Agence de voyage Le Bruit du Cinema

Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema retrouve ses racines et va redécouvrir le sud de la France.


Agence de voyage Le Bruit du Cinema

Cette semaine Le Bruit du Cinema part en voyage au programme une destination par jour avec cinq arrêt différents. Aujourd’hui, Le Bruit du Cinema part à la découverte de la capital de l’amour.


Bilan d’une décennie

Il est l’heure de faire le bilan d’une décennie cinéma, il est l’heure de redécouvrir des films oublié, de se souvenir et d’apprécier une nouvelle fois le cinéma d’une décennie pleine de surprise et de déception. Le Bruit du Cinema dresse le bilan d’une décennie bien remplie !


2010, une nouvelle ère

2

  1. Blue Valentine (7/10) 2. Inception (8/10) 3. Shutter Island (8/10) 4. We are four lions (7/10) 5. Dragons (7/10) 6. Lullaby for P.I (7/10) 7. Toy Story 3 (7/10) 8. Buried (6/10)  9. Machete (8/10) 10. Raiponce (8/10).
2011, une année prise de conscience

3

  1. God Bless America (8/10) 2. Polisse (8/10) 3. Starbuck (7/10) 4. Like Crazy (8/10) 5. The Prodigies (7/10) 6. Et soudain tout le monde me manque (6/10)  7. Melancholia (6/10) 8. The Art of Flight (9/10) 9. Rango (6/10) 10. Un jour (5/10).
2012, une année qui rassemble

4

  1. Celeste & Jesse Forever (8/10) 2. La cabane dans les bois (7/10) 3. Sinister (6/10) 4. Moonrise Kingdom (7/10) 5. Tucker & Dale vs Evil (7/10) 6. Lawless (8/10) 7. Avengers (8/10) 8. Royal Affair (6/10) 9. The Expendables 2 (7/10) 10. 21 Jump Street (7/10).
2013, une année à pépite

5

  1. Snowpiercer (8/10) 2. Her (8/10) 3. The Conjuring (6/10) 4. The Secret Life of Walter Mitty (7/10) 5. Une belle fin (7/10)  6. Prisoners (6/10) 7. Pop Redemption (6/10) 8. Mama (6/10) 9. Horns (8/10) 10. Le Congrès (6/10).
2014, une année riche en qualité

6

  1. Mommy (8/10) 2. Nightcrawler (8/10) 3. The Lego Movie (7/10) 4. The Voices  (7/10) 5. Bande de filles (6/10) 6. Magic in the Moonlight (7/10) 7. Big Hero 6 (6/10) 8. Minuscule – La vallée des fourmis (6/10) 9. Boyhood (6/10) 10. Avis de mistral (6/10).
2015, une année surprenante

7

  1. Ex_Machina 2. The Road Within (6/10) 3. Mad Max: Fury Road (8/10) 4. Go Away Mr Tumor (6/10) 5. Comment c’est loin (6/10) 6. Le Petit Prince (7/10) 7. N.W.A: Straight Outta Compton (6/10) 8. The Hateful Eight (8/10) 9. Moonwalkers (6/10) 10. Freaks of Nature (7/10).
2016, une année ovni

8

  1. Midnight Special (7/10) 2. Swiss Army Man (7/10) 3. The Witch (6/10) 4. Big Fish & Begonia (8/10) 5. Mr Right (6/10) 6. Deadpool (7/10) 7. Adopte un veuf (6/10) 8. Colossal (7/10) 9. Zootopia (6/10) 10. 10 Cloverfield Lane (6/10).
2017, une année riche en déception

9

  1. Split (6/10) 2. Gerald’s Game (8/10) 3. Mayhem (6/10) 4. Seven Sisters (6/10) 5. The Lego Batman (7/10) 6. L’ascension (6/10) 7. Minhorn (6/10) 8. The Jane Doe Identity (4/10) 9. The Girl With All The Gifts (6/10) 10. The Bad Batch (6/10).
2018, une année peu productive

