Teaser: Love Actually 2

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Je n’ai jamais que trop espérer revoir tout ce petit groupe qui m’a mis tant d’étoiles dans les yeux et qui m’en remet chaque année quand je revois ce petit chef-d’oeuvre qu’est Love Actually. Red Nose Day nous offre une nouvelle fois un cadeau en réalisant l’impossible, demain nous pourrons enfin revoir la troupe magique qui nous donne tant d’espoir.

Bilan: Octobre 2015

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Ce mois-ci fut un mois rempli de belles découvertes, j’ai commencé mon mois avec la rencontre de Gatsby, je suis rentré dans le monde de Guillermo Del Toro deux fois la première avec la magnifique Crimson Peak qui m’a conquise, la seconde avec le terrifiant Labyrinthe de Pan qui m’a laissé de glace, je me suis plongée dans le monde de la drogue par deux fois avec le ténébreux Benicio Del Toro, j’ai touché à l’inconnu avec deux belles surprises la première sur Netflix grâce à Advantageous la seconde dans le monde du slasher avec The Final Girls, je suis sortie d’un labyrinthe pour une terre brûlée, j’ai fait ma rencontre annuelle avec le grand Woody Allen et j’ai rattrapé un peu de retard avec Minority Report. Un mois en double, un mois réussi.

  1. Crimson Peak – 2015 (8/10)
  2. The Final Girls – 2015 (7/10)
  3. Sicario – 2015 (7/10)
  4. Advantageous – 2015 (6/10)
  5. Le Labyrinthe: La terre brûlée – 2015 (6/10)
  6. Minority Report – 2002 (6/10)
  7. L’homme Irrationnel – 2015 (5/10)
  8. Gatsby, le magnifique – 2013 (4/10)
  9. Le Labyrinthe de Pan – 2006 (3/10)
  10. Traffic – 2001 (2/10)

Voir aussi: Maze Runner: The Scorch Trials, Dossier: Tueur en série dans le monde du cinéma

Maze Runner: The Scorch Trials

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Réalisé par : Wes Ball

Année : 2015

Note : 6/10

Achat :


Wes Ball assure une transition presque parfaite pour cette odyssée young-adult.

On quitte le monde statique du labyrinthe pour une course-poursuite apocalyptique en retrouvant nos héros là où on les avait laissés, c’est-à-dire dans l’hélicoptère. Thomas et ses camarades gagnent leur liberté pour mieux la perdre en tombant une nouvelle fois dans les griffes de WICKED, tout ce beau monde s’échappe une nouvelle fois vers le monde extérieur devenu un désert apocalyptique infesté d’infectés. Nouvelle fuite, nouveau plan, le groupe décident de partir à la recherche d’un groupe de résistants qui pourrait leur donner des réponses.

Un deuxième film qui échappe aux pièges du simple film de transition en gardant tous les codes du film ditopique young-adult, mais en continuant à se créer une personnalité propre. The Maze Runner était une bonne surprise, Maze Runner: The Scorch Trials en est une nouvelle, au revoir les araignées/bioniques, bonjour les infectés version The Last of Us qui viennent rajouter un petit côté horrifique à la saga lui donnant un peu plus d’épaisseur.

Wes Ball n’a malheureusement pas tout juste, une absence d’évolution des personnages empêche une nouvelle fois l’attachement avec ces derniers, le voile sur l’amnésie de Thomas s’épaissit sans se développer ne jouant pas en la faveur de l’histoire, certaines scènes dans le film sont difficilement explicables donnant une impression de n’être là que pour combler certains trous de l’intrigue qui reste malgré tout suffisamment bien ficelée pour donner envie de découvrir la suite.

Si l’on fait le bilan avec mon premier article sur le premier volet, le défaut des scènes dans le noire a été réglé, les petits moments qu’il manquait pour s’identifier aux personnages ne sont toujours pas là, mais il y a du bon aussi grâce à une mise en scène tonique Wes Ball arrive une nouvelle fois à capturer le spectateur dans ce labyrinthe qu’est la saga, le réalisateur prouve en grande partie qu’il est capable d’apprendre de ses erreurs en essayant de nouvelle chose. S’il reste sur cette ligne directive le troisième volet devrait promettre un dénouement intéressant.

Voir aussi: The Maze Runner, The Giver

The Maze Runner

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Réalisé par : Wes Ball

Année : 2014

Note : 5/10

Site : The maze runner

Achat : Amazon, Fnac, VOD


Run like your life depends on it because it does

Est-ce que c’est un mauvais film ? Non. Est-ce que c’est un bon film ? Pas vraiment. Pourquoi ?

Le plus gros défaut qui me reste en mémoire c’est les scènes d’action dans l’obscurité, elles étaient tellement sombres, qu’il était impossible de vraiment voir qui était qui, impossible de savoir qui meurt et qui vit. On ne voit pas assez, pour être vraiment pris dans l’action, c’est vraiment dommage.

On est bloqué avec les personnages dans un labyrinthe avec une histoire qui est sans cesse en mouvement, toujours en évolution, il n’y a aucune longueur, mais il manque peut-être ces petits moments qui nous permettent de nous identifier, de nous prendre de sympathie pour les personnages. Mais en y réfléchissant bien ce premier volet est là, pour mettre les bases de l’histoire et faire un tri dans les personnages.

Je n’ai pas eu le frisson, la tension que j’attendais. (J’étais plus concentré, plus sous tension dans le labyrinthe d’Harry Potter et la coupe de feu que dans ce grand labyrinthe de fer. ) Malgré tout, le film remplit son contrat et offre une bonne surprise, à la fin, on a envie d’en savoir plus, de voir la suite, de savoir ce qu’il se cache au-delà du labyrinthe, en espérant que la deuxième partie soit plus intense, moins rapide et que les scènes dans l’obscurité soient un peu plus travaillées.

Great we’re all bloody inspired

Voir aussi : The Giver