Un chasseur de phénomènes paranormaux cherche désespérément une maison maudite où une mère et son enfant ont été les victimes d’un drame il y a bien longtemps.
Ju-on: Origins revient comme son nom l’indique sur les origines de la saga éponyme Ju-On (The Grudge). L’histoire de la série s’étale sur 10 ans, dix années d’horreur, qu’on découvre sur 10 épisodes de 30min.
Cette série, en plus, d’être un hommage, redonne un petit souffle à l’univers fantomatique de Ju-On. Elle fait peau neuve, en s’offrant une nouvelle esthétique et une histoire un peu plus profonde qui se joue des faits-divers sordides des années 80-90 qui ont eu lieu au Japon.
Dans l’ensemble, Ju-On: Origins est une petite réussite, à qui l’on reprochera quelques passages brouillons et un zigzag entre les années parfois un peu confus pour le spectateur. La série arrive à donner un souffle nouveau à cet univers qui s’était essoufflé depuis plusieurs années.
Les inspirations
L’onryō (怨霊) est un fantôme malveillant (généralement des femmes) qui revient dans le monde des vivants afin de régler ses comptes, rester en suspens dans sa vie passée.
Contrairement aux fantômes occidentaux, l’onryō peut influencer ou blesser les vivants, il pourrait même causer des catastrophes naturelles.
Le grand plaisir de l’onryō est de tourmenter leurs anciennes connaissances et familles. Il attend généralement des semaines voire des mois avant de passer à l’attaque. De cette façon, il peut d’abord observer qui porte le deuil de son décès et qui ne le porte pas.
La légende d’Oiwa
Oiwa était l’épouse du samouraï Lemon, un homme ambitieux qui dans sa quête de pouvoir et d’argent, décidera de monter un complot pour tuer sa femme et épouser la séduisante et riche Oume.
D’après la légende, Oiwa sera brutalement tué par son mari qui épousera par la suite la jeune Oume.
Le soir de ses noces, l’esprit vengeur d’Oiwa reviendra hanter son époux et le fera assassiner par sa nouvelle épouse Oume.
Les Vanir ou Vanes sont un des trois groupes de divinités de la mythologie nordique ; les deux autres groupes étant les Ases et les Dises.
Ils sont associés aux cultes de la fertilité, de la fécondité, de la sagesse et de la précognition. Ils sont aussi associés au monde de Vanaheim et à la magie.
La présence de noms de dieux Vanes dans la toponymie atteste de leur popularité et de leur ancienneté.
Blink of an eye
Dans cet épisode Dean mentionne la ville de Salem et un ami qu’il recherche, un petit clin d’œil à la série Des jours et des vies (Days of Our Lives) qui se passe dans la ville de Salem et dans laquelle l’acteur a joué.
Spoiler Alert
La scène dans laquelle, les habitants de la ville discutent de la nécessité d’un sacrifice qui se passe sous des parapluies, est un clin d’œil à la série X-Files qui a une intrigue similaire.
Alyson Hannigan affirme que deux versions ont été filmées pour la scène où Cordelia et Willow découvrent la salle pleine de corps.
Une première version plus docile pour le public américain et une seconde version plus sanglante pour le public d’Europe.
Cet épisode fait partie des 10 favoris de Joss Whedon.
The Big Bad
The Big Bag est un terme qui désigne le grand méchant que le scoobygang affronte. L’expression sera inventée au cours de la saison 2 et perdurera jusqu’à la fin de la série.
Le premier clin d’œil est au début de l’épisode quand Sam raconte à Dean pour la première fois qu’il a des visions. Dean l’appellera avec humour « His Shining ».
Le deuxième clin d’œil est le singe avec les cymbales qui fait référence à la nouvelle « The Monkey » publiée en 1980 et incluse dans le livre « Skeleton Crew » en 1985.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Loretta Devine devait avoir un plus grand rôle dans la série mais l’actrice étant engagée dans la série Grey’s Anatomy pour un rôle régulier, elle n’a pas pu se joindre à l’aventure Supernatural. Les auteurs ont donc créé Bobby Singer pour combler le vide laissé par le personnage Missouri Moseley.
