
Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.








































Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.
Avengers c’est une histoire d’invasion extraterrestre, de mission pour sauver l’humanité, de testostérones, de beaux petits culs et bien sûr de super-héros. Avengers c’est un scénario habile (signé Joss Whedon) qui arrive à mettre en lumière un groupe de super-héros, qu’on avait côtoyé en privé pendant de longues années. C’est un film qui garde ce côté bande dessiné qui définit l’univers Marvel.
Avengers est une petite pépite Marvel qui met (presque) tout le monde d’accord. C’est un film ambitieux et drôle qui rafraîchit enfin le monde des super-héros qui commençait à prendre la poussière.
Joss Whedon prouve avec Avengers qu’il est aussi talentueux sur grand écran que sur petit écran. Il offre un nouveau souffle à l’univers Marvel qui s’ancrait dans ses acquis, grâce à un film ambitieux qui allie avec ingéniosité humour et action.
Entre explosion, scène de combat, esprit de camaraderie et humour, Avengers est un film maîtrisé qui nous emporte avec facilité dans cette réunion de super-héros Marvel qu’on avait pris le temps de découvrir en tête à tête au fil des années.
Avengers aura le plaisir d’amuser autant les amoureux du genre que les curieux. Grâce à un bon scénario, une bonne réalisation et un très bon casting, le film aura réussi à transformer un blockbuster pop-corn en divertissement spectaculaire et libérateur qu’on prend plaisir à découvrir ou re-découvrir malgré ces quelques petites longueurs qui font qu’il n’est pas parfait.
Après une plongée dans l’univers DC, Le Bruit du Cinema se plonge dans l’univers Marvel et ses débuts. L’occasion de commencer à faire un point sur le film de super-héros tantôt mauvais, tantôt bon. Découvrons ensemble cette première phase qui a redonné un petit souffle de nouveauté au film de super-héros.
Réalisé par: Jon Favreau Année: 2008 Durée: 2h6min Note: 6/10 Achat-Location: VOD
Tony Stark, milliardaire excentrique, génie, playboy et vendeur d’armes, est kidnappé par des terroristes. Il construit une armure pour s’échapper.
Avec une mise en scène dynamique, un casting sympa et de bons effets spéciaux, Jon Favreau remet au goût du jour le super-héros. Entre joie et déception, Iron Man est un blockbuster ludique et honnête qui manque malheureusement d’un peu de suspense et de rythme.
Réalisé par: Louis Leterrier Année: 2008 Durée: 1h52min Note: 4/10 Achat-Location: VOD
Bruce Banner cherche un antidote aux radiations qui ont créé Hulk. Il vit dans l’ombre, toujours amoureux, et parcourt le monde recherchant un remède.
L’incroyable Hulk est une adaptation honorable qui divertit sans vraiment marquer les esprits.
Réalisé par: Jon Favreau Année: 2010 Durée: 2h4min Note: 4/10 Achat-Location: VOD
Le monde sait désormais que le génie milliardaire Tony Stark est Iron Man. Malgré la pression de tous, Tony n’est pas disposé à divulguer ses secrets.
On prend plaisir à retrouver Robert Downey Jr malheureusement le manque d’enjeux et un scénario assez vide lassent assez rapidement.
Réalisé par: Kenneth Branagh Année: 2011 Durée: 1h55min Note: 7/10 Achat-Location: VOD
Thor, Dieu tout puissant mais arrogant, est exilé du royaume d’Asgard et envoyé sur Terre. Mais quand les forces du mal arrivent, il devient un héros.
Thor surprend grâce à son humour, son scénario et sa distribution, une jolie réussite inattendue.
Réalisé par: Joe Johnston Année: 2011 Durée: 2h4min Note: 3/10 Achat-Location: VOD
Steve est transformé en super-soldat grâce à une expérience top-secrète. Il devient alors Captain America pour défendre les idéaux des Etats-Unis.
