible a été attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue. Sérieusement endommagé, il gît désormais dans une fosse, au plus profond de l’océan Pacifique, où son équipage est pris au piège. Il n’y a plus de temps à perdre : Jonas Taylor, sauveteur-plongeur expert des fonds marins, est engagé par un océanographe chinois particulièrement visionnaire, contre l’avis de sa fille Suyin.
The Meg est un film fade qui nous conte l’éternelle histoire du requin tueur.
Réalisé par: Anthony C. Ferrante Année: 2013 Durée: 1h26min Genre: Action, Comédie, Science-Fiction Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Une tornade, des requins, une catastrophe…
Le nanar ultime du début des années 2010. Grotesque et kitsch, Sharknado assume et ça marche presque…
« Entre amour et haine, il n’y a qu’un pas » C’est un peu ce qui pourrait décrire la relation qui existe entre les films DC et moi. Quand je vois les bandes-annonces entrainantes et punchy que les studios sortent, j’ai toujours une assez grande attente malheureusement le visionnage arrive.. et sa meilleure amie la déception l’accompagne presque toujours. Après la saga Resident Evil, Le Bruit du Cinema fait un petit bilan du DC Universe.
Réalisé par: Zack Snyder Année: 2013 Durée: 2h23min Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Transporté sur Terre des années auparavant depuis Krypton, Clark Kent découvre qu’avoir des pouvoirs signifie devoir prendre de difficiles décisions.
Man of Steel est un film indigeste, au casting insipide qui se perd dans un scénario sans âme. Zack Snyder déçoit en offrant une relecture brouillonne et sans intérêt du mythe de Superman.
Réalisé par: Zack Snyder Année: 2016 Durée: 2h31min Note: 3/10 Achat-Location: VOD
Parce qu’il redoute les excès d’un superhéros omnipotent, le puissant justicier masqué de Gotham City défie le sauveur bien-aimé de Metropolis, sous les yeux des spectateurs indécis.
Batman v Superman est un film long, ennuyeux et décousu, qui enchaîne les non-dits et embrouille le spectateur avec un montage digne d’un enfant de 3 ans.
Réalisé par: David Ayer Année: 2016 Durée: 2h3min Note: 1/10 Achat-Location: VOD
C’est tellement jouissif d’être un salopard ! Face à une menace aussi énigmatique qu’invincible, l’agent secret Amanda Waller réunit une armada de crapules de la pire espèce. Armés jusqu’aux dents par le gouvernement, ces Super-Méchants s’embarquent alors pour une mission-suicide.
Certains diront que l’échec de Suicide Squad est dû au montage, d’autres diront qu’il est dû au casting mais soyons franc, mettons ensemble les pieds dans le plat, regardons-nous dans les yeux, Suicide Squad est un échec parce que l’essence même du vilain a été totalement oubliée. Suicide Squad restera dans les annales comme le film qui aurait pu être un succès.
Réalisé par: Patty Jenkins Année: 2017 Durée: 2h21min Note: 2/10 Achat-Location: VOD
Avant d’être Wonder Woman, elle s’appelait Diana, princesse des Amazones, entraînée pour être une guerrière impossible à conquérir. Elle est élevée sur une île isolée et paradisiaque, mais lorsqu’un pilote américain s’écrase sur leur rivage et annonce qu’un conflit à grande échelle fait rage dans le monde, Diana quitte son foyer, convaincue qu’elle doit arrêter cette menace.
Gal Gadot est une bonne Wonder Woman malheureusement l’histoire banale qui l’entoure ne lui permet pas de briller. Avec Wonder Woman, DC prouve une nouvelle fois, qu’ils ne sont pas capables de faire des films à la hauteur de leurs super-héros.