C’est le premier épisode qui dit explicitement que Sam a une sorte de pouvoir psychique.
C’est la première fois, qu’on voit Dean exprimer sa vulnérabilité et ses émotions.
Quand Poltergeists’invite dans Supernatural
Quand Sam se dit, se sentir mal à l’aise par rapport à la maison libérer du Poltergeist. Dean lui répond: « Why? Missouri did her whole Zelda Rubinsteinthing. The house should be clean. This should be over. »
Zelda Rubinstein est l’actrice qui a joué la médium dans le film Poltergeist.
Quand le poltergeist apparaît dans l’armoire de la chambre de la petite fille on peut voir suspendu un clown, petite référence au film, Poltergeist.
Le titre de l’épisode (Out of Mind, Out of Sight), est un twist de la phrase « Out of Sight, Out of Mind » (Hors de vue, hors de l’esprit) qui veut grossièrement dire celui qui part est vite oublié.
Dans l’épisode, c’est le fait que Marcie soit ignorée alors qu’elle est présente qui l’a rend invisible.
Quand le gouvernement s’en mêle…
C’est la première fois que le gouvernement se montre et montre sa connaissance du surnaturel.
Les agents du FBI ont pour mission de capturer l’invisible Marcie Ross pour en faire un assassin ou une espionne.
Ce thème sera un peu plus développé dans la saison 4 avec l’Initiative.
Bloody Mary (Marie la sanglante) est représenté dans le folklore anglo-saxon comme un fantôme où une sorcière, Son origine remonterait à Mary Tudor.
Son histoire varie d’une légende à une autre. Parfois elle prend les traits d’une femme qui aurait perdu son enfant et se serait suicidée, parfois celle d’une femme morte en couche et parfois les traits d’une fille de docteur qui aurait contracté la diphtérie et qui aurait été enterré vivante par son père.
La minute Paris Hilton
Quand Sam utilise le mode nocturne sur sa caméra, Dean lui dit: « Do I look like Paris Hilton ? » Il fait peut-être référence à la sextape que cette dernière a faite en 2004 avec Rick Salomon.
C’est aussi, un petit clin d’œil pour Jared Podalecki qui a fait ses débuts dans le film « House of Wax » avec Paris Hilton.
Quand Sam inspecte un miroir avec une lumière noire, il semble que dans l’empreinte de la main se cache le S de Superman. Petit clin d’oeil à Jensen Ackles qui a joué dans la série Smallville.
Le massacre de Glencoe s’est déroulé dans la vallée de Glen Coe en Écosse, tôt le matin du 13 février 1962. Le massacre débuta simultanément à Invecoe, Inverrigan et Achaconmais s’étendit à toute la vallée après la fuite des MacDonald.
Trente-huit hommes du clan MacDonald furent tués par ceux qui leur avaient accordé l’hospitalité. Quarante femmes et enfants moururent de froid après l’incendie de leurs maisons.
Les assassins avaient été envoyés par des conseillers du roi d’Angleterre Guillaume III.
Le petit changement important
Dans le livre Robb Stark doit laisser son loup dans un chenil à l’extérieur du château de Walder Frey.
Dans la série les auteurs ont préféré laisser le loup avec Robb Stark car ils estimaient que la suite de l’histoire deviendrait beaucoup trop prévisible.
À l’origine Joss Whedon voulait inclure Eric Balfour (Jesse) dans le générique d’ouverture de cet épisode pour tromper le téléspectateur. Il voulait faire croire qu’il était un personnage régulier de la série pour que le spectateur soit choqué à la mort du personnage.
Mais la demande était trop couteuse et complexe pour être mené à bien. Dommage…
On l’a refait !
La scène où Angel prévient Buffy sur les Harvest était la scène d’audition de David Boreanaz.
La scène où Buffy et Giles parle au Bronze était la scène d’audition d’Anthony Head.