Captain America: The First Avenger est un film calibré pour plaire au grand nombre, sans âme, sans inspiration et d’un patriotisme grossier, le film n’a pour lui que ses effets spéciaux.
Réalisé par: Joss Whedon Année: 2012 Durée: 2h23min Note: 8/10 Achat-Location: VOD
Lorsque la sécurité de la planète est menacée par un ennemi nouveau, Nick Fury réunit une équipe pour empêcher le monde de basculer dans le chaos.
Avengers est une petite pépite Marvel qui met tout le monde d’accord, c’est un film ambitieux et drôle qui rafraîchit enfin le monde des super-héros.
Réalisé par: Joe & Anthony Russo Année: 2018 Durée: 2h29 Note: 1/10
Ecrire sur Avengers: Infinity War a été une grande source d’hésitation pour moi, la première raison étant assez simple, la première fois que je l’ai vu je l’ai trouvé assez insipide, sans vie, long, mou et je pourrais continuer encore longtemps… heureusement étant une amoureuse de la première phase Marvel et les bandes-annonces du second volet titillant ma curiosité, j’ai donc décidé de revoir ce premier film et je dois avouer que j’ai pu revenir un tout petit peu sur mes premières idées.
Après 10 ans a enchainé les présentations de personnages et les rencontres, ils se réunissent enfin pour vaincre le grand méchant de la galaxie Thanos! Avec une idée aussi grande, on pouvait s’attendre à beaucoup de choses mais on a clairement eu pas grand-chose sur ce premier opus. Avengers: Infinity War est un film frustrant, on enchaine les scènes ponctuées de dialogues redondants où tout le monde demande à tout le monde de le tuer pour finir par une scène de combat assez insipide, brouillonne, sans grande nouveauté, personnellement j’aurais aimé un film plus apocalyptique, plus sombre, plus intense…
Heureusement certaines petites choses on réussit à me faire frétiller sur mon canapé, la première étant bien sûr les retrouvailles avec Benedict Cumberbatch en Doctor Strange, qui fait une nouvelle fois mouche dans cet univers de super-héros un peu trop redondant et rouiller à mon goût, j’ai pris plaisir à l’entendre parler, j’ai pris plaisir à le voir combattre, j’ai pris du plaisir! le second point positif que je retiens du film est l’idée de diviser tous ces super-héros en groupe (assez inattendu pour certains), on évite grâce à ça le trop et on donne au scénario un côté innovant qui tient la route, chacun ayant sa propre quête dans l’intérêt d’un but commun, malheureusement, très peu de ces groupes fonctionnent, souvent trop mielleux ou trop prévisible.
Avengers: Infinity War est un spectacle visuel à la hauteur des attentes mais sans grandes surprises, l’humour est une nouvelle fois au rendez-vous mais il n’arrive pas à retrouver cette petite étincelle qui l’avait pu avoir dans Les gardiens de la galaxie, les personnages sont assez plat et mal travaillés et la bande-son est sans grand intérêt, le film est clairement une mise en bouche pour un second volet qui on l’espère libèrera enfin tout son potentiel.
J’ai l’impression que cette année, il me faut au moins trois bandes-annonces avant de me dire que j’ai vraiment envie de voir un film (je parle surtout des blockbusters) Avengers: Infinity War n’échappe pas à cette théorie, il m’aura fallu trois bandes-annonces pour me faire frétiller d’envie, est-ce un choix des studios de ne pas trop en dévoiler dès le départ ? Où est-ce que je deviens trop difficile ? Ce sont des questions qui peuvent être portées à la réflexion?
Elles sont enfin là, les premières images du très attendu Avengers Infinity War, cette première bande annonce titille ma curiosité malheureusement je suis un petit peu déçu, elle ne m’a pas transcendé, je n’en sors pas surexcité, il faudra que j’en voie un peu plus pour être complètement immergé dans ce film au casting bien rempli.