Réalisé par: Zack Snyder Année: 2017 Durée: 2h Note: 1/10 Achat-Location: VOD
Après avoir retrouvé foi en l’humanité, Bruce Wayne, inspiré par l’altruisme de Superman, sollicite l’aide de sa nouvelle alliée, Diana Prince, pour affronter un ennemi plus redoutable que jamais. Ensemble, Batman et Wonder Woman ne tardent pas à recruter une équipe de méta-humains pour faire face à cette menace inédite.
Justice League est un blockbuster sans vie qui ne rend pas justice à ses héros. Snyder manque d’inspiration et déçoit une nouvelle fois, en nous offrant un film sans scénario et visuellement très moche.
Réalisé par: James Wan Année: 2018 Durée: 2h23min Note: 4/10 Achat-Location: VOD
Les origines d’un héros malgré lui, dont le destin est d’unir deux mondes opposés, la terre et la mer. Cette histoire épique est celle d’un homme ordinaire destiné à devenir le roi des Sept Mers.
Aquaman est un pur nanar, plein d’effets spéciaux gâchés, qui aurait pu tomber dans les abysses de l’oubli mais qui finalement arrive miraculeusement à divertir. Un exploit d’une rareté extraordinaire chez DC.
Réalisé par: David F. Sandberg Année: 2019 Durée: 2h12min Note: 5/10 Achat-Location: VOD
On a tous un super-héros qui sommeille au fond de soi… il faut juste un peu de magie pour le réveiller. Pour Billy Batson, gamin débrouillard de 14 ans placé dans une famille d’accueil, il suffit de crier « Shazam ! » pour se transformer en super-héros. Ado dans un corps d’adulte sculpté à la perfection, Shazam s’éclate avec ses tout nouveaux superpouvoirs. Mais il lui faudra maîtriser rapidement ses pouvoirs pour combattre les forces des ténèbres du Dr Thaddeus Sivana…
Shazam! est un film aussi ennuyeux que divertissant, il apporte la fraicheur dont avait besoin l’univers DC pour peut-être enfin se renouveler.
Réalisé par: Cathy Han Année: 2020 Durée: 1h49min Note: 0,5/10 Achat-Location: VOD
Fraîchement séparée du Joker, Harley Quinn doit faire équipe avec Huntress, Black Canary et Renée Montoya pour contrecarrer les plans du criminel Roman Sionis.
Margot Robbie pétille dans une coquille vide prévisible et ennuyeuse. Birds of Prey est un film pour ado prépubère en quête d’identité, un échec de plus pour les studios DC.
Tout top à son flop, il est l’heure de faire un petit bilan des déceptions d’une décennie, une dernière façon de faire travailler sa mémoire et de clôturer cette décennie qui fut forte en surprise et en déception.
Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !
Coming soon…
Réalisa par: Eric Carrière, Francis Ginibre Année: 2018 Durée: 1h28 Note: 5/10 Achat: VOD
« Feuilles, Râteaux, c’est le chant des municipaux, Feuilles, Râteaux, c’est bientôt l’heure de l’apéro. »
Oubliez le chef-d’oeuvre, prenez-vous un petit jaune, posez-vous tranquillement, laissez chanter le sud dans vos oreilles et admirez ces municipaux faire ce qu’ils font de mieux vous faire rire.
Les municipaux c’est l’histoire d’un mec qui ne sait rien faire et qui va se retrouver suite à un concours de circonstances embauché à la mairie de Port-Vendres, c’est l’histoire d’une amitié qui commence, c’est l’histoire simple des municipaux.
On ne va pas se mentir, le récit est assez brouillon mais va avec l’ambiance qui elle aussi, est assez brouillonne, le film ne parlera pas à tout le monde, ne fera pas rire tout le monde mais il aura au moins la chance de faire sourire tout le monde. Eric Carrière et Francis Ginibre s’entourent d’une belle brochette de talent trop peu utilisé dans le cinéma français et c’est ça qui fait la force du film, offrant des scènes mémorables qui restent en tête.
