























Réalisé par: Rob Zombie Année: 2005 Durée: 1h47min Note: 8/10 Achat: VOD
Après la mort de son frère, le shérif Wydell ne rêve que de vengeance. Il est prêt à tout contre la terrifiante famille Firefly, et il n’hésitera pas à outrepasser la loi. Barricadés dans leur maison, les Firefly, eux, sont décidés à lui échapper par tous les moyens. Rien ne semble pouvoir arrêter leur macabre saga. Entre les deux camps, la guerre est ouverte, et elle va s’étendre…
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique, la famille Firefly foncent sur les routes de l’horreur embarquant avec eux les plus grands maîtres du genre pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer leur propre univers. Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.
Le mot « Fuck » et ses variations a été utilisé dans le film 224 fois, selon une autre source il aurait été dit 560 fois, le film détiendrait de ce fait le record.
Réalisé par: Neil Marshall Année: 2005 Durée: 1h39min Note: 8/10 Achat: VOD
En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour.
Neil Marshall associe horreur et psychologie pour nous offrir un huis clos devenu incontournable qui fonctionne bien grâce à une maîtrise quasi parfaite et un bon twist final.
Chaque filles du casting vient d’un pays différent.
Réalisé par: Victor Salva Année: 2001 Durée: 1h30min Note: 6/10 Achat: VOD
Les vacances d’été sont enfin arrivées et, comme chaque année, Trish et Darry, deux étudiants, frère et soeur, prennent la route pour rendre visite à leurs parents. Sur le chemin, un routier agressif emboutit l’arrière de leur voiture sans raison apparente. Quelques kilomètres plus loin, Trish et Darry revoient le même camion, à côté d’une église abandonnée. Ils aperçoivent le conducteur, entièrement vêtu de loques, qui jette un corps dans une canalisation.
Victor Salva réalise un film d’horreur simple et minimaliste à l’univers mystérieux et intimiste qui aura donné dans les années 2000 un nouveau souffle à l’univers du slasher. Jeepers Creepers est un film audacieux qui ne se prend pas la tête et introduit avec brio un nouveau monstre (conforme aux conventions du genre) dans e grand bestiaire de l’horreur.
Pour son film Victor Salva explique qu’il a trouvé son inspiration dans le film Duel mais aussi dans l’histoire vraie d’un couple en voyage qui aurait remarqué quelque chose d’étrange sur la route et aurait fait demi-tour et découvert une scène épouvantable. Le réalisateur a repris l’histoire, modifié les âges et ajouté des éléments surnaturels.
Réalisé par: D. Myrick & E. Sanchez Année: 1999 Durée: 1h21min Note: 6/10 Achat: VOD
En octobre 1994, trois jeunes cinéastes, Heather Donahue, Joshua Leonard et Michael Williams, disparaissent en randonnée dans la foret de Black Hill au cours d’un reportage sur la sorcellerie. Un an plus tard, on a retrouve le film de leur enquête.
Avec The Blair Witch Project, les réalisateurs ont compris que ce n’est pas ce que l’on voit qui éveil nos peurs mais ce que l’on croit voir, c’est en jouant sur ce petit détail que le film arrive à renouveler le genre et deviendra par la suite un incontournable des années 90.
Les trois acteurs principaux ont gardé leurs vrais noms pour le film, ils furent lâchés pendant huit jours en pleine forêt avec très peu d’instructions.
Réalisé par: William Friedkin Année: 1973 Durée: 2h2min Note: 8/10 Achat: VOD
L’exorciste est une pépite terrifiante qui restera indémodable et marquera les mémoires de plus d’une génération. William Friedkin rappelle avec son film que le mal peut s’insinuer partout même au sein d’un foyer tranquille.
Dans la version intégrale de L’exorciste le visage du Démon apparaît de façon récurrente l’espace d’une fraction de seconde sous formes d’image subliminales.
Réalisé par: Rob Zombie
Année: 2005
La famille Firefly est une troupe meurtrière et ambulante. Ils sont poursuivis par un escadron policier prêt à tout pour les arrêter, jusqu’à la violence.
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie finit son oeuvre dans le monde de l’horreur de façon convaincante, achevant de manière magistrale l’histoire de la famille Firefly. Il abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique fonçant sur les routes de l’horreur embarquant avec lui les plus grands maîtres du genre, pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer son propre univers.
En sacralisant cette famille irrécupérable, vivant pour la violence et le vice, Rob Zombie créé une empathie nouvelle envers cette bande de déjantés, il impose l’époque et les personnages faisant oublier le côté fantastique qui avait clôturé La maison des 1000 morts, on revient à la réalité trash et vulgaire qui fait l’univers du réalisateur.
Le saviez-vous ?
En Avril, on dit au revoir à l’hiver, on aimerait pouvoir sauter le printemps pour arriver directement à l’été, malheureusement, on doit subir le pollen, le vent, le chaud et le froid, avant de pouvoir profiter de la chaleur qui nous fera tant souffrir. Etant un peu nostalgique en Avril, j’ai choisi la scène finale de The Devil’s Rejects suite du très bon film La maison des 1000 morts de Rob Zombie.
Voir aussi: The Devil’s Rejects
Réalisé par: Rob Zombie
Année: 2005
Note: 8/10
« I am the devil, and I am here to do the devil’s work. »
Avec The Devil’s Rejects, Rob Zombie finit son oeuvre dans le monde de l’horreur de façon convaincante, achevant de manière magistrale l’histoire de la famille Firefly. Il abandonne le huis clos de la maison de famille pour les autoroutes désertes d’Amérique fonçant sur les routes de l’horreur embarquant avec lui les plus grands maîtres du genre, pour mieux les balancer sur le bord de la route et créer son propre univers.
Dans The Devil’s Rejects, on retrouve Otis, Baby et Captain Spaulding, qu’on avait laissé dans leur ferme digne d’un carnaval de l’horreur, en pleine fuite, pourchasser par un shérif consumé par une envie de vengeance. Le bien et le mal se mélangent redistribuant les rôles, la famille Firefly passe du bourreau à la victime dans un road movie rempli de cadavre.
« I’m gonna have to be taking your car today. See I have some top secret clown business that supersedes any plans that you might have for this here vehicle. »
En sacralisant cette famille irrécupérable, vivant pour la violence et le vice, Rob Zombie créé une empathie nouvelle envers cette bande de déjantés, il impose l’époque et les personnages faisant oublier le côté fantastique qui avait clôturé La maison des 1000 morts, on revient à la réalité trash et vulgaire qui fait l’univers du réalisateur.
Les amoureux du genre applaudiront et en redemanderont, les plus sensibles passeront leurs chemins.
« There is no fuckin’ ice cream in your fuckin’ future. »