La deuxième bande-annonce de Thor: Ragnarok est là, pour mon plus grand plaisir, Thor était un film qui m’avait surprise, je n’attendais rien de ce super-héros la première fois que j’ai vu le film, depuis j’en attends beaucoup, le deuxième m’avait déçu mais pour ce troisième volet je sens (j’espère) que je vais retrouver l’univers du premier, en tout cas c’est ce que la bande-annonce me fait sentir, mais bon nous savons tous qu’il faut nous en méfier comme de la peste, elles nous font parfois croire des choses qui malheureusement ne se reproduisent pas dans le film. A voir le 25 octobre au cinéma.
Je ne sais pas vous, mais moi je suis quand même contente d’enfin retrouver l’univers de Thor, le premier film avait été une grande surprise pour moi, le second avait perdu en qualité mais je me dis qu’on a pas attendu tout se temps pour un troisième opus pour rien, j’espère retrouver dans Thor Ragnarok l’humour et la simplicité du premier volet. Affaire à suivre…
Réalisé par: Ben Wheatley
Année: 2016
Durée: 1h59
Note: 1/10
Achat: Amazon, Fnac, VOD
Si la torture avait un visage, on lui donnerait l’apparence de High-Rise.
Je pense que je n’avais pas autant souffert à une séance de cinéma depuis La Belle et la Bête en 2014, et pourtant, je suis quelqu’un d’assez ouverte prête à découvrir tout et n’importe quoi, High-Rise aura eu raison de mon esprit.
En choisissant d’adapter sur grand écran l’oeuvre dystopique de J.G. Ballard supposé inadaptable, Ben Wheatley prenait le risque de se planter, risque payant, il a réussi un plantage magistral en nous offrant une torture visuelle et sonore.
Nous sommes dans les années 70, le docteur Laing emménage dans un gratte-ciel luxueux et ultramoderne où chaque étage est défini par une classe sociale. Le déménagement est censé être un renouveau et une quête d’anonymat pour le docteur, assez rapidement sa nouvelle tranquillité va être bouleversée quand les frustrations des classes moyennes vont rencontrer le mépris des plus hautes classes.
Satire de l’Angleterre thatchérienne obsédée par la performance et le matérialisme, High-Rise avait tout pour séduire malheureusement le film oublie rapidement de traiter de son sujet principal et se perd dans un délire visuel complètement superficiel et agaçant.
Hanté par l’ombre de Shinning, ce gratte-ciel qui fait office de micro-organisme vivant n’arrive pas à la hauteur de l’Overlook et perd en puissance au fil du film, High-Rise s’enrobe d’une bande originale obsessionnelle qui au bout 1h30 se transforme en torture auditive. Malheureusement, le beau Tom Hiddleston sain d’esprit qui nous sert de guide à travers les 40 étages, nous abandonnera lui aussi, petit à petit pour tomber dans la folie.
Ben Wheatley adapte à l’écran la vision sinistre et pathétique d’une humanité perdue dans les avancées technologiques de l’écrivain J.G. Ballard, désastreusement, il loupe le coche et n’arrive à nous servir qu’une adaptation plate, longue, répétitive et sans vie. High-Rise est un film épuisant qui manque cruellement d’empathie pour le spectateur.
On ne va pas se mentir, je le vois et je suis amoureuse, si en plus c’est dans un film qui sent bon la dystopie, je dis un grand OUI, sans la moindre hésitation. High Rise promet de régaler nos petites cellules grises et donnera envie de relire le livre de J.G. Ballard. Sortie le 6 avril 2016.
Le meilleur de l’horreur 2015, va lui aussi, être récompensé grâce au Fangoria Chainsaw Awards et c’est à vous de choisir les gagnants en envoyant vos réponses à cette adresse mail : chainsaw@fangoria.com. Petit pronostique en attendant le bilan fin mars.