Beaucoup estimeront que les gags des Chevalier du Fiel sont usés jusqu’à la moelle et quand regardant le film on ne pourrait y voir qu’une succession de gag que l’on connaît déjà, je ne pourrais pas leur jeter la pierre car c’est en parti vrai, mais c’est ça qui fonctionne, qui fait la force du film et qui met en joie, c’est de voir ces gags prendre vie et se poser dans un décor qui sent bon le sud! On se moque gentiment des municipaux, on joue la caricature qu’on pousse à son paroxysme, sans oublier de se moquer des politiques qui sont eux aussi la cible de ce duo d’humoristes à l’accent chantant.
Les Municipaux donne envie de siroter un Ricard en entendant le doux chant des cigales et en profitant de la vie de façon simple. Que demander de plus ?
En octobre, Netflix a fait le bad buzz et s’est mis dans la panade tout seul comme un grand, quand les fans de South Park ont remarqué l’absence d’une dizaine d’épisodes aux six saisons disponibles sur la plateforme, l’accusation d’une censure volontaire n’a pas loupé. Dans un premier temps, le géant Netflix a avancé une raison « légale » indépendante de leur volonté mais c’était sans compter sur l’intervention du CSA qui a affirmé qu’il n’existait pas d’interdiction légale concernant les épisodes de South Park, tous pouvant être diffusé en France si la signalétique adéquate est mise. Le géant du streaming a donc repris la parole en faisant marche arrière avec un erratum qui disait : « Dans notre précédent tweet, nous avons partagé une explication erronée. Les épisodes de South Park disponible sur Netflix sont tout simplement ceux que les ayants droits nous ont proposé. » Mensonge ou réalité, seul Netflix le sait puisqu’ils ont finalement mis en ligne les épisodes manquants…
En octobre, Martin Scorcese a tapé du poing sur la table et s’en est pris au super-héros, plus précisément aux films de super-héros, encore plus précisément aux films Marvel… Le réalisateur ne les considère pas comme des films mais plus comme des parcs à thèmes. Les fans du MCU n’ont pas tardé à s’insurger contre Monsieur Scorcese rejoint assez vite par des réalisateurs et des acteurs comme Joss Whedon qui a reconnu comprendre le point de vue du réalisateur, tout en précisant que ses propos allaient en énerver plus d’un, James Gunn quant à lui est outré que Scorcese se permette de critiquer des films qu’il n’a pas vu mais précise qu’il aime toujours le patron du film sur la mafia et on finira avec les paroles du « sage » Samuel L. Jackson qui dit qu’un film est un film et que pas tout le monde aime les films de Martin Scorcese mais que chacun à le droit d’avoir son opinion.
Will Smith a décidé de parler à son passé, s’il pouvait retourner parler avec son lui du passé, il retournerait en 1999 et lui dirait d’abandonner Wild Wild West et d’accepter Matrix! Mais en y réfléchissant bien, n’aurait-il pas gâché Matrix ?
HBO aurait commandé un spin-off pour le film Grease, c’est sous forme de série que le lycée de Rydell High devrait reprendre vie. La série aura pour ambition de dénoncer la pression des camarades de lycée et les horreurs de la puberté, on devrait retrouver des personnages qu’on connaît et des nouveaux venus. Un Grease 2.0 avec le même esprit… Inutile…
Le film Clueless pourrait revenir sur le petit écran, la série serait centrée sur le personnage de Dionne Davenport, la meilleure amie de Cher Horowitz, après la disparition de cette dernière Dionne deviendrait la nouvelle reine du lycée. Une nouvelle aventure commence, entre pression et recherche de son amie la belle aura surement peu de temps pour s’occuper de ses ongles. Pour le moment aucun studio n’a pris en charge le projet et personnellement je n’en vois pas l’utilité, je ne comprends pas pourquoi ils vont toujours chercher dans le vieux, alors que ce que l’on demande c’est de la nouveauté, de l’innovation.
