Les badass du cinéma

La dernière fois, j’ai mis trois femmes à l’honneur, dans les badass du cinéma, l’homme a aussi sa place, ce mois-ci ce sont eux que je vais mettre à l’honneur. Trois hommes qui ont réussi à marquer le cinéma en jouant des rôles forts et puissants, qu’ils se battent, qu’ils parlent, qu’ils pleurent, tout dans leurs façons d’être est badass!


  • Hugo Weaving est V dans V pour Vendetta

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Réalisé par: James McTeigue   Année: 2005   Durée: 2h12   Note: 10/10   Achat: VOD


Personnage de fiction tiré d’un comic créé par Alan Moore et David Lloyd en 1982 et adapté au cinéma par les Wachowski et James McTeigue, V est un personnage fort au convictions fortes qui évolue dans une société dystopique où la liberté n’est plus autorisée, il sera la voix du peuple, le personnage qui ouvrira la porte au changement offrant au peuple une porte de sortie à la tyrannie.

Le saviez-vous ?

  • À l’origine un micro avait était prévu dans le masque et un autre était caché dans les cheveux de V mais le résultat final n’était pas bon, ils ont donc décidé de refaire tous les dialogues du personnage en studio.
« People should not be afraid of their governments. Governments should be afraid of their people. »

 

  • Michael Jai White est Black Dynamite dans Black Dynamite

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Réalisé par: Scott Sanders   Année: 2009   Durée: 1h24   Note: 6/10   Achat: VOD


Personnage de fiction créé en 2009 pour le film Black Dynamite parodie des films blaxploitation, genre très populaire dans les années 70. Mais qui est Black Dynamite ? C’est un type redoutable, un type cool, qui pratique le kung-fu, qui terrorise la racaille et qui est bien sur très populaire auprès de la gent féminine. Un badass rétro qui fait sourire et assure le spectacle.

Le saviez-vous ?

Le gag sur l’anaconda black liquor est inspiré du mythe qui tourne autour de l’enseigne Chruch’s Chicken qui aurait mis du poison dans leurs plats pour essayer de tuer des personnes noires.

« Because donuts don’t wear alligator shoes »

 

  • Bruce Willis est John McClane dans Die Hard: Piège de Cristal

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Réalisé par: John McTiernan   Année: 1988   Durée: 2h12   Note: 9/10   Achat: VOD


Personnage de fiction créé en 1988 pour le film Die HardJohn McClane est le badass par excellence, celui qui se retrouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment, il en aura déjoué des complots grâce à son esprit et sa force, devenu culte dans le monde du cinéma, John McClane mérite sa place dans la liste des héros badass!

Le saviez-vous ?

La scène où Bruce Willis et Alan Rickman se rencontrent n’a pas été répété pour créer un plus grand sentiment de spontanéité.

« No fucking shit, lady! Does it sound like I’m ordering a pizza?! »

Le vendredi en série

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Sherlock

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Genre: Crime, Drame, Mystère   Année: 2010   Chaine: BBC One   Durée: 90min


The game is on.

Surprenant de nouveauté, quand Sherlock est arrivé en 2010 ce fut une petite révolution, des épisodes 1h30, un duo innovant et original plein de malice et de sensibilités, des histoires passionnantes, un délice pour tout amateur de séries. Sherlock made in BBC se réapproprie le grand Sherlock Holmes et son acolyte le Docteur Watson revisitant certaines des plus célèbres enquêtes des deux compères en offrant aux enquêtes une interprétation plus moderne se déroulant au 21ème siècle, un pur délice.

Disons-le clairement, pour Sherlock, je ne serais pas objective, mon amour pour ce duo d’acteurs est trop grand. Benedict Cumberbatch livre une performance extraordinaire, à prenant les traits de ce sociopathe de haut niveau qu’est Sherlock Holmes, arrogant et prétentieux mais au fond plein d’humanité. Quant à son acolyte le Docteur Watson, c’est le tendre Martin Freeman qui l’incarne à la perfection, plein de sensibilité, de calme et de bienveillance. Une alchimie parfaite entre les acteurs et les personnages qu’ils incarnent, une plus-value pour cette série qui avait déjà des scénarios brillants.

Moderniser Sherlock était un pari risqué mais surtout osé de la part de Steven Moffat et Mark Gatiss, les deux compères ont réussi à tenir toutes leurs promesses sans jamais détériorer l’oeuvre originale de Arthur Conan DoyleSherlock est une petite pépite qu’on prend plaisir à savourer pour ses histoires mais surtout pour son casting extraordinaire rempli de talents immenses.

All lives end, all hearts are broken. Caring is not an advantage, Sherlock.

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LeBruitduCinema balance du Pilot: Mars 2016

Nouvelle catégorie pour ce nouveau mois, chaque mois je regarde de nouvelles séries et je n’ai pas forcément le temps de vous en parler, alors j’ai décidé de lister chaque mois les pilots de série que j’ai vue avec un petit commentaire sur mon ressenti, en attendant un article plus poussé. Le petit bonus arrivera le mois prochain, je pique l’idée de Pierre Langlais en glissant un pilot d’une ancienne série que j’aurais revue.

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Une entrée en matière un peu trop facile, trop de déballage pour un premier épisode, une série qui pourrait manquer d’intensité. Je me demande même si pour apprécier Damien il ne faudrait pas revoir The Omen.

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La série qui regroupe tous les clichés du slasher, le casting n’est pas des plus appréciables, une série qui pourrait devenir lassante au fil des épisodes,

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Une série qui joue sur le mystère assez similaire à Revenge, The Family sera à mon avis une série que l’on regarde d’un oeil en faisant autre chose à coté.

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Une série policière qui s’annonce profonde et complexe, mais qui malheureusement, pour le moment, ne m’a pas touché particulièrement.

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La petite surprise de ce mois-ci, après avoir vu la bande-annonce on s’attend à une série de copains qui vont voir arriver dans leur vie la fille parfaite, mais plus on avance dans le premier épisode, plus on se rend compte que la série pourrait se révéler plus profonde.

Affaire à suivre…