La moustache et le cinéma


Réalisé par: Spike Jonze Année: 2013 Durée: 2h6min Genre: Romance, Science-Fiction Note: 8/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Los Angeles, dans un futur proche. Theodore Twombly, un homme sensible au caractère complexe, est inconsolable suite à une rupture difficile. Il fait alors l’acquisition d’un programme informatique ultramoderne, capable de s’adapter à la personnalité de chaque utilisateur. En lançant le système, il fait la connaissance de ‘Samantha’, une voix féminine intelligente, intuitive et étonnamment drôle. 

La pensée du Bruit du Cinema

Spike Jonze réussit à créer une belle histoire d’amour qui prend tous les sentiments en compte qu’ils soient bons ou douloureux en n’oubliant aucune étape.

Réalisé par: Wes Anderson Année: 2014 Durée: 1h39min Genre: Aventure, Comédie Note: 7/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Les tribulations de M. Gustave, concierge d’un hôtel et de son protégé durant l’entre deux guerres où l’Europe est en plein bouleversement.

La pensée du Bruit du Cinema

Wes Anderson réinvente une nouvelle fois le cinéma, ouvrant les portes d’un nouvel univers qui mélange cartoon, surprise et inventivité.

Réalisé par: Quentin Tarantino Année: 1994 Durée: 2h34min Genre: Crime, Drame Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

L’odyssée sanglante, burlesque et cocasse de petits malfrats dans la jungle de Hollywood à travers trois histoires qui s’entremêlent.

La pensée du Bruit du Cinema

Pulp Fiction est une petite leçon de cinema au rythme survolté et au dialogue éblouissant.

Réalisé par: Ethan Maniquis & Robert Rodriguez Année: 2010 Durée: 1h45min Genre: Action, Crime Note: 6/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Machete est un tueur mexicain engagé pour un assassinat. Il se fait piéger par ses employeurs. Laissé pour mort, il revient bien décidé à se venger.

La pensée du Bruit du Cinema

Machete est un film d’action parodique assez drôle au parfum vintage qui fait plaisir le temps d’un bref instant.

Réalisé par: François Desagnat & Thomas Sorriaux Année: 2002 Durée: 1h33min Genre: Comédie Note: 5/10 Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Alphonse Brown est le fils caché de James Brown. Après un séjour en prison, il se lance dans la musique et découvre une mallette pleine d’hallucinogènes…

La pensée du Bruit du Cinema

La Beuze se paye un fou rire avec la comédie française, jonglant avec les codes du genre et les mythes des années 70.

1 réalisateur, 3 film: Wes Anderson

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Wes Anderson est un réalisateur talentueux qui a réussi au fil des années à créer un univers unique qui se modifie et s’améliore au fil de ses réalisations.


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Année: 2001   Durée: 1h50min   Note: 6/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Chez les Tenenbaum, les enfants ont toujours été des génies. Tout jeunes, Chas était déjà un maître de la finance, Margot une dramaturge exceptionnelle et Richie un joueur de tennis hors pair. Mais un jour, Etheline, leur mère, demande le divorce. Cette crise familiale a une influence négative sur le développement personnel de leurs progénitures.Vingt ans plus tard, Royal écume les palaces, Etheline s’adonne à l’archéologie, Chas tente d’élever ses deux fils après la mort de son épouse, Richie est un champion déchu et Margot s’est marié avec un psy. Le père Tenenbaum annonce bientôt à ses enfants qu’il ne lui reste plus longtemps à vivre.

En bref…

Entre absurdité et sophistication, Wes Anderson réalise un ovni névrotique plein d’humour et de mélancolie qui ne laissera personne indifférent.

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Année: 2007   Durée: 1h31min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Francis invite ses deux frères a accomplir un périple spirituel à travers l’Inde à bord du Darjeeling Limited, mais cette quête risque de dérailler.

En bref…

Wes Anderson ouvre les portes de son univers à travers un voyage spirituel dans un des pays les plus magiques au monde l’Inde. The Darjeeling Limited est une comédie loufoque, drôle et profonde qui offre des instants magiques enveloppés d’une mélancolie unique.

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Année: 2014   Durée: 1h39min   Note: 7/10   Achat-Location: VOD

De quoi ça parle ?

Pendant l’entre-deux guerres, le légendaire concierge d’une grand hôtel et son jeune protégé se retrouvent impliqués dans une histoire mêlant le vol d’un tableau de la Renaissance, la bataille pour une énorme fortune familiale, et le lent puis soudain bouleversement qui transforme l’Europe en cette première moitié de XXème siècle.

En bref…

Wes Anderson se réinvente une nouvelle fois et signe un film ambitieux et abouti où s’entremêle avec fluidité les époques et les personnages. The Grand Budapest Hotel baigne dans un univers cartoonesque rempli de surprises, d’inventivités et de talents.

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The dead don’t die

Le bruit de couloir inattendu


Réalisé par: Jim Jarmusch   Année: 2019   Durée: 1h44min   Note: 5/10


Après les vampires, Jim Jarmusch s’attaque aux morts-vivants, il revisite les genres et les mythes populaires avec sa sobriété et son minimalisme habituel qui plairont à certains et en laisseront d’autres sur le bord de la route à l’entrée de Centerville.