La Mante (2017) 5/10 – Legend (1985) 2/10 – Les Griffes de la nuit (2010) 1/10 – Coraline (2009) 6/10 – The Haunted World of El Superbeasto (2009) 8/10 – 3 From Hell (2019) 6/10 – Dans les Hautes Herbes (2019) 1/10 – Asterix: Le Domaine des Dieux (2014) 4/10 – Asterix: Le Secret de la Potion Magique (2018) 6/10.
Octobre est un mois propice à l’horreur, Le Bruit du Cinema va donc en profiter pour vous inonder d’horreur que ce soit des films, des acteurs, des séries ou des réalisateurs tout le monde va y passer! Pour ouvrir le bal des réalisateurs j’ai choisi de parler du talentueux James Wan qui malgré quelques erreurs de parcours a réussi a faire ses preuves dans le monde du cinéma.
Année: 2004 Durée: 1h43min Genre: Horror, Thriller Note: 8/10
Deux hommes se réveillent enchaînés au mur d’une salle de bains. Ils ignorent où ils sont et ne se connaissent pas. Ils savent juste que l’un doit absolument tuer l’autre, sinon dans moins de huit heures, ils seront exécutés tous les deux..
Saw est la grosse claque que les amoureux du genre attendaient au début des années 2000, James Wan offre un thriller fou et original qui surprend. Un coup de génie qui bouleversera les codes établis dans le cinéma d’horreur.
Année: 2013 Durée: 1h52min Genre: Horror Note: 6/10
Avant Amityville, il y avait Harrisville… The Conjuring raconte l’histoire horrible, mais vraie, d’Ed et Lorraine Warren, enquêteurs paranormaux réputés dans le monde entier, venus en aide à une famille terrorisée par une présence inquiétante dans leur ferme isolée…
Avec The Conjuring, James Wan ne réinventera pas le genre mais arrivera à lui donner un nouveau souffle et marquera les esprits. Le film nous livre un récit d’épouvante rétro qui tiendra la route malgré une fin un peu longuette.
Année: 2018 Durée: 2h23min Genre: Action, Aventure Note: 4/10
Personnage légendaire depuis 70 ans, Aquaman est le Roi des Sept Mers, régnant à contrecœur sur Atlantis. Pris en étau entre les Terriens qui détruisent constamment la mer et les habitants d’Atlantis prêts à se révolter, Aquaman doit protéger la planète tout entière…
Avec Aquaman, James Wan réalise un film fait pour un public trop large, un pur nanar plein d’effets spéciaux gâchés qui aurait pu tomber dans les abysses de l’oubli mais qui finalement arrive à faire son job: divertir.
Resident Evil va bientôt revenir sur grand écran, la franchise se relook et se rapproche enfin de l’histoire du jeu vidéo. Le récit fera donc un retour aux sources inattendu qui fait plaisir, j’espère juste qu’ils arriveront enfin à faire quelque chose de bien…
Ewan McGregor reprendra bien (j’ai envie de dire enfin!) le rôle d’Obi Wan Kenobi pour l’une des futures séries Star Wars de la plateforme Disney+, après des années de doute, l’acteur peut enfin retrouver son sabre laser.
C’est officiel Matrix 4 est bien lancé, le tournage est prévu l’année prochaine et Keanu Reeves, Carrie Anne Moss et Lana Wachowski sont de retour (pour nous jouer un mauvais tour?) Le bruit de couloir dit que la production cherche à recaster Morpheus pour un acteur plus jeune, l’histoire se déroulera-t-elle dans le passé ? Seul le temps nous le dira. Personnellement, l’idée de retrouver l’univers de Matrix me plaît mais je pense qu’il y a tellement plus à faire que de se contenter de retrouver Neo & Trinity….
Après Le livre de la jungle, Aladdin, Le Roi Lion, Mulan, La Petite Sirène, c’est Basil le Détective qui pourrait voir le jour en live action, je vous avoue que j’ai un peu l’impression que tous les mois, une annonce de réadaptation est faite, je pense qu’on va pouvoir se lancer dans une petite partie de Bingo.