Les origines
Le Maître aurait dû avoir une barbe et de long cheveux mais Mark Melcalf a suggéré de le faire chauve pour rendre hommage au Count Orlox (Max Schreck) dans Nosferatu, le vampire (1922).
À l’origine, le Maître devait sortir d’une mare de sang et en être recouvert pendant tout l’épisode mais l’idée étant trop complexe, elle a été abandonnée.
Joss Whedon a réussi à créer avec Buffy The Vampire Slayer quelque chose d’extraordinaire, il a créé une série qui parle à tout le monde et qui abordé tous les sujets. Le scoobygang a grandi avec nous alors comme pour Supernatural, Le Bruit du Cinema se replonge dans l’univers de La Tueuse pour lui rendre hommage. Contrairement à Supernatural, je ne posterais pas les épisodes dans l’ordre mais aléatoirement.
A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l’ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n’est pas facile. Et c’est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, mais qui la nuit part à la chasse aux vampires !
Rendez-vous le 4 décembre pour la redécouverte d’un premier épisode.
La Llorona est un fantôme issu du folklore mexicain. Selon la légende, La Llorona se présente comme l’âme en peine d’une femme ayant perdu ou tué ses enfants. Les cherchant dans la nuit près d’un fleuve ou d’un lac, elle effraye ceux qui entendent ses cris de douleur perçants.
Il existe plusieurs versions de cette histoire selon les régions, mais en règle générale, elles s’accordent toutes plus ou moins entre elles.
David Nutter ThePilot King
Un panel de Pilot
Space: Above and Beyond (1995) – Millenium (1996) – Sleepwalkers (1997) – Roswell (1999) – Dark Angel (2000) – Smallville (2001) – Without a Trace (2002) – Dr Vegas (2004) – Tarzan (2003) – Jack & Bobby (2004) – Supernatural (2005) – Traveler (2006) – Terminator: The Sarah Connor Chronicles (2007) – The Mentalist (2008) – Eastwick (2009) – Chase (2010) – The Doctor (2011) – Arrow (2012) – The Flash (2014) – Deception (2018).
Réalisateur de l’épisode « The Rains of Castamere« de Game of Thrones.
Une autre dimension
Dans une des versions proposées au studio, l’épisode se terminer sur les frères Winchester qui trouvaient leur père coller au plafond.
Dans une autre version, Sam suspectait son frère Dean d’être un tueur en série qui aurait assassiné son père.
C’est le seul épisode qui a été tourné à Los Angeles. Le reste de la série sera tourné à Vancouver au Canada.
Rock’n’Roll
Quand Dean est interrogé par la police, il donne le nom de Ted Nugent. Ce nom sera le premier pseudonyme de la série à faire référence à l’univers Rock.
Sombre et élégante, Penny Dreadful transforme avec adresse le folklore de la littérature anglaise en un tableau somptueux, qu’on admire avec fascination. La magie entoure cet univers mystérieux aux protagonistes romanesques qui nous envoutent et nous entrainent dans un abysse à la découverte de l’innommable vérité de la nature humaine.
Qu’elle soit bonne ou mauvaise, la nature humaine est complexe et difficile à expliquer. Penny Dreadful tire les bonnes ficelles et s’approprie le sujet avec fluidité et souplesse, grâce à une écriture et une mise en scène soignée et un casting talentueusement charismatique.
Penny Dreadful est une histoire qui nous conte la beauté et les vices de la nature humaine, de la croyance et du culte. Cette histoire est une aventure inespérée qui frôle la passion.
Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…
Un penny pour un Penny Dreadful
Un penny dreadful est un vieux terme utilisé au cours du XIXe siècle au Royaume-Unis qui représentait un genre littéraire populaire et bon marché.
Il s’agissait d’histoire macabre inspirées plus ou moins de faits divers réels, publiée sur plusieurs semaines.
Elles étaient vendues sous forme de petits livres sur du papier de qualité médiocre et valaient un 1 penny.
Hécate
Hécate est une déesse de la Lune, fille du titan Persèset titanide Astéria.