10

  1. Spiderman: New Generation (9/10) 2. The Shape of Water (7/10) 3. Annihilation (7/10) 4. Le grand bain (6/10) 5. Ready Player One (6/10) 6. Extinction (6/10) 7. Budapest (6/10) 8. Je ne suis pas un homme facile (5/10) 9. Les municipaux, ces héros (5/10) 10. To All the Boys I’v Loved Before (6/10).
2019, la fin d’une ère

2010 (1)

Coming soon…

Cafe Society

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Réalisé par: Woody Allen

Année: 2016

Durée: 1h36

Note: 6/10

Achat: Amazon, Fnac, VOD


Life is a comedy written by a sadistic comedy writer.

Café Society, c’est l’histoire d’un jeune New-Yorkais dans les années 30 qui va se rendre à Hollywood pour travailler en tant que coursier, dans ce monde lumineux et mystérieux, il va être chaperonné par la belle Vonnie, la secrétaire de son oncle, très vite, Bobby va succomber au charme de la jeune femme, malheureusement pour lui, elle ne tombera pas dans ses filets.

Et puis, la situation change, elle se lasse d’une relation vouée à l’échec et décide de tomber dans les filets du jeune homme, mais les choses ne sont pas si simples dans le monde de Woody Allen, Vonnie finira par retourner vers son premier choix, laissant Bobbie seul avec son chagrin et ses rêves perdus.

Café Society, c’est une histoire d’amour qui a loupé le coche, une suite de mauvais choix, une histoire en trois temps : la découverte, l’acceptation et la déception. La mélancolie enrobe le ton ironique du réalisateur, qui livre comme à son habitude une image très personnelle d’Hollywood et de l’amour.

Malheureusement, les dialogues sentent parfois le réchauffer, on pourrait croire que Woody Allen a pioché dans l’ancien sans vraiment réussir à faire du neuf, perdant de ce fait un peu de son originalité. Le film brille malgré tout grâce à un casting agréable qui nous porte du début à la fin.

Café Society est un film lumineux, sensuel et mélancolique du pur Woody Allen. 

Bilan: Mai 2016

Le mois de mai fut un petit mois pour Lebruitducinéma malgré quelques sorties obligatoires mais très peu de films au programme, j’ai pu découvrir une belle brochette de super-héros qui n’ont pas vraiment réussi à me convaincre, j’ai suivi la rencontre d’un couple pas comme les autres, j’ai vu des chemins se croiser dans un Hollywood mélancolique, j’ai observé le désespoir d’un homme qui croit avoir tout perdu, pour finir mon mois par des retrouvailles avec mon ami Freddy, un petit mois de mai pas comme les autres.

  1. Mr Right – 2016 (6/10)
  2. Café Society – 2016 (6/10)
  3. Money Monster – 2016 (4/10)
  4. Captain America: Civil War – 2016 (4/10)
  5. Va te faire foutre Freddy – 2016 (1/10)

 

Trailer: Cafe Society

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Quand un Woody Allen sort c’est du quitte ou double, il peut être bon comme il peut être mauvais. Avec Magic in the Moonlight, je retrouvais le réalisateur, avec Irrational Man, il me perdait en route, avec Café Society, j’espère le retrouver.

Bilan: Octobre 2015

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Ce mois-ci fut un mois rempli de belles découvertes, j’ai commencé mon mois avec la rencontre de Gatsby, je suis rentré dans le monde de Guillermo Del Toro deux fois la première avec la magnifique Crimson Peak qui m’a conquise, la seconde avec le terrifiant Labyrinthe de Pan qui m’a laissé de glace, je me suis plongée dans le monde de la drogue par deux fois avec le ténébreux Benicio Del Toro, j’ai touché à l’inconnu avec deux belles surprises la première sur Netflix grâce à Advantageous la seconde dans le monde du slasher avec The Final Girls, je suis sortie d’un labyrinthe pour une terre brûlée, j’ai fait ma rencontre annuelle avec le grand Woody Allen et j’ai rattrapé un peu de retard avec Minority Report. Un mois en double, un mois réussi.