Ce mois-ci, on apprend aussi que Disney a été trop gourmand et que Sony ne s’est pas laissé faire, c’est donc l’homme araignée qui en paye le prix et qui se voit disparaitre de la team du MCU. Ahhh… La gourmandise…
Et pour finir, Hilary Duff reprend son rôle de Lizzie McGuire pour la plateforme Disney+, la série sera une suite, on suivra les aventures de la jeune femme trentenaire qui cherche à construire sa vie à New York, Disney met le paquet et joue sur la nostalgie 90 pour attirer plus de clients potentiels.
Et si Marvel était R-Rated ?
Petit rappel: R-Rated est un symbole de classification des films en vigueur aux Etats-Unis, la classification est établi par la Motion Picture Association of America. R-Rated signifie Restricted. Les mineurs (17 ans et moins) doivent être accompagné d’un adulte.
En août, Disney a beaucoup fait parler de lui, heureusement pour nous il y a eu quelques petites news sans rapport avec Disney, on a appris que si Ben Affleck avait réalisé son Batman, le film se serait concentré sur la folie et aurait pris comme décor l’asile d’Arkham, qu’Amazon aurait prévu une vingtaine d’épisodes pour la saison 1 du Seigneur des anneaux et que le tournage de sa série The Boys a commencé son tournage. Apple entre dans la course du streaming en créant sa propre plateforme qui sera disponible courant novembre, Michelle Williams avoue vouloir plus de combats en She-Venom (pas sûre d’être d’accord avec elle…) et bien sûr le mois d’août étant un mois Disney, on a appris que Kit Harington entre dans le Marvel Cinematic Univers, il rejoint le casting des Eternels où il jouera le Chevalier Noir au côté de son compère de Game of Thrones, Richard Madden.
Last Christmas sortie le 8 novembre 2019 – Cruella sortie le 28 mai 2021 – Clone Wars sortie courant février 2020 – Black Panther 2 sortie le 6 mai 2022
The Boys (2019) 8/10 – Les décalés du cosmos – Ze film (2008) 5/10 – Alita (2019) 1/10 – Spiderman: New Generation (2018) 9/10 – Mutafukaz (2017) 4/10 – Hereditary (2018) 2/10- One Piece film: Gold (2016) 1/10 – Shazam! (2019) 5/10 – Mortal Engines (2018) 1/10 – Dark Tower (2017) 1/10 – Love, Death & Robots (2019) 8/10 – Le grand bain (2018) 6/10 – BH90210 (2019) 7/10 – The Haunting of Hill House (2018) 6/10 – MIB: International (2019) 1/10 – Pokemon: Détective Pikachu (2019) 5/10
Quentin Tarantino pourrait arrêter le cinéma si Once Upon a Time.. In Hollywood est bien reçu. Le réalisateur n’irait donc pas jusqu’aux 10 films qu’il s’était fixé, se tournant vers l’écriture où le théâtre et pourtant on apprend à la fin du mois qu’il aurait envie de faire un Kill Bill vol.3. Affaire à suivre…
The Mask pourrait revenir au cinéma 25 ans après sa sortie mais sous des traits féminins, c’est l’envie du moment pour les studios, encore une fois, il essaye de recycler plutôt que de faire du neuf… Quand comprendront-ils qu’on veut de la nouveauté et non du recyclage?
Selon une nouvelle étude, Harry Potter rendrait les gens meilleurs dans la vie, les spécialistes affirment que les vrais fans du sorcier seraient beaucoup plus liés à leurs amis, ils seraient plus tolérants envers les groupes stigmatisés et auraient tendance à développer une plus grande empathie envers les minorités. Ah… Harry Potter, tu n’as pas fini de me surprendre.
Quentin Tarantino a fait la liste de 10 films à voir avant de regarder son nouveau long-métrage Once Upon a Time… In Hollywood qui sortira le 14 août.