Elle fait partie de la Triade Lunéraire où elle représente la nouvelle lune, symbole de la mort. À ses côtés se trouve: Séléné, la pleine lune, symbole du cycle et Artémis, le croissant de lune, symbole de la naissance.
Les Adieux
Eva Green ne voulait pas que la dernière scène qu’elle joue en tant que Vanessa Ives, soit sa mort.
L’actrice ne voulait pas quitter le personnage dans ces circonstances.
La dernière scène que l’actrice a filmée, était celle où Vanessa est seule dans sa chambre et regarde l’espace vide dans le mur ou était la croix.
Lawrence Talbot
Lawrence Stewart « Larry » Talbot également connu sous le nom de The Wolf Man est le personnage principal du film (The Wolf Man) sortie en 1941.
Talbot apparaît aussi dans la littérature au côté de Dracula mais aussi de Frankenstein mais aussi en tant que protagoniste principal dans l’histoire d’Harlan Ellison (A drift just off ilots de Langerhans).
Contrairement au coutume liée au film de loup-garou, dans The Wolf Man, on ne voit jamais la pleine lune.
Aujourd’hui pour la reprise de la rubrique « Le vendredi en série« , Le Bruit du Cinema se replonge dans ces tendres années de jeunesse et se remémore une série qui aura inspiré plus d’un adolescent. Je parle bien sûr de l’incontournable, de la cultissime série, Malcolm in the Middle.
Malcolm in the Middle c’est l’histoire d’un surdoué coincé dans une famille complètement atypique et en même temps si ordinaire. C’est l’histoire d’une famille mythique qui aura marqué des générations (et qui les marquent surement encore).
Malcolm c’est aussi l’histoire d’une série trop sous-estimée qui aujourd’hui rejoint avec fierté le panthéon des séries cultes. Malcolm in the Middle c’est tout simplement l’histoire d’une famille de classe moyenne qui aura révolutionné le monde de la sitcom.
La série contrairement à bien d’autres dans les années 2000 n’était pas une machine à rêve, c’était une sitcom qui mettait en images sans le moindre chichi des situations et des questions de la vie courante. Politique, religion, sexualité ou encore argent, tout y passait pour le plus grand plaisir du spectateur.
Malgré tout, Malcolm n’aura jamais eu la prétention d’expliquer ou de donner une quelconque réponse aux problèmes de la vie, les scénaristes se contentaient simplement avec une finesse d’écriture rare d’utiliser ces sujets comme outils principaux aux rebondissements de leurs gags pour nous offrir des épisodes complets et hilarants.
Malcolm in the Middle est une petite révolution télévisuelle qui doit son succès à un niveau d’écriture impressionnant rempli de sérieux, d’humour et de finesse mais aussi à un casting totalement en osmose et bien sûr à une intarissable créativité.
Malcolm est une sitcom familiale qui aura révolutionné le monde de la télévision. Ce sont des scènes complètement loufoques qui auront marqué les esprits de plus d’une génération. C’est une série qu’on peut voir ou revoir sans jamais se lasser même si on la connaît par cœur. C’est tout simplement du pur plaisir.
On a tous eu un jour le déplaisir de découvrir l’arrêt brutal d’une série qui avait réussi à nous faire vibrer. Arrêter brutalement faute d’audience, tuer dans l’oeuf parce qu’elle était jugée non rentable. Aujourd’hui sur Le Bruit du Cinema, on va revenir ensemble sur cinq séries qui auraient du ou auraient pu continuer et qui nous laisse un goût amer en bouche.
Un médecin légiste star à New York a un secret, il étudie les morts pour une raison : il est immortel. Il travaille avec l’inspecteur Jo Martinez, mettant à l’oeuvre ses capacités dans une différente affaire chaque semaine.
La pensée du Bruit du Cinema
Forever est une série policière au concept assez original qui offrait un léger vent de nouveauté dans le genre. Une série charmante et captivante qui malheureusement sera tuée dans l’oeuf après une seule saison.
