























Réalisé par: Rob Zombie Année: 2003 Durée: 1h29min Note: 7/10 Achat: VOD
Aujourd’hui, je vais vous parlé du premier opus d’une trilogie que j’aime particulièrement, réalisé par le talentueux Rob Zombie. Sur Le Bruit du Cinema, je vous avais déjà parler du deuxième opus qui porte le doux nom de The Devil’s Rejects, il est temps de commencer par le commencement avec House of 1000 Corpses!
La maison des 1000 morts, c’est l’histoire de quatre jeunes qui profitent d’un road trip pour partir à la recherche des endroits les plus insolites d’Amérique, c’est l’histoire de quatre amis qui vont faire un arrêt inattendu dans un lieu insolite et creepy, c’est l’histoire d’une auto-stoppeuse qu’ils n’auraient jamais dû prendre, c’est l’histoire d’une famille qu’ils n’auraient jamais dû rencontrer.
House of 1000 Corpses est un film qui se découpe en deux parties, la première est assez basique et réaliste, elle rend hommage au film d’horreur des années 70-80 et introduit une famille cauchemardesque qui vit pour le vice et l’horreur. La seconde partie, nous emmène avec brutalité dans le monde de Rob Zombie, on dit adieu aux hommages et à la réalité et bonjour à la nouveauté et au surnaturel. C’est ce contraste qui est intéressant et qui fera la particularité du film, lui donnant une ambiance unique.
Avec ce film, on sent bien que Rob Zombie teste des choses, il s’essaye au cinéma et crée avec brio un univers malsain qui fascinera autant qu’il perturbera. Les Firefly nous feront rire et nous terrifieront grâce à des dialogues bien travaillés, mais c’est surtout grâce au casting qui frôle la perfection que le film atteindra le sommet.
La maison des 1000 morts montre que Rob Zombie a un talent immense, qu’il ne manque pas d’imagination et qu’il connaît le monde de l’horreur sur le bout des doigts. Il nous le prouve en créant un film qui fonctionne malgré quelques petites erreurs qui n’entacheront en rien l’histoire de cette famille de tortionnaires aussi fous les uns que les autres.
House of 1000 Corpses est une déclaration d’amour sincère au cinéma d’horreur et une introduction parfaite pour la famille Firefly.
L’année 2019 a été, une année, assez intéressante et productive, côté grand écran, j’ai pu avoir de belles surprises et de grosses déceptions, côté petit écran, certaines ont pris fin et d’autres ont commencé parfois de façon étonnante parfois de façon attendu. Mais, si je compare l’année 2019 à l’année 2018, je dirais qu’elle a été moins catastrophique que prévue. Voici mon top 10 films et série de l’année 2019.
Parce qu’il n’est jamais trop tard pour découvrir de bons films voici les mentions spéciales du Bruit du Cinema.
L’année 2019 est terminé, mais certaines envies restent bien présente, voici les films de 2019 qui reste sur ma liste d’envie.
Réalisé par: Rob Zombie Année: 2005 Durée: 1h47min Note: 8/10 Achat: VOD
Après la mort de son frère, le shérif Wydell ne rêve que de vengeance. Il est prêt à tout contre la terrifiante famille Firefly, et il n’hésitera pas à outrepasser la loi. Barricadés dans leur maison, les Firefly, eux, sont décidés à lui échapper par tous les moyens. Rien ne semble pouvoir arrêter leur macabre saga. Entre les deux camps, la guerre est ouverte, et elle va s’étendre…
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique, la famille Firefly foncent sur les routes de l’horreur embarquant avec eux les plus grands maîtres du genre pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer leur propre univers. Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.
Le mot « Fuck » et ses variations a été utilisé dans le film 224 fois, selon une autre source il aurait été dit 560 fois, le film détiendrait de ce fait le record.
Réalisé par: Neil Marshall Année: 2005 Durée: 1h39min Note: 8/10 Achat: VOD
En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour.
Neil Marshall associe horreur et psychologie pour nous offrir un huis clos devenu incontournable qui fonctionne bien grâce à une maîtrise quasi parfaite et un bon twist final.