En juillet, James Cameron félicite Avengers Endgame, on apprend que la nouvelle petite sirène serait Halle Bailey et qu’Ursula sera surement interprétée par Melissa McCarthy, la quatrième phase Marvel s’est dévoilé (voir plus bas) dévoilant les nouveaux venus (Angelina Jolie, Mahershala Ali..) mais annonçant aussi le retour de la belle Natalie Portman. Après un biopic sur Freddie Mercury et sur Elton John c’est au tour du roi du Rock’n’Roll le grand Elvis Presley d’avoir son long-métrage, c’est Austin Butler qui devrait interpréter le King of Rock et derrière la caméra on devrait retrouver Baz Luhrmann, en juillet, on apprend aussi que Samuel L. Jackson devrait rejoindre Chris Rock dans le prochain SAW, Amazon veut adapter Souviens-toi l’été dernier en série télé et pour finir on apprend avec joie que Nick Castle l’interprète original du grand tueur en série Michael Myers reprendra son rôle dans les deux futurs films Halloween.
Sherlock Holmes 3 sortie le 29 décembre 2021 – Halloween Kills sortie le 16 octobre 2020 – Halloween Ends sortie le 15 octobre 2021 – Zombieland 2 sortie le 18 octobre 2019 aux Etats-Unis – Eternals sortie le 6 novembre 2020 – Shang-chi and the legend of the rings sortie le 21 février 2021 – Doctor Strange and the multiverse of madness sortie le 7 mai 2021 – Thor, love and thunder sortie le 5 novembre 2021 – Black window sortie le 1 mai 2020.
L’empereur de Paris (2018) 1/10 -Nicky Larson et le parfum de Cupidon (2018) 1/10 – Hellboy (2019) 6/10 – Guardians (2017) 2/10 – Les goonies (1985) 6/10 – Les survivants (1993) 3/10.
Réalisé par: James Wan Année: 2018 Durée: 2h23min Note: 4/10
Ah… les super-héros DC sur grand écran n’ont jamais réussi à gagner mon petit coeur (sauf Batman qui est l’exception qui confirme la règle) alors quand je vois une sortie DC prévu, j’ai toujours tendance à y aller à reculons, c’est donc sans aucune attente que j’ai lancé Aquaman me disant dans le pire des cas que je me serais fait plaisir aux yeux.
Remettre au goût du jour Aquaman n’était pas une chose facile, ce super-héros hyper kitsch n’était pas une mission facile, James Wan a relevé le défi en se lançant dans une super production, loin de son confort habituel. Un défi réussit par le réalisateur qui redonne à Aquaman un côté sexy et mature nous replongeant aux origines du justicier des océans. Certes, le film redresse le niveau après l’erreur, que dis-je, le raté Justice League mais n’arrive toujours pas à se montrer au niveau des Marvel ne trouvant pas ce petit quelque chose qui fera de ses héros, des super-héros à la hauteur.
Et pourtant, le réalisateur avait beaucoup d’ambitions qui sonner juste mais n’ont jamais réussi à sortir la tête de l’eau. James Wan signe un film assez prévisible qui a du rythme mais qui se noie dans une bouillie numérique, des dialogues pleins de blague qui tombe à l’eau, des personnages vides de caractère et des solutions de facilité. Khal Drogo nous manque, la petite sirène Amber nous fait la morale et Nicole Kidman fait des choix prévisibles.
Aquaman est un film encore une fois fait pour un public trop large, un pur nanar plein d’effets spéciaux gâchés qui aurait pu tomber dans les abysses de l’oubli mais qui finalement arrive à faire son job: divertir.
Réalisé par: Joe & Anthony Russo Année: 2018 Durée: 2h29 Note: 1/10
Ecrire sur Avengers: Infinity War a été une grande source d’hésitation pour moi, la première raison étant assez simple, la première fois que je l’ai vu je l’ai trouvé assez insipide, sans vie, long, mou et je pourrais continuer encore longtemps… heureusement étant une amoureuse de la première phase Marvel et les bandes-annonces du second volet titillant ma curiosité, j’ai donc décidé de revoir ce premier film et je dois avouer que j’ai pu revenir un tout petit peu sur mes premières idées.