Best Wide Release Film
Best Limited-Release/Direct-to-Video Film
Best Foreign-Language Film
Best Actor
Best Actress
Best Supporting Actor
Best Supporting Actress
Best Screenplay
Best Score
Best Makeup/Creature FX
Best TV Series
Best Actor
Impossible de choisir entre tous ces hommes talentueux, j’en choisis donc plusieurs, je suis faible…
Best Actress
Best TV Supporting Actor
Best TV Supporting Actress
Best TV Makeup/Creature FX
Worst Movie
Pour cette catégorie c’est à vous de choisir
Voir aussi: Crimson Peak, The Strain, The Walking Dead, Fear The Walking Dead, Scream Queens, Reefer Madness, The Voices, La reine des damnés
Le film intriguant du mois de mars se dévoile un peu plus pour nous mettre encore plus dans le flou, avec comme acteur lead tom Hiddleston on ne peut pas louper ce petit bijou.
Comme pour les séries, j’ai enfin dressé après quelques réflexions mon top 10 des films qui ont marqué mon année 2015.
Sans surprise, le meilleur film de mon année 2015 est Mad Max: Fury Road ma claque cinématographique de l’année, j’ai fait une petite rétrospective de mes envies 2015, et je dois avouer que peu de ses envies ont été assouvis beaucoup de déception pour cette année, heureusement des petites perles inattendues se sont mises sur ma route et certains grands succès ont tenu leurs promesses.
Le film le plus attendu de 2015: Star Wars VII
La belle surprise: Une Belle Fin
Le guilty pleasure: The Final Girls
Meilleure idée de film d’horreur: It Follows
La deception: Cooties
Réalisé par: Guillermo Del Toro
Année: 2015
Note: 8/10
Achat:
Ghosts are real, that much I know. I’ve seen them all my life…
Il aura fallu presque 9 ans pour que Crimson Peak trouve son budget et prenne l’apparence qui nous a été présentée, Del Toro revient à la forme de cinéma qui lui va le mieux. En renouant avec le genre fantastique, ce n’est pas une histoire de fantômes qu’il nous raconte mais une histoire d’amour avec des fantômes. Dans cette histoire, le spectre prisonnier de ses émotions est condamné à hanter les lieux marqués par son existence passée, il n’est pas là pour représenter une menace mais fait office d’avertissement, la véritable menace se cachant dans l’homme encore vivant.
Crimson Peak c’est une histoire d’amour à trois branches parfois pur, parfois monstrueux, parfois tourmentée entre une romancière en herbe qui tente de faire son entrée dans le monde romancier, un héritier qui va trouver en elle une sorte de havre de paix et la soeur de ce dernier qui va se dresser entre eux dans l’ombre de leur amour naissant.
Le manoir perdu dans le nord de l’Angleterre du XIXe siècle s’impose à nous comme un quatrième protagoniste qui emprisonne et complète ce trio en proie à des émotions complexes hantées par leurs souvenirs macabres. Le manoir apporte une touche poétique qui fait de ce film un tableau de maître.
Del Toro nous prouve une nouvelle fois qu’il est capable de traiter un film avec une approche émotionnelle et nostalgique dans un univers gothique qui frise la perfection, certes, ce n’est pas l’histoire d’amour du siècle, mais c’est une jolie histoire pleine de fantômes en quête de paix.
Where I come from, ghosts are not to be taken lightly
Voir aussi: The Strain, La reine des damnés, The Conjuring 2, The Forest
Une overdose de bonnes bande-annonces en ce lundi de décembre, le duo le plus attendu du petit écran en dévoile un petit peu plus avec un nouveau teaser.
Le troisième Star Trek réalisé par le réalisateur de Saw, Conjuring et dernièrement Furious7 a sa bande-annonce et on peut le dire le petit Justin Lin en a dans le pantalon. Une première vidéo qui mise tout sur l’action, j’attends de voir la suite. Sortie le 13 juillet 2016.
J’aime le concept, j’aime bien Tom Hiddleston et cette première vidéo m’intrigue que demander de plus? Sortie le 6 avril 2016.
Surement la bande-annonce qui m’a le plus enthousiasmer aujourd’hui, je crois que je suis tombée amoureuse du film avant même de l’avoir vu. Sortie le 8 janvier 2016.