Chaque filles du casting vient d’un pays différent.
Réalisé par: Victor Salva Année: 2001 Durée: 1h30min Note: 6/10 Achat: VOD
Les vacances d’été sont enfin arrivées et, comme chaque année, Trish et Darry, deux étudiants, frère et soeur, prennent la route pour rendre visite à leurs parents. Sur le chemin, un routier agressif emboutit l’arrière de leur voiture sans raison apparente. Quelques kilomètres plus loin, Trish et Darry revoient le même camion, à côté d’une église abandonnée. Ils aperçoivent le conducteur, entièrement vêtu de loques, qui jette un corps dans une canalisation.
Victor Salva réalise un film d’horreur simple et minimaliste à l’univers mystérieux et intimiste qui aura donné dans les années 2000 un nouveau souffle à l’univers du slasher. Jeepers Creepers est un film audacieux qui ne se prend pas la tête et introduit avec brio un nouveau monstre (conforme aux conventions du genre) dans e grand bestiaire de l’horreur.
Pour son film Victor Salva explique qu’il a trouvé son inspiration dans le film Duel mais aussi dans l’histoire vraie d’un couple en voyage qui aurait remarqué quelque chose d’étrange sur la route et aurait fait demi-tour et découvert une scène épouvantable. Le réalisateur a repris l’histoire, modifié les âges et ajouté des éléments surnaturels.
Réalisé par: D. Myrick & E. Sanchez Année: 1999 Durée: 1h21min Note: 6/10 Achat: VOD
En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d’un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête.
Avec The Blair Witch Project, les réalisateurs ont compris que ce n’est pas ce que l’on voit qui éveil nos peurs mais ce que l’on croit voir, c’est en jouant sur ce petit détail que le film arrive à renouveler le genre et deviendra par la suite un incontournable des années 90.
Les trois acteurs principaux ont gardé leurs vrais noms pour le film, ils furent lâchés pendant huit jours en pleine forêt avec très peu d’instructions.
Réalisé par: William Friedkin Année: 1973 Durée: 2h2min Note: 8/10 Achat: VOD
L’exorciste est une pépite terrifiante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.
Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.
Sid Haig, mon éternel Captain Spaulding,
Qui aurait cru que tu nous quitterais si tôt, sans prévenir,
Toi, qui m’as fait rêver, Toi, que je voulais président, Toi, le patriarche de l’une des familles les plus folles et les plus meurtrières du cinéma.
Tu emportes avec toi, une partie de mon adolescence, tu étais un acteur peu connu des novices de l’horreur mais pour moi tu étais un grand acteur, un homme bon et généreux.
C’est avec beaucoup de tristesse que je te dis au revoir.
Le méchant est essentiel à un film, sans lui le héros n’a pas vraiment de raison d’être, il peut prendre plusieurs formes, physique ou psychique et apparaître dans plusieurs genres du cinéma. Aujourd’hui, j’ouvre un nouveau rendez vous qui aura lieu le dernier jeudi de chaque mois, vous pourrez découvrir ou redécouvrir un méchant qui a marqué le monde du cinema.
Mais avant de commencer ce rendez vous le mois prochain, je vous propose une petite vue d’ensemble sur les différents méchants dans le cinéma (je vais surement en oublier mais au fil des mois, mais ce ne sera que pour mieux les découvrir au fil des mois).
Surement l’un des plus grands antagonistes du héros, issus de légendes ou de mythe, les démons et autres entités démoniaques peuvent prendre beaucoup de formes différentes et piégés le héros avec beaucoup plus de facilité, cette catégorie arrive à s’adapter à tout genre de film, de l’horreur à la fantasy en passant par la comédie, il n’y a qu’un pas pour lui.
La femme fatale est une icône dans le monde des films noirs, séductrice, froide et souvent sans coeur, ne pensant cas son propre intérêt et utilisant le sexe comme une arme, elle va faire généralement tout pour obtenir vengeance, un vrai danger pour le héros.
Et oui, ces petits amours qu’on aime avec facilité peuvent être rangés dans la catégorie méchant, un visage d’ange cache parfois un être cruel sans émotion.