Après 10 ans a enchainé les présentations de personnages et les rencontres, ils se réunissent enfin pour vaincre le grand méchant de la galaxie Thanos! Avec une idée aussi grande, on pouvait s’attendre à beaucoup de choses mais on a clairement eu pas grand-chose sur ce premier opus. Avengers: Infinity War est un film frustrant, on enchaine les scènes ponctuées de dialogues redondants où tout le monde demande à tout le monde de le tuer pour finir par une scène de combat assez insipide, brouillonne, sans grande nouveauté, personnellement j’aurais aimé un film plus apocalyptique, plus sombre, plus intense…
Heureusement certaines petites choses on réussit à me faire frétiller sur mon canapé, la première étant bien sûr les retrouvailles avec Benedict Cumberbatch en Doctor Strange, qui fait une nouvelle fois mouche dans cet univers de super-héros un peu trop redondant et rouiller à mon goût, j’ai pris plaisir à l’entendre parler, j’ai pris plaisir à le voir combattre, j’ai pris du plaisir! le second point positif que je retiens du film est l’idée de diviser tous ces super-héros en groupe (assez inattendu pour certains), on évite grâce à ça le trop et on donne au scénario un côté innovant qui tient la route, chacun ayant sa propre quête dans l’intérêt d’un but commun, malheureusement, très peu de ces groupes fonctionnent, souvent trop mielleux ou trop prévisible.
Avengers: Infinity War est un spectacle visuel à la hauteur des attentes mais sans grandes surprises, l’humour est une nouvelle fois au rendez-vous mais il n’arrive pas à retrouver cette petite étincelle qui l’avait pu avoir dans Les gardiens de la galaxie, les personnages sont assez plat et mal travaillés et la bande-son est sans grand intérêt, le film est clairement une mise en bouche pour un second volet qui on l’espère libèrera enfin tout son potentiel.
Réalisé par: Ruben Fleischer Année: 2018 Durée: 1h52 Note: 2/10
Quand je vois l’affiche de Venom pour la première fois, je me dis « Youpi », je me surprends à rêver d’un film adulte tourné avec la dérision d’un Deadpool, aussi sanglant que drôle, puis je vois la première bande-annonce et là, le doute s’installe tel un symbiote qui essaie de s’emparer de moi, et je me souviens que les studios ne pensent pas aux spectateurs mais à la rentabilité d’un film, je finis donc par me demander où on va… Venom est un film sans originalité qui insulte plus qu’il ne rend hommage à l’un des antihéros les plus charismatiques de l’univers Marvel.
Au départ la recette était bonne, en base on avait le grand Venom, pour le jouer Tom Hardy, à la réalisation Ruben Fleischer (Bienvenue à Zombieland) jusque-là on avait d’assez bons ingrédients et d’un coup ! Quelqu’un a pris le mauvais moule, transformant notre antihéros en super-héros, à partir de là, c’était foutu, impossible de réussir la recette après une erreur si grosse. On connaît la suite, un scénario et un montage brouillon, une impression d’oubli de scènes, des scènes de baston sans une goutte de sang, une complicité symbiote/humain digne d’une cour de maternelle (Dis, tu veux être mon copain?) et pour finir on a un film qui fait le grand écart entre action et comédie romantique du niveau d’un téléfilm de M6. En bref, une recette ratée…
En choisissant d’être vu par un public large, les studios ont tué Venom dans l’oeuf et nous laisse en bouche un goût amer et un sentiment d’inachevé.
Réalisé par: Corin Hardy Année: 2018 Durée: 1h36min Note: 1/10
Il était une fois, au tréfonds de la Roumanie, un abbaye perdu, pendu devant la porte de ce cloitre une nonne, l’Église catholique entendant les faits décida d’y envoyer un prêtre et une future nonne pour mener l’enquête.