Les exploits d’une unité des forces spéciales de la police de Los Angeles, fondée en 2009 lorsque la vallée de San Fernando a été envahie par des zombies, des vampires et des loups-garous. Alors que les scientifiques cherchent encore une réponse à la cause de ce chaos, les membres de cette équipe d’intervention sont chargés d’éradiquer les monstres, ou du moins les contenir dans la vallée.
La pensée du Bruit du Cinema
Death Valley était une série trachy, drôle et pleines de bonnes idées qui mélangeait avec brio un joli panel de créatures fantastique.
Embarquement immédiat dans les vols de la compagnie aérienne la plus glamour des années 60 : la Pan American World Airways. Destination : New York, Paris, Berlin et bien d’autres villes du Monde. A bord : de jolies hôtesses, accueillantes et chaleureuses, dont les passés respectifs renferment de mystérieux secrets; le commandant de bord et son co-pilote; et bien évidemment des passagers, tous plus différents les uns que les autres…
La pensée du Bruit du Cinema
Envolez-vous le temps d’une saison dans l’univers sympathique de Pan Am pour passé un doux moment rempli de plaisir, d’intrigues amoureuses et d’aventures so vintage !
Genre: Science-Fiction Durée: 45min Chaine: FOX Note: 8/10 Achat: VOD
De quoi ça parle ?
Le capitaine Malcolm Reynolds et son équipage s’efforcent de survivre à bord du Serenity en effectuant diverses missions à travers l’espace.
La pensée du Bruit du Cinema
Firefly est une série qui méritait mieux, c’est une série qui aurait dû avoir mieux! Firefly c’est un peu le Han Solo du petit écran, c’est l’antihéros qu’on aime malgré ses défauts, c’est un space western ingénieux, bien écrit, remplit d’hommage et d’inspiration qu’on prend plaisir à découvrir.
Une jeune étudiante et fan de séries coréennes se retrouve un jour transportée dans un univers magique où elle a le pouvoir de changer le cours de son drame préféré.
La pensée du Bruit du Cinema
Sympathique, drôle et attachante, la série traite les codes du drama d’une façon innovante qui mérite le coup d’oeil.
Firefly c’est l’histoire d’un monde futuriste dominé par l’Alliance, c’est les aventures du capitaine Malcolm Reynolds et de son équipage qui écume l’espace à la recherche de mission pour gagner leur vie. C’est surtout l’histoire d’une alchimie incroyable entre une série et son public (toujours grandissant).
Firefly est une série qui méritait mieux, c’est une série qui aurait dû avoir mieux! Firefly c’est un peu le Han Solo du petit écran, c’est l’antihéros qu’on aime malgré ses défauts, c’est un space western ingénieux, bien écrit, remplit d’hommage et d’inspiration qu’on prend plaisir à découvrir. Firefly c’est la série qu’on regrette, c’est la définition même de l’amertume chez le sériphile.
Joss Whedon arrive avec facilité et talent à conquérir le monde malgré une seule saison de 11 épisodes (diffusé) arrêtés de manière brutale et injuste. Whedon capture nos petits coeurs en créant un attachement subtil et progressif pour 9 personnages, aux personnalités fougueuses et aux répliques aussi intelligentes que kitch. Les intrigues nous emportent dans un espace qu’on imaginait étant plus jeune, variant les plaisirs et gardant un fil rouge accrocheur qui malheureusement nous laissera un goût amer.
Heureusement, un film viendra en 2005 combler le vide laissé par la série en 2002, mais les réponses apporter et la fin garderont ce léger goût amer lié à la série.
Entre amertume, frustration et espoir, Firefly vogue dans un espace inconnu qui peut-être un jour s’offrira une nouvelle fois à nous.
Les années 90 reviennent sur Le Bruit du Cinema, après le teen movie, la romance, la comédie, les dessins animés (séries et films), il était temps d’attaquer les séries qui ont marqué notre jeunesse et qui encore aujourd’hui trottent dans nos petites têtes. Comme pour les séries d’animations, faire un top 10 s’est révélé impossible, la catégorie sera donc divisé en trois tops 10 (peut-être plus…). Il est l’heure de replonger dans la nostalgie des années 90.