On classera dans cette catégorie nos amis aux dents pointues, les vampires mais l’immortalité ne touche pas que leurs groupes, on peut aussi compter parmi eux, les sorcières/sorciers, les nécromants, les alchimistes qui jouent avec la mort pour obtenir la vie éternelle.
Ah! qu’est-ce que Disney ferait sans elles! Cette bonne femme qu’on déteste tous, pour son comportement avilissant auprès de ses enfants provenant d’une autre union, on peut aussi ranger dans cette catégorie les tantes malintentionnées qu’on déteste avec plaisir.
Version masculine de la marâtre, le parâtre nous apporte autant de déplaisir mais se fait plus rare dans le monde du cinéma.
Espèce mythique, ces reptiliens lié au feu et donc par raccourcis au mal, deviennent dès les années 80 un ennemi potentiel pour l’humain, qu’il soit là pour protéger un trésor ou une princesse, le dragon devient rapidement le méchant préféré des films fantastiques. (A noter, qu’avec le temps le dragon a passé la frontière des gentils avec brio, laissant de côté sa part démoniaque)
Bestiaire fantastique qui a pris vie dès les débuts du cinéma, le monstre (souvent incompris) a pris une place importante dans le monde des méchants, que se soit du maquillage ou des effets spéciaux, il est l’un des méchants, le plus efficace dans le cinéma.
Elle étouffe, elle maltraite et néglige son enfant, elle déséquilibre avec brio la cellule familiale bref elle fout la merde sans amour véritable et peut créer parfois de vrai grand psychopathe.
Ces savants qui aiment jouer à Dieu, ont réussi à se faire une petite réputation dans le monde des méchants, mettant leurs talents au service du plus offrant, créant monstres, machines de destruction et armes dangereuses sans la moindre limite. Il est souvent une vraie épine dans le pied du héros.
Ces incomprises qui pactisent avec les démons, qui jettent des sorts et se transforment, tantôt magnifique, tantôt hideuse, elles sont nombreuses à arpenter le monde des méchants pour notre plus grand plaisir.
Mes méchants préférés! Croque mitaine surnaturelle, psychopathe intelligent ou psychotique sans maitrise d’eux-mêmes, il y en a pour tous les goûts! On a tellement de matière a travailler avec ces personnages que le monde des méchants a de beaux jours devant lui.
Qu’il soit détestable, qu’il nous fasse peur, qu’il nous séduise, qu’il nous rapproche du héros, un bon méchant est essentiel à un bon film et ce dernier peut prendre bien des apparences mais derrière ce méchant, il ne faut pas oublier qu’il y a un acteur de talent, petit panel des plus grands méchants du cinéma selon Le Bruit du Cinema.
Certains écrivent une lettre au père Noël avec les jouets qu’ils aimeraient avoir, moi j’écris une lettre au monde du cinéma avec les films que j’aimerais voir. Les listes sont toujours pratiques, grâce à une liste on peut y voir plus clair, on peut mieux s’organiser et on peut savoir où on en est. De la nouveauté, un peu de surf sur la nostalgie, du film d’auteur, des petites curiosités, 2019 s’annonce assez bien, voici un gros panel des films qui m’intrigue en cette nouvelle année.
Réalisé par: Rob Zombie Genre: Horreur Sortie: Prochainement
3 from Hell est la suite de The Devil’s Rejects et de La maison des 1000 morts.
Réalisé par: M. Night Shyamalan Genre: Thriller Sortie: 16 janvier
David Dunn – l’homme incassable – poursuit sa traque de La Bête, surnom donné à Kevin Crumb depuis qu’on le sait capable d’endosser 23 personnalités différentes. De son côté, le mystérieux homme souffrant du syndrome des os de verre Elijah Price suscite à nouveau l’intérêt des forces de l’ordre en affirmant détenir des informations capitales sur les deux hommes…
Réalisé par: Tim Miller Genre: Action, SF Sortie: 13 novembre
Nouveau volet de la saga « Terminator », suite directe de Terminator 2: Le Jugement dernier.
Réalisé par: Rich Moore, Phil Johnston Genre: Animation Sortie: 13 février
Ralph la casse se retrouve à voyager à travers Internet, à la recherche d’une pièce pour réparer la borne d’arcade.
