Agence de voyage Le Bruit du Cinema


La musique et le cinéma

bilan (2)

Réalisé par: Paul Weitz   Année: 2006   Durée: 1h47min   Note: 7/10

De quoi ça parle ?

L’émission American Dreamz rassemble des centaines de millions de téléspectateurs avides de voir s’affronter de jeunes chanteurs pop en quête de gloire. Mais le présentateur Martin Tweed veut faire encore mieux – plus démago, plus trashy, plus vachard, en un mot, plus « réel ».Une campagne de recrutement livre son lot de candidats hors normes. La formule séduit plus que jamais et les sondages atteignent de nouveaux sommets.C’est alors que l’ambitieux « Tweedy » a l’idée de génie d’inviter… l’hôte de la Maison Blanche à arbitrer la finale.

En bref..

American Dreamz est une comédie satirique jubilatoire qui dénonce avec humour la société du spectacle et le culte de la célébrité. Critique ouverte d’une époque ou simple reflet d’une réalité qu’on aimerait ignorer ? À vous de décider.

88

Réalisé par: Emile Ardolino   Année: 1992   Durée: 1h40min   Note: 8/10

De quoi ça parle ?

Une jeune femme, témoin d’un meurtre, intègre un couvent pour se protéger. Elle va alors donner un nouvel élan à l’établissement religieux, invitant notamment les bonnes soeurs à une réorchestration musicale de leurs chants.

En bref..

Sister Act est un film simple et honnête qui aura marqué les esprits de toute une génération, grâce à un casting talentueux et une mise en scène maitrisée qui vous donnera envie de chanter.

90

Réalisé par: Audrey Estrougo   Année: 2010   Durée: 1h25min   Note: 4/10

De quoi ça parle ?

Gab a une vie rangée : une fiancée, un mariage en préparation, une famille aisée. Leïla ne s’autorise pas à vivre la sienne : des études de droit, un petit frère turbulent, une maman partie trop tôt… Alors lorsque Gab renverse le petit frère de Leïla, c’est le choc des mondes et le début d’une grande histoire d’amour qui va se heurter violemment à la réalité.

En bref..

Toi, moi, les autres est un film modeste, rempli de bons sentiments mais qui se pare malheureusement d’un scénario cousu au fil blanc, assez naïf, qui aurait pu être mieux travaillé. Les idées sont là mais la réalisation ne suit pas et étouffe le peu de moment de grâce du film.

92

Réalisé par: Tim Burton   Année: 2007   Durée: 1h56min   Note: 1/10

De quoi ça parle ?

Londres, 19ème siècle. Issue du folklore anglais, Sweeney Todd raconte l’histoire morbide d’un barbier, Benjamin Barker, condamné à tort par un juge corrompu et exilé en Australie pour purger sa peine, d’où il s’évade quinze ans plus tard. Décidé à retrouver sa femme et son enfant, il retourne en Angleterre sous le nom de Sweeney Todd, mais découvre que le fameux juge est sur le point d’épouser sa fille !

En bref..

En dépit de la beauté de l’univers de Tim BurtonSweeney Todd est une torture pour l’esprit (et les oreilles) qui ne déclenchera aucune émotion mise à part peut-être de l’exaspération.

91

Réalisé par: Rob Marshall   Année: 2002   Durée: 1h53min   Note: 6/10

De quoi ça parle ?

A Chicago, dans les années vingt, Roxie Hart, une jeune femme qui rêve de monter sur la scène de l’Onyx Club, est accusée du meurtre de son amant indélicat et envoyée en prison. Derrière les barreaux, elle retrouve celle qu’elle admire, Velma Kelly, une chanteuse de jazz condamnée pour avoir tué son mari et sa soeur, pris en flagrant délit d’adultère.Le très populaire avocat Billy Flynn va brillamment plaider leur cause et attirer l’attention des médias sur ces deux jeunes femmes à la superbe voix.

En bref..

Catherine Zeta-Jones et Renée Zellweger brillent de mille feux dans cette comédie musicale amère et entrainante qui mettra le feu à votre écran. Chicago est un vrai moment de plaisir qui reste en tête.

 

 

Into the Woods

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Réalisé par : Rob Marshall

Année : 2014

Note : 2/10

Achat : Amazon, Fnac


Be careful what you wish for

Grande fan des contes de fées en tous genres, je suis allée voir ce film confiante, j’en suis ressorti hanté par une chanson et un mal de tête. Avant de continuer plus loin je vous fais partager la chanson – Angony

I was raised to be charming, not sincere

Into the woods, c’est le film qui prend des tonnes de direction sans jamais prendre la bonne et qui finit perdu dans un fouillis gigantesque.

L’histoire fonctionnait peut-être sur les planches de Broadway mais au cinéma, c’est un vrai cauchemar. Cendrillon et sa chaussure, le boulanger et sa femme, le petit chaperon rouge et son loup, la sorcière et sa malédiction, le garçon et sa vache, Rapunzel er sa chevelure, les deux princes et leurs charmes légendaires à la recherche d’une fin heureuse. Tout ce petit monde va se rencontrer dans une grande forêt qui relie ce beau monde. Si l’on met de côté ce bazar, on n’est emporté dans un puits sans fond de chansons à en faire saigner les oreilles, qui n’apporteront qu’un mal de tête aigu à la fin du film.

Ils osent malgré tout l’innovation à travers certains contes en insérant l’adultère qu’ils puniront 15 minutes après par la mort, le prince charmant se transforme donc en goujat de ces dames, et c’est le boulanger qui représente la sincérité et l’amour véritable.

Into the woods  est un supplice et une grande déception pour le conte de fées moderne, l’idée était bonne, elle n’a malheureusement pas pris le bon chemin.

Just remembering you had an ‘and,’ when you’re back to ‘or,’ makes the ‘or’ mean more than is did before.

Voir aussi: La belle et la bête