Le 7e art offre à la cuisine du monde entier une vitrine qui peut être vue de tous. Grâce au cinéma nous pouvons découvrir des recettes inconnues ou connues qu’on avait pu oublier ou louper, il façonne ainsi notre identité et nos envies, en nous faisant découvrir le bien manger comme la malbouffe. Le cinéma célèbre souvent la cuisine, nous faisant très souvent saliver devant nos écrans (petit ou grand), Le Bruit du Cinema ouvre un nouveau dossier qui vous fera je l’espère saliver d’envie.
Parce que l’amour au cinéma n’est pas toujours rose, parce que la fin n’est pas toujours celle que l’on croit où celle que l’on veut, Le Bruit du Cinema réouvre son dossier A chacun son happy-ending. Découvrons ou redécouvrons ensemble des histoires qui ne finissent pas forcément dans la joie et l’amour total, parce que l’amour c’est aussi savoir lâcher prise et laisser partir l’être aimé.
Si vous continuez, il faut savoir que je ne vous raconte pas la fin du film mais comme l’indique le dossier je vous révèle que la fin n’est pas forcément des plus heureuses.
Réalisé par: Joe Wright Année: 2007 Durée: 2h3min Genre: Romance, Drame Note: 7/10 Achat-Location: VOD
1935. Briony veut être romancière. Quand elle surprend sa soeur aînée dans les bras d’un fils de domestique, sa réaction provoque une tragédie.
Reviens-moi est un film sophistiqué et réaliste qui vous entraîne dans une romance passionnée et intéressante à la fin inattendue.
Réalisé par: Lone Scherfig Année: 2011 Durée: 1h47min Genre: Romance, Drame Note: 5/10 Achat-Location: VOD
Lui est insouciant et frivole, elle est bourrée de complexes. Pendant 20 ans, Dexter et Emma vont s’adorer, se séparer, se détester, se manquer…
Un jour est une histoire d’amour au format original qui ne cède pas à la facilité et qui évite avec intelligence les stéréotypes du genre.
Réalisé par: William Wyler Année: 1953 Durée: 1h58min Genre: Comédie, Romance Note: 6/10 Achat-Location: VOD
Les tendres amours, le temps d’une journée, d’une princesse fugueuse et d’un séduisant journaliste américain, dans la Ville éternelle, Rome.
Vacances Romaines est une histoire douce et amère enveloppée de délicatesse et d’élégance qui nous emporte le temps d’un instant dans les rues de Rome.
Réalisé par: Baz Luhrmann Année: 1996 Durée: 2h Genre: Drame, Romance Note: 8/10 Achat-Location: VOD
Adaptation de la plus célèbre pièce de Shakespeare, évoquant la passion d’un jeune couple appartenant à deux familles ancestralement ennemies, replacée à notre époque de bruit et de fureur mais avec le texte intégral de l’auteur.
Romeo + Juliette débarque dans les années 90 pour une tragédie romantique époustouflante, audacieuse et dynamique dans un univers loufoque, coloré et brutal.
Réalisé par: Jerry Zucker Année: 1990 Durée: 2h7min Genre: Romance, Fantaisie, Drame Note: 8/10 Achat-Location: VOD
Sam Wheat, cadre dans une banque d’affaires new-yorkaise, vit avec une jeune femme sculpteur, Molly Jensen. Ils s’aiment mais tout bascule lorsque Sam Wheat est agressé dans la rue et abattu. A sa grande surprise il se voit mort. Devenu fantôme, il va s’apercevoir que sa mort n’est pas fortuite et que la vie de Molly est en danger.
Avant d’être une histoire de fantôme, Ghost est une romance enchanteresse qui laisse un léger goût amer en bouche. Le film réussi a se faire une place dans l’antre sacré de la comédie romantique malgré une fin pleine de tristesse et de tendresse. L’amour plus fort que la mort ? Si seulement…
Réalisé par: Lone Scherfig Année: 2011 Durée: 1h47min Note: 5/10 Achat: VOD
Emma et Dexter passent la nuit ensemble après leur soirée de fin d’étude et décident…de rester amis. Lui est insouciant et frivole, elle est bourrée de complexes. Pendant 20 ans, Dexter et Emma vont s’adorer, se séparer, se détester, se manquer…
Un jour est un film qui ne cède pas à la facilité et qui évite avec simplicité les stéréotypes du genre, pour offrir une histoire romantique au format original qui surprendra ceux qui n’ont pas lu le livre. Une petite pépite assez méconnue.
Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !
Coming soon…
Réalisé par : Wes Ball
Année : 2015
Note : 6/10
Achat :
Wes Ball assure une transition presque parfaite pour cette odyssée young-adult.
On quitte le monde statique du labyrinthe pour une course-poursuite apocalyptique en retrouvant nos héros là où on les avait laissés, c’est-à-dire dans l’hélicoptère. Thomas et ses camarades gagnent leur liberté pour mieux la perdre en tombant une nouvelle fois dans les griffes de WICKED, tout ce beau monde s’échappe une nouvelle fois vers le monde extérieur devenu un désert apocalyptique infesté d’infectés. Nouvelle fuite, nouveau plan, le groupe décident de partir à la recherche d’un groupe de résistants qui pourrait leur donner des réponses.
Un deuxième film qui échappe aux pièges du simple film de transition en gardant tous les codes du film ditopique young-adult, mais en continuant à se créer une personnalité propre. The Maze Runner était une bonne surprise, Maze Runner: The Scorch Trials en est une nouvelle, au revoir les araignées/bioniques, bonjour les infectés version The Last of Us qui viennent rajouter un petit côté horrifique à la saga lui donnant un peu plus d’épaisseur.
Wes Ball n’a malheureusement pas tout juste, une absence d’évolution des personnages empêche une nouvelle fois l’attachement avec ces derniers, le voile sur l’amnésie de Thomas s’épaissit sans se développer ne jouant pas en la faveur de l’histoire, certaines scènes dans le film sont difficilement explicables donnant une impression de n’être là que pour combler certains trous de l’intrigue qui reste malgré tout suffisamment bien ficelée pour donner envie de découvrir la suite.
Si l’on fait le bilan avec mon premier article sur le premier volet, le défaut des scènes dans le noire a été réglé, les petits moments qu’il manquait pour s’identifier aux personnages ne sont toujours pas là, mais il y a du bon aussi grâce à une mise en scène tonique Wes Ball arrive une nouvelle fois à capturer le spectateur dans ce labyrinthe qu’est la saga, le réalisateur prouve en grande partie qu’il est capable d’apprendre de ses erreurs en essayant de nouvelle chose. S’il reste sur cette ligne directive le troisième volet devrait promettre un dénouement intéressant.
Voir aussi: The Maze Runner, The Giver
LE BRUIT DU CINEMA 