The dead don’t lie, c’est l’histoire d’une petite bourgade tranquille qui va du jour au lendemain se retrouver envahie par des zombies, c’est l’histoire, d’une ville perdue dans le temps qui va se sentir dépassé par la modernité envahissante. The dead don’t lie c’est l’histoire de la fin de la petite ville de Centerville. 

Avec The dead don’t lie, le réalisateur mélange son cinéma d’auteur et le cinéma d’horreur pour créer un film long et assez énigmatique porté par un casting cinq étoiles. Jim Jarmusch reprend les codes mis en place par le grand, le talentueux George A. Romero dans son film, il utilise son histoire de zombie pour dénoncer: la crise climatique, la consommation à outrance, l’épuisement de notre planète, et bien sûr notre dépendance à la technologie. Il commence subtilement au début puis plus intensément par la suite, pour ne plus se cacher sur la fin.

Jim Jarmusch se repose malheureusement beaucoup trop sur son casting et certains plans (certes superbes) mais parfois beaucoup trop long qui perdront en route certains spectateurs. On peine à se laisser absorber complètement dans cette fable de zombies légèrement paresseuse et trop consciente de ce qu’elle est. Avec The dead don’t lie, Jarmusch a été un peu trop confiant dans sa nonchalance et son casting, qui d’habitude font son cinéma. Il met en scène la fin du monde avec ironie et minimalisme malheureusement beaucoup de longueur et une trop grosse leçon de morale feront perdre au film une partie de son public.

The dead don’t lie est un film mou qui manque de rythme et qui n’a pour lui que son casting, c’est bien dommage.

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Trailer: Marvel’s & DC’s

Le monde des super héros de DC et Marvel se dévoile tous un peu plus en bande-annonce, si Doctor Strange et Wonder Woman arrivent avec facilité à me convaincre, Justice League me laisse perplexe, je n’ai pas l’impression de voir du neuf, je vois un remake peu réussi d’Avengers ou encore de Captain America: Civil War…  pour la bande-annonce de Suicide Squad je suis un peu déçu, mais je pense que l’ordre des sorties des bandes-annonces a mal été choisi, en sortant la deuxième qui était extraordinaire, ils avaient pris le risque de ne pas réussir a faire mieux et ils n’ont pas réussi.

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Sortie le 26 octobre 2016

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Sortie le 7 juin 2017

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Sortie le 16 novembre 2017

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Sortie le 3 août 2016

Trailer: Doctor Strange

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On a commencé la semaine avec l’arrivée de la troisième bande-annonce du groupe le plus fou de cette année 2016 Suicide Squad, a suivi la nouvelle bande-annonce du grand retour du monde d’Harry Potter, Les Animaux Fantastiques. Aujourd’hui c’est la toute première bande-annonce du très attendu Doctor Strange qui sera là à votre réveille, personnellement je ne connais rien du tout de ce personnage et après une pensée pour Juneandcie, j’ai lancé la vidéo, mon impression celle de retomber dans la difficulté de compréhension d’Inception, vivement une seconde bande-annonce.

Trailer: Hail Caesar!

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Dès la première seconde de la bande-annonce, je suis tombée amoureuse du futur film des Coen. On va suivre Eddie Mannix qui est engagé par les studios hollywoodiens dans les années 50 pour régler les problèmes des stars. Sortie le 17 février 2016.

Bruit de couloir: Marvel

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Jeremy Renner a publié trois concept arts du prochain Marvel Captain America: Civil War sur son compte twitter dont celui-ci qui montre les « deux équipes » de super-héros, il ne reste plus qu’à choisir son camp. Sortie le 4 mai 2016.

Affaire à suivre…

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Mads Mikkelsen serait en pourparlers pour rejoindre le nouveau Marvel Docteur Strange. Si l’affaire venait à se confirmer, il pourrait jouer un vilain..

Affaire à suivre…

The Grand Budapest Hotel

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Réalisé par : Wes Anderson

Année : 2014

Note : 7,5/10

Site : The Grand Budapest Hotel

Achat : Amazon, Fnac


Get your hands of my lobby boy !

Le nouveau bébé de Wes Anderson est sorti en 2014 et c’était une réussite, sur le plan technique comme sur l’histoire mais surtout sur l’esthétique, ce n’est pas un film qu’on regarde mais plusieurs tableaux qu’on admire, chaque tableau à une personnalité bien à lui, il suffit d’assembler tous ses tableaux pour qu’une histoire prenne vie sous nos yeux, on découvre une fresque digne d’un peintre.

The Grand Budapest Hotel c’est les aventures de Gustave H., l’homme aux clés d’or du Grand Budapest Hotel et de son lobby-boy Zéro Moustafa, ce duo est interprété par Ralph Fiennes qui nous charme avec sa voix envoûtante et Tony Revolori qui nous fait rire avec ses mimiques percutantes, un troisième personnage vient planer sur ce duo, le conteur, joué par le mystérieux F. Murray Abraham.

The Grand Budapest Hotel c’est surement le film le plus ambitieux et le plus abouti du cinéaste à ce jour, impossible de passer à côté de ce film au style très cartoonesque et son casting remplis d’invités surprise. Wes Anderson est définitivement un génie dans son propre style, arrivant à se réinventer à chaque fois en gardant le même fil conducteur.

The Grand Budapest Hotel est la petite touche de couleur qui vous illuminera le temps d’une soirée.

 Voir aussi: St. Vincent, Magic in the moonlight