Réalisé par: Joe Penna Genre: Aventure Sortie: 6 février
En Arctique, la température peut descendre jusqu’à moins –70°C. Dans ce désert hostile, glacial et loin de tout, un homme lutte pour sa survie. Autour de lui, l’immensité blanche, et une carcasse d’avion dans laquelle il s’est réfugié, signe d’un accident déjà lointain.
Réalisé par: David Leitch Genre: Action Sortie: 7 août
Un spin-off de Fast & Furious consacré à Deckard Shaw et Luke Hobbs.
Réalisé par: Kevin Kölsch, Dennis Widmyer Genre: Epouvante-Horreur Sortie: 1 mai
Le docteur Louis Creed, sa femme Rachel et leurs deux jeunes enfants quittent Boston pour s’installer dans une région rurale du Maine. Près de sa maison, le docteur découvre un mystérieux cimetière caché au fond des bois. Peu après, une tragédie s’abat sur lui.
Réalisé par: Neil Marshall Genre: Action, Fantastique Sortie: 8 mai
Un reboot des aventures d’Hellboy, d’après les romans graphiques éponymes.
Réalisé par: Ruben Fleischer Genre: Epouvante-Horreur Sortie: 6 novembre
La suite de Bienvenue à Zombieland.
Réalisé par: Benoît Forgeard Genre: Comédie Sortie: 26 juin
Jérem, un jeune rappeur s’est isolé en province afin d’y composer son premier disque. L’enquêtrice d’une société high-tech le persuade de prendre à l’essai Yves, un réfrigérateur intelligent censé lui faciliter l’existence. Le fribot gagne la confiance de son utilisateur jusqu’à influer profondément sur le cours de sa vie.
Réalisé par: Robert Zemeckis Genre: Drame Sortie: 2 janvier
L’histoire de Mark Hogancamp, victime d’une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d’un village belge durant la Seconde Guerre mondiale.
Réalisé par: Valerie Lemercier Genre: Biopic, Comédie Sortie: Prochainement
Québec, les années 1960. Sylvette et Anglomard accueillent leur 14e enfant, Aline. Chez les Dieu, la musique est reine et, même si les fins de mois sont parfois difficiles, la vie y est joyeuse. Aline grandit et se découvre un don: elle a une voix en or. Le producteur de musique Guy-Claude, lorsqu’il découvre le talent d’Aline, n’a alors qu’une idée en tête: faire d’Aline une star planétaire.
Réalisé par: George Tillman Jr. Genre: Drame Sortie: 23 janvier
Starr assiste à la fusillade mortelle de son meilleur ami d’enfance, Khalil, par un policier. Maintenant, face aux pressions de tous les côtés de la communauté, elle doit trouver sa voix et défendre ce qui est bien.
Réalisé par: Regis Roinsard Genre: Thriller Sortie: prochainement
Isolés dans un luxueux bunker, neuf traducteurs sont rassemblés pour traduire le dernier tome d’un des plus grands succès de la littérature mondiale. Mais lorsque les dix premières pages du roman sont publiées sur internet, une question devient obsédante: d’où vient la fuite?
Réalisé par: Etan Cohen Genre: Comédie Sortie: 27 février
Les aventures comiques de Sherlock Holmes et son ami Watson.
Réalisé par: Josh Boone Genre: Fantastique, SF Sortie: 7 août
Les Mutants sont les plus dangereux, pour eux-mêmes comme pour les autres, lorsqu’ils découvrent leurs pouvoirs. Détenus dans une division secrète contre leur volonté, cinq nouveaux mutants doivent apprivoiser leurs dons et assumer les erreurs graves de leur passé. Traqués par une puissance surnaturelle, leurs peurs les plus terrifiantes vont devenir réalité.
Réalisé par: Danny Boyle Genre: Comédie musicale, Comédie Sortie: Prochainement
Un musicien anglais cherchant à percer et qui, pour des raisons inconnues, est le seul à se souvenir des Beatles.
Réalisé par: Todd Phillips Genre: Action Sortie: 9 octobre
Situé dans les années 80, un criminel auto-surnommé « Le Joker » grimpe progressivement les échelons de la pègre de Gotham.