Genre: Drame, Romance Année: 1990 Chaîne: FOX Note: 6/10
De quoi ça parle ?
Beverly Hills, Californie : un groupe de lycéens doit jongler entre amitié, amour, crises et drames, avant d’accéder à l’université puis d’entrer dans la vie adulte.
En bref…
Beverly Hills a permis à toute une génération de se divertir mais elle a aussi permis une prise de conscience sur les dangers qui entouraient les jeunes. La série a marqué les années 90 et encore aujourd’hui la petite équipe fonctionne à la perfection.
A chaque génération il y a une élue. Seule elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l’ombre. Concilier scolarité difficile et affrontements nocturnes, ce n’est pas facile. Et c’est pourtant le quotidien de Buffy, une adolescente comme les autres avec ses problèmes affectifs et scolaires, mais qui la nuit part à la chasse aux vampires !
En bref…
Buffy The Vampire Slayer est une série intemporelle qui a réussi à créer quelque chose d’extraordinaire malgré son côté fantastique. La série a réussi à aborder beaucoup de sujets divers et variés (toujours d’actualité aujourd’hui) sans se priver d’aucune idée, une pépite pleine d’amour, de drame et d’action.
A l’origine ennemie d’Hercule, Xena rejoint le côté du Bien, cherchant la rédemption de ses actes passés. A travers ses aventures mythologiques, elle affronte nombre d’ennemis pour soulager les peuples opprimés et leur offrir une vie de paix.
En bref…
Ah… Xena! Qu’est-ce que j’ai pu rêver d’avoir sa tenue (encore aujourd’hui, j’en rêve encore…) Xena, c’est la série des années 90 qui a mélangé histoire et mythologie, c’est l’une des premières séries où j’ai pu découvrir une femme forte qui n’avait pas besoin d’homme pour vivre ses aventures! Xena c’est des dimanches à jouer avec ma soeur, nous imaginant toutes les deux amazones. Xena, c’est ma jeunesse mais c’est aussi la magnifique Lucy Lawless.
Et pour finir, la mise en bouche en générique..
Genre: Drame Année: 1993 Chaîne: CBS Note: 6/10
De quoi ça parle ?
À Colorado Springs, au 19ème siècle, l’arrivée d’une femme médecin va changer la vie des habitants de cette petite bourgade traditionnelle.
En bref…
Une autre femme forte des années 90 qui a bercé mon enfance, Jane Seymour interprète à merveille cette femme qui malgré les difficultés ira jusqu’au bout de ses idées et de son rêve épaulé au fil des saisons par sa famille d’adoption et bien sûr par le beau Byron Sully. Qu’est-ce que j’ai pu rêver de lui, plus j’avance dans ce top ,plus je me rend compte que je tombais facilement sous le charme des beaux hommes dans les séries.
« Il existe des êtres doués d’une intelligence supra normale, des génies qui possèdent entre autre la faculté d’assumer n’importe quelle identité. En 1963, les chercheurs d’une entreprise appelée « Le Centre » ont mis en isolement un de ces êtres, un jeune garçon nommé Jarod et exploitèrent son génie pour des recherches secrètes. Mais un jour, le « Caméléon » leur échappa… »
En bref…
Le Caméléon fait partie de ces séries dont je suis sûre de n’avoir jamais vu la fin, mais ce petit détail n’enlève rien à mon amour pour cette série, que dis-je pour ce duo la stricte Miss Parker et le caméléon Jarod. Fan de Code Quantum, j’ai adoré retrouver cet esprit de changement de personnalité à chaque épisode, les aventures de Jarod mon offert du suspense, de la découverte et beaucoup de bon moment. Un plaisir de la trilogie du samedi soir.
Et pour finir, la mise en bouche en générique..
Genre: Drame, Sci-fi, Mystère Année: 1993 Chaîne: FOX Note: 8/10
De quoi ça parle ?