Contrairement à Annabelle qui n’avait fait qu’une petite apparition dans le premier Conjuring, Valak la figure démoniaque qui prend l’apparence d’une nonne fait partie intégrante du second opus, un point négatif qui rend ce second origin-movie de suite moins mystérieux et moins intéressant. Heureusement pour nous les studios savent jouer du marketing et nous pondent une affiche qui promet « Le chapitre le plus terrifiant de l’univers Conjuring » accompagné d’une bande-annonce assez bien monté, alors on se dit pourquoi pas? ERREUR!
Comme à chaque fois, ils avaient les bonnes idées mais une nouvelle fois, elles sont travaillées avec les pieds, le but étant bien évidemment de toucher un public large. Le peu de bonnes idées est submergés par un flot continu de jump-scare inutile et d’effets spéciaux des plus douteux, personnellement je pense qu’ils auraient dû jouer sur la suggestion, en nous faisant voir très peu du visage du démon et en nous montrant juste une forme de nonne (comme ils ont parfois pu le faire), l’idée aurait été beaucoup plus judicieuse, plus efficace et aurait surement couté moins cher. The Nun est un film prévisible, toutes personnes avec un peu de connaissance dans le genre, pourra prévoir de A à Z le déroulement du film. On enchaîne cliché sur cliché, appliquant à la lettre le cahier des charges du film d’horreur créant un ensemble ennuyeux qui pue le réchauffer.
La nonne est un film scolaire qui part dans tout les sens avec des personnages inutiles, mal travailler, qui ne colle pas à leurs rôles et qui font des actions stupides. Corn Hardy avait la chance d’avoir un décor de rêve pour un film d’horreur et cette cohérence qui existe entre les films du Conjuring-verse, malheureusement le film se parodie du début jusqu’à la fin et se termine avec une conclusion trop vite expédiée. En bref, rien de nouveau dans le monde de la possession démoniaque, passer votre chemin.
Voir aussi: The Conjuring, The Conjuring 2, La malédiction dans le monde du cinéma
Réalisé par: Andy Serkis Année: 2018 Durée: 1h44min Note: 6/10
Une nouvelle fois, on nous propose une adaptation live d’un grand classique Disney de notre enfance, pour ce nouveau film sur l’histoire du Livre de la Jungle, je dois avouer que c’était très mal parti, n’étant de base pas fan des adaptations live et encore moins fan du Livre de la Jungle, c’est clairement à reculons que j’allais découvrir cette nouvelle vision de l’histoire du jeune Mowgli.
Andy Serkis se met derrière la caméra et s’approprie avec finesse l’histoire du roman de Rudyguard Kipling et nous éloigne de l’histoire racontée par le géant Disney, en nous offrant un récit plus réaliste, un peu plus humain, un peu bestial et beaucoup plus sombre. Forcément tout n’est pas bon, le film met du temps à se lancer, certains personnages sont clairement inutiles justes présents pour accrocher un public plus large (merci les studios) et les effets spéciaux restent assez mitigés, on aurait pu s’attendre à un peu mieux de la part du grand « Gollum ».
Heureusement tout n’est pas noir dans ce monde! Le film à la chance d’être porté par un casting rempli de personnalités talentueuses et d’avoir une histoire qui contre balance avec les points négatifs en offrant un agréable moment. Le réalisateur arrive à trouver le juste milieu entre le monde des humains et celui de la jungle, en choisissant de ne favorisé aucun des deux mondes il reste juste et arrive à aborder quelques sujets d’actualité comme la déforestation ou encore la cruauté des hommes fasse aux animaux sauvages sans jamais l’imposer au spectateur.
Andy Serkis réalise un Mowgli assez maladroit mais arrive à sortir du lot grâce à une vision nouvelle plus sombre et plus intimiste du conte. Mowgli: La Legende de la Jungle est un film inattendu et assez surprenant.
Voir aussi: La belle et la bête (2014), Into the Woods (2014)