  1. Crimson Peak – 2015 (8/10)
  2. The Final Girls – 2015 (7/10)
  3. Sicario – 2015 (7/10)
  4. Advantageous – 2015 (6/10)
  5. Le Labyrinthe: La terre brûlée – 2015 (6/10)
  6. Minority Report – 2002 (6/10)
  7. L’homme Irrationnel – 2015 (5/10)
  8. Gatsby, le magnifique – 2013 (4/10)
  9. Le Labyrinthe de Pan – 2006 (3/10)
  10. Traffic – 2001 (2/10)

Voir aussi: Maze Runner: The Scorch Trials, Dossier: Tueur en série dans le monde du cinéma

Manhattan

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Réalisé par : Woody Allen

Année : 1979

Note : 4/10

Achat : Amazon, Fnac


Chapter One. He was as tough and romantic as the city he loved. Behind his black-rimmed glasses was the coiled sexual power of a jungle cat. Oh, I love this. New York was is town, and it always would be. 

Woody Allen déclare son amour à sa ville, Manhattan, malheureusement je suis un peu passer à côté de cette déclaration. Le quatuor amoureux ne fonctionne pas à la perfection et peut mettre parfois mal à l’aise.

Le film est filmé en cinémascope pour donner une perspective globale de New York, qu’il traite comme un personnage à part entière, Manhattan c’est aussi une déclaration d’amour à Diane Keaton, dont c’est la cinquième apparition dans un film de Woody Allen. Il gagnera un César pour ce film, mais malgré tout, le réalisateur ne sera jamais content de son film, qui fera un triomphe dans le monde entier.

On ne peut pas nier la beauté de la scène qui définira en grande partie le film par la suite, la fameuse scène du banc, Isaac concrétise sur ce banc son idylle, sous les yeux d’un Manhattan mélancolique. Je suis ressorti de ce film avec un sentiment neutre, sans savoir vraiment comment le définir, je suis passée par beaucoup d’émotion sans jamais aller jusqu’au bout. Manhattan reste un pur Woody Allen, qui séduira en grande majorité les fans du réalisateur.

I think people should mate for life, like pigeons or Catholics

Magic in the moonlight

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Réalisé par : Woody Allen

Année : 2014

Note : 8/10

Achat : Amazon, Fnac, VOD


I’m getting a mental impression

Magic in the moonlight est une comédie romantique rafraichissante remplie de magie, de poésie et d’un humour pétillant, un bon cru 2014, sortie tout droit de la cave de Woody Allen regroupement tout ce qu’il aime.

C’est sur la Côte d’Azur des années 20 qu’il nous entraine dans une histoire insouciante remplie de mystère et de romantisme, le beau Colin Firth joue un magicien pragmatique et pessimiste venue dans le sud de la France pour démasquer une supposée médium interprétée par l’éblouissante Emma Stone. 

Enrobée dans un univers de magie que le réalisateur affectionne particulièrement (il avait déjà utilisé ce thème pour son film Scoop) il aborde plusieurs thèmes comme la vie et la mort mais aussi la question de Dieu, ne manquant pas de se faire entendre, à travers l’acteur Colin Firth on ressent bien la présence de Woody Allen au détour d’un sarcasme ou d’une tirade qui monopolisera le public sans l’ennuyer, le tout est équilibré par la présence de la pétillante Emma Stone et son optimisme.

L’insouciance de l’après-guerre des années folles nous plonge dans une euphorie qui frôle la folie, remplissant le spectateur d’une joie de vivre, d’une envie de découverte et pourquoi pas d’une envie de vacance sur les côtes de la Méditerranée?

Woody Allen prouve aux plus septiques qu’il a encore de la ressource dans son chapeau de magicien, espérons que son prochain film L’homme irrationnel soit aussi bien que Magic in the moonlight.

I came to say that for some inexplicable reason that defies common sense and human understanding, that I have, of late, experienced some small… quite small but discernible, inner stirrings regarding your smile

Voir aussi: Austenland, Quatre mariages et un enterrement, The Grand Budapest Hotel