Réalisé par: Ali Abbasi Genre: Drame, Fantastique Sortie: 9 janvier
Tina, douanière à l’efficacité redoutable, est connue pour son odorat extraordinaire. C’est presque comme si elle pouvait flairer la culpabilité d’un individu. Mais quand Vore, un homme d’apparence suspecte, passe devant elle, ses capacités sont mises à l’épreuve pour la première fois. Tina sait que Vore cache quelque chose, mais n’arrive pas à identifier quoi. Pire encore, elle ressent une étrange attirance pour lui…
Réalisé par: Quentin Tarantino Genre: Drame Sortie: 14 août
Un acteur has-been et sa doublure cascadeur se lancent dans une odyssée pour se faire un nom dans l’industrie cinématographique lors des meurtres de Charles Manson en 1969 à Los Angeles.
Réalisé par: Josh Cooley Genre: Animation Sortie: 26 juin
Woody a toujours privilégié la joie et le bien-être de ses jeunes propriétaires – Andy puis Bonnie – et de ses compagnons, n’hésitant pas à prendre tous les risques pour eux, aussi inconsidérés soient-ils. L’arrivée de Forky un nouveau jouet qui ne veut pas en être un dans la chambre de Bonnie met toute la petite bande en émoi. C’est le début d’une grande aventure et d’un extraordinaire voyage pour Woody et ses amis. Le cowboy va découvrir à quel point le monde peut être vaste pour un jouet…
Retrouver plus de films dans ma liste 2019, on croise les doigts sur SensCritique.
Réalisé par: Rob Zombie
Année: 2005
La famille Firefly est une troupe meurtrière et ambulante. Ils sont poursuivis par un escadron policier prêt à tout pour les arrêter, jusqu’à la violence.
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie finit son oeuvre dans le monde de l’horreur de façon convaincante, achevant de manière magistrale l’histoire de la famille Firefly. Il abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique fonçant sur les routes de l’horreur embarquant avec lui les plus grands maîtres du genre, pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer son propre univers.
En sacralisant cette famille irrécupérable, vivant pour la violence et le vice, Rob Zombie créé une empathie nouvelle envers cette bande de déjantés, il impose l’époque et les personnages faisant oublier le côté fantastique qui avait clôturé La maison des 1000 morts, on revient à la réalité trash et vulgaire qui fait l’univers du réalisateur.
Le saviez-vous ?
En Avril, on dit au revoir à l’hiver, on aimerait pouvoir sauter le printemps pour arriver directement à l’été, malheureusement, on doit subir le pollen, le vent, le chaud et le froid, avant de pouvoir profiter de la chaleur qui nous fera tant souffrir. Etant un peu nostalgique en Avril, j’ai choisi la scène finale de The Devil’s Rejects suite du très bon film La maison des 1000 morts de Rob Zombie.
Voir aussi: The Devil’s Rejects
Réalisé par: Rob Zombie
Année: 2005
Note: 8/10
« I am the devil, and I am here to do the devil’s work. »
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie finit son oeuvre dans le monde de l’horreur de façon convaincante, achevant de manière magistrale l’histoire de la famille Firefly. Il abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique fonçant sur les routes de l’horreur embarquant avec lui les plus grands maîtres du genre, pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer son propre univers.
Dans The Devil’s Rejects, on retrouve Otis, Baby et Captain Spaulding, qu’on avait laissé dans leur ferme digne d’un carnaval de l’horreur, en pleine fuite, pourchasser par un shérif consumé par une envie de vengeance. Le bien et le mal se mélangent redistribuant les rôles, la famille Firefly passe du bourreau à la victime dans un road movie rempli de cadavre.
« I’m gonna have to be taking your car today. See I have some top secret clown business that supersedes any plans that you might have for this here vehicle. »
En sacralisant cette famille irrécupérable, vivant pour la violence et le vice, Rob Zombie créé une empathie nouvelle envers cette bande de déjantés, il impose l’époque et les personnages faisant oublier le côté fantastique qui avait clôturé La maison des 1000 morts, on revient à la réalité trash et vulgaire qui fait l’univers du réalisateur.
Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.
« There is no fuckin’ ice cream in your fuckin’ future. »