Les agents spéciaux du FBI Fox Mulder et Dana Scully sont les enquêteurs de dossiers classés X (Les « X-Files »), des affaires non résolues impliquant des phénomènes paranormaux.
En bref…
Premier épisode vu, premier traumatisme… X-Files c’est le traumatisme de toute une génération, c’est les aventures d’un duo extraordinaire qui nous ont passionnés mais surtout terrifiés. X-Files, c’est l’une des pépites indémodables des années 90.
Un anneau de trois mètres de diamètre fait d’un métal inconnu sur Terre constitue en fait une porte ouvrant un passage vers d’autres planètes. Des équipes de militaires et de scientifiques explorent ces différentes planètes, cherchant de nouvelles technologies pour combattre notamment les Goa’ulds, une espèce extraterrestre qui parasite des humains. Parmi ces équipes d’exploration, SG-1 devient la plus réputée, avec le colonel O’Neill, l’égyptologue Jackson, le major Carter et Teal’c, un Jaffa venant de Chulak, un autre monde.
En bref…
Encore aujourd’hui, revoir Stargate SG-1 est un plaisir certes avec des yeux d’adulte ont voit beaucoup plus de détails qui sont assez « cheap », la série n’a pas très bien vieilli mais l’univers lui est toujours aussi passionnant, suivre SG-1 a favorisé mon intérêt pour l’Egypte et mon envie d’aventure.
Et pour finir, la mise en bouche en générique..
Genre: Comédie, Romance Année: 1993 Chaîne: CBS Note: 8/10
De quoi ça parle ?
Le jour où Fran Fine débarque chez Maxwell Sheffield, c’est un véritable tourbillon qui emporte toute la monotonie de la maison. Ancienne représentante en cosmétiques, elle va désormais s’occuper des enfants de M. Sheffield et devenir une « Nounou d’enfer » !
En bref…
Qui n’a pas rêvé d’avoir une nounou d’enfer comme Miss Fine et ses tenues d’enfer ?! Arriver par hasard dans la maison de Mr Shefield, elle aura telle une tornade retournée la vie de cette petite famille. Une nounou d’enfer est une série drôle et attachante qui encore aujourd’hui fait son petit effet!
Et pour finir, la mise en bouche en générique..
Genre: Comédie, Aventure, Fantasy Année: 1996 Chaîne: CBS Note: 7/10
De quoi ça parle ?
Gary Hobson est un agent de change à Chicago. Un jour, sa femme le quitte et il est forcé de s’installer dans une chambre d’hôtel. Le matin suivant, à 6h30, un mystérieux chat jaune se trouve sur le palier de la porte de sa chambre avec l’édition du journal Chicago Sun-Times du jour suivant ! Sa vie ne sera alors plus jamais la même.
En bref…
Les aventures de Gary Hobson commençait tous les matins à 6h30 avec la livraison d’un journal par un mystérieux chat roux, pour moi les aventures de Gary Hobson commençait tous les samedis midi sur M6 (si mes souvenirs sont bons). Demain à la une est une série naïve mais qui n’en reste pas moins optimiste et humaine, un petit plaisir d’enfance so 90′.
Et pour finir, la mise en bouche en générique..
Genre: Drame Année: 1994 Chaîne: ABC1 Note: 5/10
De quoi ça parle ?
Le lycée d’Hartley en Australie regroupe des étudiants de toutes origines raciales et ethniques, ce qui donne lieu à des problèmes et disputes en permanence.
En bref…
Mon amour pour Hartley commence avec l’arrivée du beau et rebelle Drazic et se termine avec Drazic.. ah.. qu’est-ce que j’ai pu rêver de ce petit homme avec son piercing à l’arcade! La série Hartley, coeur à vif est inspiré d’un film (The Heartbreak kid) qui lui-même est inspiré d’une pièce de théâtre qui mettait en scène une histoire d’amour entre un élève et son professeur. Les joies et les peines de ces petits jeunes nous ont accompagnés dans les années 90 mais n’ont jamais réussi à détrôner Beverly Hills…